Sortir de l'addiction

Sophie a ce qu'on peut appeler un : "Profil Addictif" C'est à dire qu'elle est sensible à tout ce qui lui procure du plaisir (dopamine).  Mais aussi à tout ce qui lui permet d'avoir de la valeur aux yeux des autres. Il y a quelques années, Sophie a fait un burn-out sévère. Verdict du médecin : elle travaillait beaucoup trop.  Mais pour elle, c'est "normal" de donner son maximum dans tout ce qu'elle fait. Elle est comme cela depuis toujours. Peut-être est-ce là :  “Sa manière à elle de prouver au monde qu'elle a de la valeur ?” Elle m’explique que toute petite, elle a développé le besoin de faire mieux.  Soeur d’un frère diagnostiqué HPI, elle s’est identifiée comme “moins bien” que lui.  Et elle a ressenti le besoin d’en faire toujours plus pour exister.  Le problème, c'est qu'elle a fini par s'oublier. Sous piqûres et alitée…  C’est ainsi qu’elle s'est retrouvée après avoir dépassé ses limites pour le travail. Également addicte à la course à pied, elle a été obligée de s’arrêter.  Sans cesse à la recherche d’une sensation de plaisir. En quête du fameux shoot de dopamine obtenu grâce au sport, elle continuait malgré les blessures. Sophie est aussi une ancienne fumeuse et elle a récemment revu son rapport à l'alcool. Elle cherche aujourd'hui l'équilibre entre toutes ses addictions. La question centrale qui résumerait cet épisode : Comment ne pas se brûler quand on a un besoin viscéral de se dépasser ?  💡 Dans cet épisode, Sophie témoigne et nous apporte une réflexion sincère et transparente sur son rapport à l'addiction au travail, au sport et à la performance. Et elle nous partage les outils qu’elle a mis en place pour se protéger.  🗣️ Les chapitres de l’épisode :  👉 Son défi 100 jours sans alcool 👉 Comment gérer le regard des autres quand on arrête de boire ? 👉 Les bénéfices de son arrêt de l'alcool 👉 Les conséquences négatives de son addiction au sport 👉 Que cherchait-t-elle à compenser avec le sport ? 👉 Les causes de son addiction au travail 👉 Son addiction à LinkedIn 👉 Écrire sur les réseaux-sociaux = son autothérapie 👉 Pourquoi avait-t-elle peur de témoigner sur le podcast ? 💥 Inscris-toi pour ne pas rater les prochains épisodes et soutenir le podcast :  L'instagram du podcast dispo en cliquant sur ce lien La Newsletter du podcast dispo en cliquant sur ce lienHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C'est le troisième passage de Sarah sur le podcast. Tu l'as retrouvée dans l'épisode 14 et 29. Des épisodes dans lesquels elle est revenue sur sa consommation, sa vie étudiante et les racines de ses addictions. Aujourd'hui, elle vient nous parler du bilan de son challenge "1 an sans alcool" Les chapitres de l'épisode :  👉 Pourquoi a-t-elle arrêté de boire ?  👉 Comment a-t-elle géré ses émotions sans l’alcool  👉 “Qui suis-je maintenant que je ne bois plus ?” 👉 Elle arrête l’alcool mais pas le cannabis 👉 Pourquoi fumait-elle du cannabis ?  👉 Par quelles activités a-t-elle remplacé l’alcool ?  👉 L’intuition : quelle est sa place dans le processus de sortie d’addiction ?  👉 Le bilan de ses 1 an sans alcool  👉 Notre avis sur les anxiolytiques  👉 L’expérience de Gabriel avec la kétamine 👉 Va-t-elle reprendre l’alcool ou rester abstinente ?  👉 Est-ce utile de compter ses jours d’abstinence ?  