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Le goût de M

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Jun 23, 2022 • 38min

#70 Noémie Merlant

Paris, 15e arrondissement. On s'avance dans une petite rue très calme. On s'arrête devant un immeuble moderne. Noémie Merlant nous reçoit chez elle, à l'occasion de la sortie cet été de son premier film comme réalisatrice Mi Iubita mon amour, dans un espace qui lui ressemble, « très cosy, très coloré, avec beaucoup de choses, beaucoup d'objets, de petites lumières à droite à gauche ». La comédienne et cinéaste âgée de 33 ans évoque son enfance joyeuse à Rezé, près de Nantes, l'influence de sa grande sœur avec qui elle aimait regarder la télé et des films asiatiques, son goût pour la danse et la chanson, sa fascination pour la voix de Céline Dion, ses expériences de mannequin, la révélation du cours Florent, l'importance du Portrait de la jeune fille en feu de Céline Sciamma dans sa vie, la question du consentement, sa découverte du monde des invalides, sa passion pour Gabriel de George Sand et pour les sacs à dos : « Déjà petite, je mettais déjà plein de trucs dedans, comme si je n’allais pas avoir à manger à l’école. C’était le kit de survie, et ça l’est toujours. Aujourd'hui, dedans il y a de quoi dessiner, mon ordinateur si je veux écrire un truc, du tricot, des livres. Et puis des trucs à manger. C’est un peu ma maison, ça me rassure. »Depuis trois saisons et désormais toutes les semaines, la productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d’une personnalité. Qu’ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d’enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d’un corpus de goûts, d’un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal)préparé avec l’aide de Diane Lisarelli et Mélissa PhulpinRéalisation :  Emmanuel Baux          Musique : Gotan Project Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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Jun 16, 2022 • 32min

#69 Ibeyi

Le sud de Londres. Une petite allée, on laisse un pub sur la gauche. Lisa-Kaindé et Naomi Díaz du duo Ibeyi nous reçoivent, quelques semaines après la sortie de leur troisième album Spell 31, dans l'appartement de Lisa, « un petit havre de paix rempli d'objets qui ont une âme et qui l'accompagnent ». Les sœurs jumelles âgées de 27 ans évoquent leur enfance à Cuba puis à Paris, l'influence de leur père musicien décédé alors qu'elles étaient encore enfant, leur amour des films de Hayao Miyazaki, leurs premières chansons, leur rencontre avec Richard Russell qui les signe sur son label XL, leur obsession pour l'amour, la transmission, la tradition, leur admiration pour les artistes Belkis Ayón, Asha ou Nina Simone et leur fascination pour Londres : « C'est une ville cosmopolite où les choses vont un peu plus vite qu'à Paris. Il y a beaucoup d'art, beaucoup de personnes qui bossent dans les bars et essaient de faire de la musique. Il y a une énergie extraordinaire. »Depuis trois saisons et désormais toutes les semaines, la productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d’une personnalité. Qu’ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d’enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d’un corpus de goûts, d’un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal)préparé avec l’aide de Diane Lisarelli et Mélissa PhulpinRéalisation : Guillaume Girault            Musique : Gotan Project Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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Jun 9, 2022 • 44min

