A six mois des Jeux olympiques et Paralympiques de Paris 2024, Tony Estanguet entre dans la dernière ligne droite d’un marathon qui aura duré neuf ans. Devenu « Monsieur Jeux olympiques » aux yeux du grand public, le président du comité d’organisation de l’évènement a fait sien l’objectif ambitieux de JO spectaculaires, populaires et écologiques.Rien ne prédestinait ce professeur de sport de formation, ancien sportif de haut niveau et trois fois champion olympique de canoë, à en arriver là. Mais le charismatique natif du Béarn s’est imposé à plusieurs moments clé de la candidature française, puis de l’organisation des Jeux, quitte à devoir composer avec un monde politique dont il a tendance à se méfier.Dans cet épisode du podcast « L’Heure du Monde », Nicolas Lepeltier, journaliste au service des Sports du "Monde", et Yann Bouchez, journaliste au magazine "M", racontent les différentes étapes de cet étonnant parcours.Un épisode de Marion Bothorel. Réalisation et musiques : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Margaux Lannuzel. Dans cet épisode : extraits du discours prononcé par Tony Estanguet à la tribune de l’ONU le 21 novembre 2023, de l’émission « Générations sensations » diffusée sur France 3 le 8 avril 2000, du journal télévisé de TF1 le 13 septembre 2017, d’interviews accordées par Tony Estanguet à France 3 et Franceinfo le 26 juillet 2023, le 14 mars 2023 à France Inter et le 29 novembre 2023 à RTL. --- Retrouvez ici. le portrait de Tony Estanguet : Tony Estanguet, l’autre mascotte des Jeux olympiques Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.

Alors qu’il est mis en examen pour viol depuis 2020 et que treize femmes l’accusaient de violences sexuelles dans une enquête de Mediapart en avril 2023, l’affaire Depardieu n’aura connu le retentissement à la mesure de l’acteur qu’en décembre 2023.A l’origine de la polémique et de l’attention médiatique, des images diffusées dans un numéro du magazine « Complément d’enquête » (France 2). Il s’agit d’extraits d’un documentaire réalisé par l’écrivain Yann Moix et tourné en Corée du Nord en 2018. On y voit Gérard Depardieu multiplier les propos obscènes, et aller jusqu’à sexualiser une enfant de douze ans qui fait de l’équitation.Face à la controverse, les proches de Depardieu montent au créneau et organisent sa défense : interventions télévisées, tribune et accusations de montage manipulateur. Auxquelles répondent d’autres personnalités du monde du cinéma dans des contre-tribunes qui dénoncent « la loi du silence ».Raphaëlle Bacqué et Ariane Chemin sont grandes reporters au Monde. Elles reviennent avec nous sur cette séquence médiatique.Un épisode de Cyrielle Bedu. Réalisation et musiques : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Et retrouvez notre nouveau podcast, Terrains de Jeux, à la fin de cet épisode.En savoir plus :Série. Le cas DepardieuEnquête. Le cas Depardieu brouille tous les repères... jusqu'à ceux d'Emmanuel Macron---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.

Acheter bio et local, manger moins de viande, limiter nos déplacements en avion et en voiture… Voilà les premiers gestes auxquels on pense quand on essaie d’avoir un mode de vie en adéquation avec les défis du changement climatique.Il est un domaine auquel on pense rarement spontanément : c’est notre argent. Pourtant, à partir du moment où celui-ci est confié à une banque, que ce soit sur un compte courant, un livret d’épargne ou une assurance-vie, il a de très fortes chances de financer des projets et des entreprises en contradiction totale avec ces écogestes du quotidien.Comment faire pour rendre notre épargne et nos investissements plus « verts » ? Aurélie Blondel, journaliste spécialiste des questions argent au Monde, s’est penchée sur le sujet et nous donne quelques conseils dans cet épisode de « l’Heure du Monde ».Un épisode d’Adélaïde Tenaglia. Réalisation : Thomas Zeng. Musiques : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi.---Retrouvez ici l'article d'Aurélie Blondel : Finance « verte » ou « greenwashing » ? Nos conseils pour faire le tri dans les promesses des banquesPour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.