💥 Inscris-toi pour ne pas rater les prochains épisodes et soutenir le podcast :  L'instagram du podcast dispo en cliquant sur ce lien La Newsletter du podcast dispo en cliquant sur ce lienHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C'est la deuxième fois que Sarah vient sur le podcast. Elle était déjà passée dans l'épisode 14. On y avait abordé son expérience dans l'alcool et elle nous expliquait comment et pourquoi elle avait arrêté de boire. Malgré notre longue discussion de presque 2h, on n'avait pas abordé tous les sujets dont elle aurait voulu parler. Alors, je l'ai à nouveau invitée. On parle cette fois-ci, de l'enfance de Sarah. Des traumatismes qu'elle a vécu et de comment certains événements familiaux ont influencé sont état psychologique à lâge adulte.  Addictions, Anxiété et Relations Toxiques : Comment se reconstruire après les traumatismes ?  Les chapitres de l'épisode :  👉 Sarah grandit avec des parents anxieux 👉 Présents physiquement, émotionnellement absents 👉 Les traumatismes créés par son cadre familial 👉 Quels liens entre les addictions et les relations toxiques? 👉 Nos expériences avec des personnes toxiques 👉 Relations de couple: pourquoi sommes-nous attirés par les mauvais profils? 👉 Comment trouver un.e partenaire de couple équilibré.e? 👉 Il n’y a pas d’âge pour changer de vie 💥 Inscris-toi pour ne pas rater les prochains épisodes et soutenir le podcast :  L'instagram du podcast dispo en cliquant sur ce lien La Newsletter du podcast dispo en cliquant sur ce lienHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Pierre Oswald, psychiatre spécialisé dans le TDAH et médecin-chef à l'hôpital Gentil TK, explore les liens entre TDAH et addictions. Il explique le profil des patients atteints de TDAH et comment leurs impulsivités peuvent les mener à des comportements à risque. Les mécanismes de compensation développés par ces individus sont discutés, ainsi que l'influence de la génétique et de l'environnement. Oswald aborde aussi les défis de prescription des médicaments et l'importance d'une approche pluridisciplinaire dans le traitement.

Clara a vécu l'addiction à l'alcool à travers son conjoint. Elle vient nous raconter cette épreuve. On parle aussi de ce qu'il faut ou ne pas faire lorsqu'on découvre que son ou sa conjointe a des problèmes d'addictions.  🗣️ Les chapitres de l’épisode :  👉 Elle découvre que son conjoint est alcoolique 👉 Quelle a été sa réaction ? 👉 Son impuissance face à la situation 👉 Abstinence : Pourquoi la première cure est rarement la bonne ? 👉 Mes conseils pour les proches d’addicts 👉 Conséquences sociales et 2ème cure 👉 Cocaïne, deal et armes à feux : la descente aux enfers 👉 Clara craque : thérapeute + anti dépresseurs 👉 Doit-on quitter ou rester avec son conjoint addict ? 👉 Les 2 choses à faire quand on découvre l’addiction de son/sa partenaire 👉 Comment vont-ils aujourd’hui ? 💥 Inscris-toi pour ne pas rater les prochains épisodes et soutenir le podcast :  L'instagram du podcast dispo en cliquant sur ce lien La Newsletter du podcast dispo en cliquant sur ce lienHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Louis est inquiet pour ses amis qui plongent dans la cocaïne Avec Louis on se suit mutuellement sur Linkedin depuis quelques mois. Il est régulièrement intervenu sous mes posts à propos de mon addiction. Il m’avait déjà fait part de ses inquiétudes vis à vis de la consommation de produits dans son entourage.  Il y a quelques semaines, il m’a appelé.  Et il m’a demandé :  “Gabi j’ai un proche a qui je tiens beaucoup qui déconne avec la cocaïne” “J’aimerais l’aider mais je ne sais pas quoi faire” “Tu ferais quoi à ma place ?” 👉 Je lui ai donné quelques recommandations essentielles :  Ne pas entrer en confrontation directe avec le proche addict Montrer qu’on tient à lui  Expliquer qu’on est disponible si un jour il ou elle a besoin d’aide  → La chose fondamentale à retenir lorsqu’on s’adresse à un. addict : c’est que son mode de pensée est modifié. Il ou elle n’est plus sur le même niveau de conscience que nous. Le produit prend de la place dans son esprit. Cela modifie sa perception de lui-même et de son environnement.  → Ensuite, il faut comprendre que la plupart de nos réflexes bienveillants sont contre productifs. Il faut oublier d’espérer avoir une conversation normale. Entrer en confrontation avec l’addict en lui demandant (obligeant) de changer est à proscrire.  👉 Une approche bienveillante est à privilégier :  10% du message seulement concentré sur le problème 90% du message concentré sur le fait que vous êtes présent pour l’autre et que vous êtes prêts à l’aider lorsqu’il ou elle en fera la demande 👉 Quelques règles :  Ne pas obliger  Ne pas contraidre Pas de chantage  Surtout pas de jugement  👉 Et le plus compliqué quand on voit quelqu’un à qui on tient se détruire devant nous :  Rester patient  👉 Rappelez-vous que :  Seule la personne addict à le pouvoir de se prendre en mains.  Vous ne pourrez l’aider que si il ou elle demande de l’aide. 💡 Ne vous oubliez pas, ne portez portez pas seuls sur vos épaules ce que vous vivez. Des groupes de parole et d’entraide existent pour les proches d’addicts. Cherchez sur internet, documentez-vous et poussez la porte d’une réunion. Il en existe aussi à distance par Zoom.  🗣️ Les chapitres de l’épisode :  👉 Que faire pour aider un proche addict ?  👉 Les jeunes ne peuvent plus se passer de cocaïne 👉 Escalade : d’abord le cannabis puis la MDMA puis la cocaïne 👉 Les parents financent la drogue des enfants sans le savoir 👉 Le rapport à l’alcool de Louis  👉 Pourquoi les jeunes se droguent-ils ?  👉 L’alcoolisme du papa de Louis  👉 Les outils de Louis pour apprendre à gérer son anxiété  👉 Comment préserver sa santé mentale en apprenant à dire non 👉 Vos enfants ne fument peut-être pas que des pétards 💥 Inscris-toi pour ne pas rater les prochains épisodes et soutenir le podcast :  L'instagram du podcast dispo en cliquant sur ce lien La Newsletter du podcast dispo en cliquant sur ce lienHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L’enfance et l’adolescence de Loïc n’étaient pas des périodes heureuses. Violences, agressions, manque de confiance en lui… Mal dans sa peau, la découverte de l’alcool lui a permis d’avoir des activités sociales et de vivre ses premières expériences de vie. C’est en vacances que l’habitude de boire s’est installée. Avec l’alcool, il s’est fait ses premiers “potes” et a eu sa première expérience sexuelle. L’alcool lui permettait de changer de personnalité. Il passait du gars introverti à quelqu’un de “normal”, alors capable de vivre comme les autres jeunes de son âge. Pendant ces années, l’addiction s’est installée. Loïc se souvient qu’à 21 ans, il était totalement dépendant. 📚 DéniRosé, Ricard, 8.6 et Amsterdam. Au cours de sa vie et selon ses moyens financiers, Loïc est passé d’un alcool à l’autre. Et puis d’un travail à l’autre lorsqu’on le remerciait à cause de sa consommation. Malgré l’évidence de son comportement et de ses actes, Loïc est toujours resté dans le déni caractéristique des alcooliques. 📚 Explosion et entrée en cureUn week-end de mai 2016, sa femme et son fils partent pour un séjour en Bretagne. Pendant ce temps-là, Loïc travaillait et devait ouvrir son magasin à 6h30 du matin. Sauf que la veille, il avait travaillé toute la journée et s’est arrêté de boire à 3h du matin. Il s’est réveillé en retard à 8h00. Et face à cet échec, il a explosé. Il a retourné sa colère contre les objets qu’il a trouvé dans la pièce où il se trouvait. Puis il a appelé son frère qui habitait pas loin de chez lui. Il lui a demandé le contact d’un de ses amis psychiatre et est entré pour son premier séjour en cure. 