#68 Léa Drucker

Paris, dans le quartier de Pigalle. On monte au quatrième étage. Léa Drucker nous reçoit, à l'occasion de la sortie du film de Quentin Dupieux Incroyable mais vrai, chez elle, dans un espace qui lui ressemble un peu, ancien atelier de peinture et studio de danse transformé en appartement La comédienne âgée de 50 ans évoque son enfance passée entre Tours et les États-Unis, les grandes figures sophistiquées de l'Hollywood des années 1930/40 comme Jean Harlow qui la faisaient fantasmer, les répétitions de l'émission « Champs-Élysées » auxquelles elle assistait, la séparation de ses parents, sa passion pour le patinage artistique puis le théâtre, ses premières années à Nova aux côtés d'Edouard Baer, son début de carrière de comédienne compliqué avant une reconnaissance tardive, ses collaborations avec Éric Rochant, Xavier Legrand ou Quentin Dupieux, sa fascination pour Prince, son amour de la nuit, son attachement à certains objets et son goût pour un certain cinéma engagé : « Les films qui m'ont le plus marquée ces dix dernières années parlaient de politique ou de social à partir d'une histoire assez simple en apparence. 4 mois, 3 semaines, 2 jours de Christian Mungiu sur l'avortement me hante encore. »Depuis trois saisons et désormais toutes les semaines, la productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d’une personnalité. Qu’ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d’enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d’un corpus de goûts, d’un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal)préparé avec l’aide de Diane Lisarelli et Mélissa PhulpinRéalisation :  Guillaume Girault            Musique : Gotan Project Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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Jun 2, 2022 • 43min

#67 Jonathan Cohen

Au nord de Paris, non loin de Belleville. Dans les locaux d'une boîte de mixage. Jonathan Cohen nous reçoit, à l'occasion de la diffusion de sa série Le Flambeausur Canal+, dans un espace de fabrication du programme dans lequel il passe« ses jours et ses nuits »et dans lequel il se sent bien.L'acteur âgé de 41 ans évoque son enfance à Pantin, sa passion pour la télé et les dessins animés du « Club Dorothée », son envie de se lancer très tôt dans la vie active, les premiers métiers qu'il a exercés avant d'avoir un coup de foudre pour le théâtre, ses premiers rôles puis sa frustration grandissante jusqu'à Serge Le Mytho, sa vision de l'humour et de l'improvisation, son amour du « Saturday Night Live », son goût des lunettes de soleil et des fabriques de qualité, son rapport compulsif aux choses et son besoin d'évoluer en groupe : « On fait des métiers très difficiles dans le sens où il y a zéro garantie de réussite, de succès, de travail. Le chemin est tellement dur en lui-même que c'est toujours plus cool si on est accompagnés. Si je n'avais pas eu tous ces gens autour de moi, ça m'aurait enlevé beaucoup de joie et beaucoup de force surtout. »Depuis trois saisons et désormais toutes les semaines, la productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d’une personnalité. Qu’ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d’enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d’un corpus de goûts, d’un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal)préparé avec l’aide de Diane Lisarelli et Mélissa PhulpinRéalisation :  Guillaume Girault            Musique : Gotan Project Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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May 19, 2022 • 50min

#66 Marina Hands

Paris, 16e arrondissement, une petite rue calme près du Trocadéro. On approche d'une belle porte ancienne, on sonne, direction le dernier étage au fond du couloir. Marina Hands, à l'affiche du film Hommes au bord de la crise de nerf et bientôt sur le petit écran dans la série Hors-saison, nous reçoit, dans un espace « assez grand, avec pas mal d'animaux, quelque part entre Fenêtre sur cour et Blanche-neige. ».La comédienne âgée de 47 ans évoque son enfance entre Paris et l'Angleterre auprès de parents comédiens qui lui transmettent le goût du spectacle vivant, sa passion pour la danse puis l'équitation, son caractère introverti, sa rencontre déterminante avec Patrice Chéreau, sa gestion compliquée du succès du film Lady Chatterley, son admiration pour les artistes anticonformistes comme Bjork ou Lady Gaga, sa volonté d'incarner des personnages de femmes complexes, sa détestation des choses molles et son attirance pour ceux qui savent magnifier la vie : « Je trouve la vie en général beaucoup trop douloureuse. Je trouve que les gens souffrent trop. Les gens qui trouvent le moyen comme ça d’amener une couleur, d’amener une poésie, d’amener un regard aimant sur notre misère, ça me touche beaucoup. »Depuis trois saisons et désormais toutes les semaines, la productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d’une personnalité. Qu’ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d’enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d’un corpus de goûts, d’un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal)préparé avec l’aide de Diane Lisarelli et Mélissa PhulpinRéalisation : Emmanuel Baux        Musique : Gotan Project Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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May 12, 2022 • 43min