Le passage de Gabriel Attal rue de Grenelle aura duré moins de six mois. Ministre de l’éducation nationale depuis le mois de juillet 2023, ce proche d’Emmanuel Macron a été nommé premier ministre mardi 9 janvier. Ce changement a lieu alors que Gabriel Attal avait annoncé de nombreuses réformes qui n’ont, pour l’instant, pas de traduction concrète, parmi lesquelles l’instauration de groupes de niveau au collège.Dans l’attente du nom de la personne qui le remplacera, la nouvelle de son départ a déjà été regrettée par les syndicats enseignants, qui déplorent un changement brutal en pleine année scolaire à la tête de l’éducation nationale, dans un contexte de crise de recrutement et de tensions en cascade.Dans cet épisode du podcast « L’Heure du Monde », Eléa Pommiers et Violaine Morin, journalistes spécialistes de l’éducation au Monde, font le bilan de ce passage éclair de Gabriel Attal au ministère et s’interrogent sur la mise en œuvre des chantiers qu’il a lancés.Un épisode de Jean-Guillaume Santi et Margaux Lannuzel. Présentation : Jean-Guillaume Santi. Réalisation, habillage et musiques : Amandine Robillard. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.

Un cadre de carte postale, entre le pont Alexandre-III et le pont de l’Alma. En 2024, dans le cadre des Jeux olympiques de Paris, les épreuves du 10 km natation, du triathlon et du para triathlon sont programmées dans la Seine, à deux pas de la tour Eiffel, pour montrer Paris sous ses plus beaux atours au monde entier.Le pari n’est pourtant pas gagné : la qualité de la Seine étant loin des standards sanitaires requis pour s’y baigner, rares sont ceux qui s’aventureraient aujourd’hui pour y piquer une tête. A lété 2023, de fortes précipitations en région parisienne ont, de plus, dégradé la qualité de l’eau, entraînant l’annulation d’épreuves tests de natation, et renforçant la défiance envers le grand chantier d’assainissement du fleuve lancé par la maire de Paris, Anne Hidalgo.Emeline Cazi est spécialiste des questions d’urbanisme au Monde. Elle nous explique, dans cet épisode de « L’Heure du Monde », comment la Ville de Paris s’organise pour tenter de faire en sorte que la Seine soit prête à temps.Un épisode de Cyrielle Bedu. Réalisation et musiques : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.

Les sirènes d’alerte ont de nouveau retenti à Kiev. En pleines fêtes, la situation s’est brusquement tendue dans la capitale alors que de nombreux missiles russes tombaient sur les grandes villes du pays.Vladimir Poutine justifie officiellement ces frappes comme une riposte à l’attaque survenue à Belgorod, le 30 décembre. Au moins vingt-cinq habitants de cette ville russe, située à une demi-heure de la frontière ukrainienne, ont été tués à la suite d’une frappe aérienne. Pour l’heure, l’Ukraine n’a pas revendiqué cette frappe meurtrière sur des civils – une ligne rouge occidentale à laquelle le pays s’est tenue jusqu’à présent.Alors que le front est figé à l’est et au sud, cette campagne aérienne peut-elle changer la donne ? La défense anti-aérienne ukrainienne peut-elle tenir le choc face à la saturation des airs russe ? Et quelles échéances attendent, dans les prochains mois, ces deux pays qui vont entrer dans leur troisième année de guerre ?Cédric Pietralunga, journaliste en charge des questions de défense au service International du Monde, répond à ces questions dans cet épisode du podcast l’Heure du Monde.Un épisode de Marion Bothorel. Réalisation : Thomas Zeng. Musiques : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.

Cesser de boire de l’alcool pendant un mois pour remettre en question ses habitudes et faire le point sur sa consommation. C’est le principe du Défi de janvier (Dry January), une initiative venue du Royaume-Uni et désormais portée par les associations de prévention en France. En 2023, un tiers des Français affirmait envisager d’y participer.Cette initiative s’inscrit dans une tendance plus globale, notamment chez les jeunes. La proportion d’adolescents de 17 ans n’ayant jamais bu d’alcool dans leur vie était par exemple de 19,4 % en 2022, contre 4,4 % en 2002, selon le dernier rapport de l’Observatoire français des drogues et des tendances addictives, publié en 2023.Certains d’entre eux vont même plus loin. Ils choisissent de ne plus consommer d’alcool du tout et revendiquent cette sobriété choisie sur les réseaux sociaux dans des vidéos applaudies de milliers de likes. Comment expliquer le choix de ces jeunes, alors que l’alcool et la fête sont traditionnellement au cœur de la socialisation étudiante ?Dans cet épisode du podcast « L’Heure du Monde », Alice Raybaud, journaliste pour « Le Monde Campus », analyse les ressorts de cette vague de sobriété chez les plus jeunes.Ecoutez notre épisode sur les groupes de parole anonymes sur les addictions : Le Monde | Apple Podcasts | SpotifyUn épisode d’Alicia Mihami. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Réalisation : Thomas Zeng. Habillage et musiques : Amandine Robillard.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.