📚 Rechute et descentes aux enfersAprès 5 mois d’abstinence, contrarié par un événement familial “bénin”, il décide de boire un petit verre de whiskey de 2cl. (Je précise “petit” car c’était une quantité insignifiante par rapport à ce qu’il consommait avant) Il n’a rien bu d’autre ce jour-là. Mais une semaine plus tard. Il rechute. Sévèrement. Son couple explose. Sa femme se sépare de lui. L’ordonne de quitter sa maison. Et il entre dans une descente aux enfers. Il a tout perdu : ses papiers, son travail, son argent et est devenu SDF. Il a aussi fait plusieurs séjours en centre, mais a rechuté à chaque fois.  📚 26 avril 2021 : 2 ans 5 mois et 5 jours d’abstinenceCette fois-ci, c’était la bonne. En tous cas, “un jour à la fois” comme on dit. Pour la première fois, et pas sans efforts, il a réussi à maintenir durablement son abstinence. L’encadrement dont il a bénéficié et le travail qu’il a fait sur lui-même l’ont amené à un endroit qu’il n’avait jamais connu de sa vie. Pour la première fois de son existence, Loïc apprend à s’aimer. À faire la paix avec son passé, à vivre avec, à le digérer. À l’heure où on enregistre, Loïc est abstinent depuis 2 ans 5 mois et 5 jours ❤️Il est passionné par le dessin et par la peinture. Et il vient de se lancer dans le stand-up. Des activités qui l’aident à avancer et qui donnent du sens à l’homme qu’il est aujourd’hui.  🗣️ Les chapitres de l’épisode : 👉 L’alcool : la libération d’un introverti👉 Son addiction au travail👉 Le déni de son alcoolisme👉 Il explose et entre en cure de désintoxication👉 Rechute sévère, c’est la descente aux Enfers 👉 Abstinence : 2 ans 5 mois et 5 jours (26 avril 2021)👉 Comment reprendre goût à la vie après l’addiction ?💥 Inscris-toi pour ne pas rater les prochains épisodes et soutenir le podcast : L'instagram du podcast dispo en cliquant sur ce lienLa Newsletter du podcast dispo en cliquant sur ce lienMerci à Abigaïl du compte @Voyageuse_au_naturel pour le prêt du matériel d'enregistrement. T'as géré meuf !!  🙏

Carol a 29 ans. Les substances font partie de sa vie depuis qu'elle en a 11. Elle a construit son identité dans les produits. Elle a pris conscience qu'elle est addicte et elle veut s'en sortir. “Je suis consciente d’être addicte, mais je ne sais pas m’arrêter”Carol a commencé à boire de l’alcool et à fumer du tabac l’année de ses 11 ans.  À 15 ans, elle fumait déjà du cannabis tous les jours. La MDMA est arrivée dans sa vie lorsqu’elle en avait 18. Elle en a consommé de manière épisodique pendant plusieurs années. Mais lors d’un festival de fin juin 2022, elle a redécouvert le produit, et c’était la “révélation”.  “Je découvre le Paradis” Sa prise de MD en festival lui procure une sensation de plaisir qu’elle n’avait jamais connue avant. Le produit lui permet de s’échapper de la réalité quelques instants. Ce moment l’apaise et elle recommence rapidement. Elle multiplie et rapproche les prises. Et quelques mois plus tard… Elle se retrouve à en prendre seule chez elle. Arrivent alors de violentes descentes avec crises de panique et crises d’angoisse.  La drogue est un refugeCarol consomme des substances tous les jours depuis près de 20 ans. Elle a construit son identité dans la consommation. Elle a grandit dans un cadre familial qui banalisait la consommation de drogues. Ensuite, la drogue a toujours été valorisée dans son entourage. “Ce que je pensais être des moments de bonheur n’en sont pas vraiment” Elle a récemment compris que ce qu’elle pensait être un refuge n’en était pas un.  