#65 Vincent Delerm

Paris, 11e arrondissement, du côté de Belleville. Un immeuble en pierre avec une immense cour intérieure. Au fond sur la droite, on monte au quatrième. Vincent Delerm nous reçoit, à l'occasion de ses 20 ans de carrière célébrés par une série de concerts à l'Européen, dans un espace « très calme et très lumineux, addition du paysage mental de deux personnes ».Le chanteur, photographe et réalisateur âgé de 45 ans évoque son enfance en Normandie auprès de parents profs engagés riches d'une pratique artistique, sa découverte du piano vers 15-16 ans, son attachement à l'objet CD, son admiration pour Yves Simon, Franck Monnet, Stéphane Blok ou Jean-Michel Caradec, sa meilleure entente avec les filles, son goût de l'intimisme et des conversations profondes, son amour pour les films modestes de Philippe de Broca ou Bruno Podalydès, son attirance pour l'attitude faussement stricte de certains chanteurs anglais, son rapport au name dropping ou à la nostalgie, son dégoût du fayotage et son approche de la scène : « Je n'ai pas voulu m'habituer à des trucs immenses. J'aime la vie de théâtre. J'ai du plaisir à revenir tous les jours dans la même salle, à laisser mes affaires. J'ai vraiment fantasmé là-dessus. Barbara qui arrivait et comptait le nombre de pas qu'elle avait à faire jusqu'au micro, ça m'a complètement fasciné. »Depuis trois saisons et désormais toutes les semaines, la productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d’une personnalité. Qu’ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d’enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d’un corpus de goûts, d’un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal)préparé avec l’aide de Diane Lisarelli et Mélissa PhulpinRéalisation :  Guillaume Girault            Musique : Gotan Project Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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May 5, 2022 • 42min

#64 Eva Ionesco

Paris, 6e arrondissement. Non loin de la Seine, à deux pas du boulevard Saint-Germain. Eva Ionesco nous reçoit, quelques mois après la publication de son deuxième roman Les Enfants de la nuit dans l'hôtel La Louisiane, un espace dans lequel elle a aimé vivre quelques mois quand elle avait 17 ans. Cet établissement dans lequel beaucoup d'écrivains et de musiciens de jazz ont aussi vécu est considéré comme le Chelsea Hotel français.La romancière et réalisatrice âgée de 56 ans évoque son enfance complexe auprès d'une mère qui lui a transmis une certaine sophistication et le goût des livres mais qui lui a également fait vivre des choses douloureuses qui ont rejailli plus tard, sa rencontre avec Christian Louboutin et leurs sorties dans Paris, son amour de la danse, ses après-midis passées au cinéma, ses années Palace, son fétichisme du vêtement, sa formation théâtrale aux Amandiers à Nanterre, sa passion pour la nage, la mode des années 1950, Modiano ou Colette : « C'est quelqu'un qui a beaucoup raconté son enchantement, son désenchantement, son âge mûr, son âge jeune, un demi-monde, ses histoires d'amour. C'était impudique, c'était très charnel. Et puis elle écrit tellement bien. »Depuis trois saisons et désormais toutes les semaines, la productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d’une personnalité. Qu’ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d’enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d’un corpus de goûts, d’un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal)préparé avec l’aide de Diane Lisarelli et Mélissa PhulpinRéalisation :  Emmanuel Baux              Musique : Gotan Project Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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Apr 28, 2022 • 52min