L’élection présidentielle du 5 novembre 2024 pourrait bien voir se répéter le scénario d’un affrontement entre Joe Biden et Donald Trump. Sauf que cette fois-ci, ce dernier est bien mieux préparé à prendre les rênes du pouvoir. Et le programme qu’il martèle à chacun de ses meetings laisse présager une Amérique plus sombre que sous son précédent mandat.D’estrade en estrade, Trump promet à ses partisans la vengeance pour sa défaite de 2020. « Nous vous promettons d’éradiquer les communistes, les marxistes, les fascistes de la gauche radicale qui vivent comme de la vermine dans les confins de notre pays », déclarait-il le 11 novembre 2023.Si bien que nombre d’observateurs s’inquiètent d’une menace existentielle pour la démocratie américaine et du démantèlement à venir des contre-pouvoirs qui avaient résisté au républicain de 2016 à 2020.L’inquiétude concerne également les ambitions de l’ancien président sur le sujet de l’immigration, alors que celui-ci qualifie les migrants de « violeurs » et de « trafiquants de drogue ». Nombre de pays s’interrogent enfin sur les conséquences internationales de l’hypothétique élection de cet isolationniste convaincu et du désengagement américain qui suivrait.Quelles sont les chances pour Donald Trump de l’emporter en novembre ? Que prévoient l’ex-président et son équipe pour la campagne qui démarre ? Pour répondre à ces questions, Piotr Smolar, correspondant du Monde à Washington, est l’invité du podcast « L’Heure du Monde ».Un épisode de Garance Muñoz. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Réalisation : Quentin Tenaud. Musiques : Amandine Robillard.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.

« L’Heure du Monde » entame 2024 avec un cadeau. Vous avez été nombreux à répondre à notre appel à questions, à la fin de 2023, avec des interrogations sur l’équipe, la production des épisodes, mais aussi le modèle de financement du podcast.Dans cet épisode un peu spécial, Jean-Guillaume Santi, chef de service et présentateur de « L’Heure du Monde » et Adélaïde Tenaglia, productrice, vous apportent des réponses.En quoi le modèle économique du podcast a-t-il évolué depuis septembre dernier ? Combien de personnes travaillent quotidiennement pour produire les épisodes ? Comment l’équipe s’organise-t-elle pour réagir vite en cas de fait d’actualité majeur ? « L’Heure du Monde » vous dévoile ses coulisses !Un épisode présenté par Margaux Lannuzel, avec Jean-Guillaume Santi, Morgane Tual, Adélaïde Tenaglia et Amandine Robillard. Réalisation : Florentin Baume Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.

Pendant les fêtes, "L'Heure du Monde" vous propose de redécouvrir ses meilleurs épisodes. Rendez-vous en 2024 et prenez soin de vous 🎅🎄🎁---Longtemps cantonnées aux bars LGBT, les drag queens sont aujourd’hui sur le devant de la scène à la faveur du succès mondial de l’émission « RuPaul’s Drag Race ». Une visibilité qui entraîne des attaques répétées ces derniers temps de l'extrême droite, tout particulièrement aux Etats-Unis où des textes de loi visent explicitement les drag queens et les personnes trans. Quand ce mouvement est-il né ? Et comment évolue-t-il avec cet intérêt du grand public ? Réponse en podcast avec Sofian Aissaoui, auteur du livre Drag : l'autre visage des queens et kings.Un épisode de Jean-Guillaume Santi et Quentin Tenaud. Réalisation : Quentin Tenaud. Musique du générique : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi.En savoir plus sur le drag :Conférence vidéo. Drag, voguing : le queer sur le devant de la scèneExplications vidéo. L’univers du « drag » expliqué par les queens Minima et Catherine Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.