Depuis peu, elle pose sur son comportement le mot : addiction. Et elle veut trouver des solutions pour aller mieux. “J’ai peur d’arrêter”Carol fait face à des questionnement légitimes : Que va-t-il se passer si j’arrête ? Je ne sais pas qui je suis sans les produit Qu’est-ce que je dois faire pour m’en sortir ? Elle est en pleine phase de de prise de conscience et de questionnements. 👉 Dans cet épisode, on discute de son parcours et de sa situation actuelle, et on réfléchit ensemble à ce qu’elle pourrait faire pour s’en sortir. 🗣️ Les chapitres de l’épisode : 👉 Cannabis, Alcool et Ecstasy : les substances contrôlent sa vie👉 Contexte familial : son père l’initie au cannabis 👉 La souffrance de son syndrome physique de sevrage👉 Les erreurs à éviter quand on arrête une drogue seul.e👉 “Je suis consciente d’être addicte, mais je ne sais pas m’arrêter”👉 Que faire quand on a compris qu’on a un problème et qu’on veut se faire aider ?👉 Testing : fais analyser tes produits pour réduire les risques 👉 Le message d’espoir de Carol aux autres addicts💥 Inscris-toi pour ne pas rater les prochains épisodes et soutenir le podcast :  L'instagram du podcast dispo en cliquant sur ce lienLa Newsletter du podcast dispo en cliquant sur ce lien Merci à Abigaïl du compte @Voyageuse_au_naturel pour le prêt du matériel d'enregistrement. T'as géré meuf !!  🙏Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Lise est une jeune libraire de 24 ans et est atteinte du trouble de la personnalité borderline.  Dans cet épisode, elle vient nous parler de son addiction aux benzodiazépines, de son servage et de sa rechute. Médicaments anxiolytiques qu'elle s'est vue prescrire par un médecin lorsqu'elle traversait des périodes d'angoisses.  Son problème, c'est qu'elle a une tolérance naturelle très élevée à ce type de molécules. Ne ressentant pas assez d'effets en prenant les doses conseillées par son médecin, elle les a augmentées d'elle-même. Jusqu'à en devenir complètement addict et monter jusqu'à une plaquette de Lexomil par jour.  On parle également de scarifications. Une pratique à laquelle elle a longtemps eu recours et qu'elle considère comme une addiction. Alors qu'elle s'en pensait débarrassée depuis quelques mois, elle m'explique qu'elle a récemment recommencé à s'ouvrir les bras. Elle me raconte que cela lui procure une sensation d'apaisement lorsqu'elle ne parvient plus à gérer certaines émotions intenses.  Attention : On parle également d'un viol. (elle a porté plainte et un jugement est toujours en cours, l'accusé est donc présumé innocent) Selon elle, cet événement serait à l'origine du déclenchement de son trouble borderline.  🗣️ Les chapitres de l’épisode 👉 Addicte aux benzos, elle avalait la plaquette complète de Lexomil 👉 Comment a-t-elle fait son sevrage de benzos ? 👉 Son addiction aux scarifications 👉 Trouble Borderline : tout se déclenche à la suite d’un viol 👉 Pourquoi a-t-elle rechuté dans les benzodiazépines ? 👉 Ça fait quoi de vivre avec un trouble de la personnalité Borderline ? 💥 Inscris-toi pour ne pas rater les prochains épisodes et soutenir le podcast :  L'instagram du podcast dispo en cliquant sur ce lien La Newsletter du podcast dispo en cliquant sur ce lien Merci à Abigaïl du compte @Voyageuse_au_naturel pour le prêt du matériel d'enregistrement. T'as géré meuf !!  🙏Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