#63 Charlotte Gainsbourg

Paris, 7e arrondissement. Un très bel hôtel, à deux pas de la rue de Verneuil. Charlotte Gainsbourg nous reçoit, à l'occasion de la diffusion de la saison 2 d'En thérapie sur Arte et de la sortie à venir du film Les Passagers de la nuit signé Mikhaël Hers, dans un espace qui ne lui ressemble pas mais dans lequel elle adore se rendre.La comédienne et chanteuse âgée de 50 ans évoque son enfance à Paris auprès de sa grande sœur Kate avec qui elle partageait sa chambre, les nombreux films vus sur le projecteur de salon avec Serge Gainsbourg, le goût très anglais de Jane Birkin, son caractère très solitaire nourri d'un riche dialogue intérieur, son attirance pour un monde plus populaire que le sien, les souvenirs enchantés de ses premiers tournages, son amour des hôtels et de la photographie, sa recherche dans son travail des petits accidents, sa participation à la série En thérapie et sa collaboration avec Lars Von Trier qui lui a appris à lâcher prise : « Sur le tournage d'Antichrist, je suis passé d'un moment de ma vie où j'étais obnubilé par ma santé après un accident au cerveau à me demander si ça allait recommencer, si j'allais claquer à j'oublie complètement tout ce qui s'est passé, je suis à poil et je hurle dans les bois. C'était d'une telle excitation. »Depuis trois saisons et désormais toutes les semaines, la productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d’une personnalité. Qu’ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d’enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d’un corpus de goûts, d’un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal)préparé avec l’aide de Diane Lisarelli et Mélissa PhulpinRéalisation :  Guillaume Girault               Musique : Gotan Project Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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Apr 21, 2022 • 41min

#62 Pierre Yovanovitch

Paris, 2e arrondissement. On s'avance dans une petite rue en pente du Sentier. On arrive devant un hôtel particulier du XVIIIe siècle. Pierre Yovanovitch nous reçoit, à l'occasion du lancement d'une ligne d'accessoires pour Dior Homme, dans la Maison qui accueille son agence. Un lieu de travail où « il a envie d'être avec ses équipes », un « avant-goût du goût ».L'architecte d'intérieur âgé de 56 ans évoque son enfance à Nice et la résidence secondaire familiale à Valberg à la déco très années 1970 qui lui laissa une forte impression, son goût de la solitude, son obsession pour les poteries de Vallauris, son admiration pour l'homme d'affaires Pierre Cardin ou pour l'architecte Axel Einar Hjorth, son ennui du baroque, le château à Fabrègues qu'il a transformé en vraie maison de famille, sa passion pour la botanique, son insatisfaction permanente et l'importance qu'ont les livres dans sa vie : « Les ouvrages d'architecture, d'arts déco, d'art contemporain ont formé mon goût. J'ai des milliers de livres chez moi. La bibliothèque, le lieu où on se retrouve pour lire, c'est très important pour moi. »Depuis trois saisons et désormais toutes les semaines, la productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d’une personnalité. Qu’ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d’enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d’un corpus de goûts, d’un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal)préparé avec l’aide de Diane Lisarelli et Mélissa PhulpinRéalisation :  Emmanuel Baux                 Musique : Gotan Project Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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Apr 14, 2022 • 45min

#61 Céline Sallette

Paris 19e arrondissement, une rue en pente. On monte au 3e étage sans ascenseur. Céline Sallette nous reçoit chez elle, un espace « lumineux, rangé mais pas trop », à l'occasion de la diffusion sur Canal+ de la série Infiniti.La comédienne âgée de 41 ans évoque son enfance sur le bassin d'Arcachon, sa découverte du théâtre à l'âge de 13 ans, sa période baba cool, sa construction dans le regard des autres, son admiration pour Virginie Despentes ou Sofia Coppola, la lente maturation de sa carrière au cinéma, le travail du comédien, sa fascination pour Niki de Saint Phalle, son obsession pour la transformation, sa conversion au zéro déchet, son coup de cœur pour le film Petite nature, la force de caractère des Ukrainiens ou son goût pour les autobiographies et les histoires vraies : « J'aime savoir comment les gens trouvent des solutions à leurs problèmes, à leurs questions existentielles, ça m'intéresse ce partage. »Depuis trois saisons et désormais toutes les semaines, la productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d’une personnalité. Qu’ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d’enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d’un corpus de goûts, d’un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal)préparé avec l’aide de Diane Lisarelli et Mélissa PhulpinRéalisation :  Emmanuel Baux                 Musique : Gotan Project Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.

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