À la vingtaine, Ewa débarque “un peu par hasard” dans le monde du vin. Elle adore son job, mais sans vraiment s’en apercevoir, les années passent et les habitudes de consommation d’alcool s’installent.  Après tout : ”Quand tu bosses dans le vin, t’as pas l’impression que boire c’est mal, car on boit tout le temps des super bons produits” “Normalement, on devrait recracher, et ON DOIT recracher quand on goûte des vins. Mais j’ai mis longtemps avant d’en prendre l’habitude” Si bien qu’un jour elle réalise qu’en fait, elle boit presque toute la journée :  10h du matin : Dégustation avec les vignerons  12h au déjeuner : Restaurant avec un verre de vin  Fin de service : Apéro avec les collègues  Rentrer à la maison à minuit.  Et recommencer le lendemain.  Le seul moment où elle ne buvait pas d’alcool, c’était au petit-déj.  (Bon, elle a déjà essayé le Whiskey en matinée mais elle a vite oublié l’idée 😆  Elle te raconte cette drôle d’anecdote dans l’épisode) Prise de conscience pendant le Covid  Comme quasi tout le monde, elle se retrouve à l’arrêt chez elle pendant la pandémie. Elle n’est pas spécialement en manque d’alcool, mais son temps libre lui permet de prendre conscience des quantités qu’elle ingurgite à longueur de semaines.  À ce moment-là, elle commence à mettre en place une routine sportive et décide d’adopter une approche plus responsable vis à vis de sa consommation d’alcool. D’abord parce qu’elle comprend bien qu’elle ne tiendra plus longtemps comme cela. Mais aussi car elle souhaite s’engager dans un nouveau mode de vie plus sain.  À Dieu les gueules de bois qui font mal. À Dieu les journées perdues à récupérer dans son lit. Et bonjour les moments où elle prend vraiment soin d’elle.  Engagée pour préserver l’artisanat viticole français ✊  Si j’ai invité Ewa, c’est parce que je suis fan de ses publications sur Linkedin. Ok, son taff c’est de promouvoir le vin. Mais sa position est très réfléchie ! Elle a une approche très saine vis à vis de l’alcool dans sa communication.  Elle raconte notamment des histoires sur les grands domaines viticoles français, elle déconstruit des idées reçues ou encore, elle donne des conseils sur comment choisir son vin lorsqu’on n’y connaît rien.  On sent bien que c’est une passionnée. Et qu’elle se place à l’opposé des grosses machines industrielles que sont les fabricants d’alcool qu’on connaît tous.  Dans l’épisode, elle m’explique d’ailleurs pourquoi c’est important de soutenir la filière du vin en France. Et je découvre qu’en fait, il a des centaines de vignerons qui possèdent un véritable savoir-faire artisanal et ancestral qu’il faut faire perdurer. Sous peine de voir disparaître une réelle richesse du patrimoine français 😔 Ewa n’a pas sa langue dans sa poche. Et bordel, qu’est-ce que ça fait du bien ! Elle est passionnée par son métier et sainement engagée pour faire rayonner l’artisanat viticole français.  C’était un plaisir de la recevoir, j’espère que l’épisode te plaira à toi aussi 😊 🗣️ Les chapitres de l’épisode 👉 Mon métier, c’est de promouvoir le secteur du vin  👉 La place sournoise de l’alcool dans le monde du travail  👉 Pourquoi avait-elle besoin / envie de boire aussi souvent ?  👉 Comment a-t-elle réussi à se poser des limites pour réduire sa consommation ? 👉 Qu’elle est la place de la femme dans le secteur du vin ?  👉 Quand les hommes qui ne respectent pas les femmes dans et en dehors du monde professionnel  👉 L’avis d’Ewa sur “Faut-il interdire la publicité de l’alcool ?” Sinon que faire ?  👉 L’avis d’Ewa sur le vin sans alcool  💥 Inscris-toi pour ne pas rater les prochains épisodes et soutenir le podcast :  L'instagram du podcast dispo en cliquant sur ce lien La Newsletter du podcast dispo en cliquant sur ce lien