

Le Panier
Laurent Kretz | Orso Media
Le Panier, c’est le podcast qui part à la rencontre des entrepreneurs de l’e-commerce pour (re)cueillir bonnes pratiques et conseils concrets. Toutes les semaines, une conversation spontanée pour parler business, conversion, SEO, Amazon, logistique ou UX design. Incontournable pour quiconque veut se lancer dans la vente en ligne. Fièrement propulsé par COSA.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Episodes
Mentioned books

Sep 10, 2021 • 1h 26min
#114 - Lovebox : comme craquer le code des États-Unis, avec Jean Grégoire
Le sujet : Partir d’un besoin fondamental : dire aux gens qu’on les aime en leur envoyant de l’amour et du bonheur. Peu à peu, conquérir le marché américain et réussir à être rentable dès le tout premier trimestre. Ce n’est pas un conte de fées mais bien la belle histoire de la Lovebox.L’invité : À la fin de ses études, en 2017, Jean Grégoire vit une belle histoire d’amour qui lui inspire son produit devenu phare : la Lovebox. Le concept est simple, une boîte à amour connectée qui permet d'échanger d'une façon privilégiée avec nos proches et qui fait de chaque message envoyé un cadeau. Lovebox : Petit boîtier en bois connecté, la Lovebox a très vite séduit son public et a aujourd’hui été vendue plus de 150 000 fois. Après une campagne Kickstarter lancée en 2017, Jean Grégoire a conquis le marché américain dès 2019. Aujourd’hui la Lovebox est vendue à 95% en ligne et 80% des ventes s’effectuent même en Direct To Consumer. Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur la genèse de Lovebox et Jean Grégoire se confie sur leurs différents apprentissages, notamment : # Pour se lancer sur le marché américain il est important d’avoir un produit fini et déjà testé. # En tant qu’entrepreneur, il s’agit de trouver le bon trade-off entre se lancer vite et pas trop tard. # Réussir ses objectifs Kickstarter est aussi ce qui permet d’être sélectionné dans la newsletter Kickstarter et donc de gagner en visibilité. # Il est plus facile de faire +10% dans un pays où l’on est déjà présent que 10% dans un nouveau pays. Il est donc plus productif de se focaliser sur 1 ou 2 pays au départ. # Leur produit est “tiktokable” et représente 50% de leur new biz. Jean Grégoire imagine d’ailleurs que d’ici quelques années certains produits seront même designés pour TikTok. # Enfin, Jean se livre sur leurs objectifs à venir et les nouveaux produits qu’il compte développer.Ils parlent aussi d’anciens épisodes du Panier :#12 – Lunii : De 0 à 20 millions d’euros en 3 ans, une belle histoire d’hyper-croissance#29 – Shapeheart : Youtube, Amazon et influence : la recette pour optimiser son lancement#67 - Sodilog - Écueils opérationnels à éviter en scale-up pour rester maître à bord#Catch-up 5 – Lunii : Il était une fois … une startup en hypercroissance qui rapatrie sa production pour être fidèle à ses valeursPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
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Sep 3, 2021 • 1h 18min
#113 - DĒVOR : La cuisine est-elle morte ? avec Jean Valfort
Le sujet : Dans cet épisode de rentrée on parle BOUFFE ! De son passé, de son présent et de son futur. 10 ans en arrière auriez-vous imaginé des restaurants sans service à table ?L’invité : Restaurateur depuis 8 ans, Jean Valfort a ouvert une dizaine de restaurants entre Nice et Paris avant de se lancer dans la restauration virtuelle (autrement dit, des restaurants qui ne font que de la livraison).DĒVOR : Franchiseur nouvelle génération, DĒVOR s’adresse à celles et ceux qui veulent faire leurs premiers pas dans la restauration virtuelle. Fondée en 2021, la société comptabilise déjà 9 restaurants et ne compte pas s'arrêter là ! Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, Jean Valfort livre ses meilleurs conseils pour se lancer dans la restauration en 2021 : # L’emplacement reste important, il faut faire appel à de très bons décorateurs, très bon chefs et une très bonne agence de presse, notamment dans des villes très concurrentielles comme Paris. Il faut ensuite proposer un service impeccable et bon rapport qualité/prix. #Ouvrir un restaurant à Paris ou en région sont deux expériences très différentes. Le poids du social media et des influenceurs est plus important en région car la nouveauté est constante à Paris. #Avoir en tête que la restauration est un des derniers sujets qui se consomme à proximité, on ne peut pas manger dans les restaurants étrangers. # Un restaurant en France est remboursé au bout de 7 ans, c’est alors un pari réussi. A ce stade, il peut être intéressant d’en faire une institution ou une vache à lait qui peut être revendue. # Avec un restaurant, on peut espérer entre 10% et 30% d'ebidta. #Dans la restauration virtuelle, les leviers sont très opérationnels : il faut livrer chaud, préparer les plats en moins de 5 minutes, le livreur doit attendre très peu devant la cuisine et le restaurant doit avoir des bonnes notes de la part des clients . C’est un métier de process.Ils parlent aussi d’anciens épisodes du Panier : #87 - Just Eat : Comment le marché du food delivery a pris 3 ans de maturité en quelques mois ?, avec Méleyne Rabot#102 - La Maison de La Poutine : Penser l’expérience client comme un contenu, avec Guillaume NatasPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
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Aug 27, 2021 • 1h 11min
[REDIFF] - Flowrette : D’un side-project à 1M€+ de CA en 1 an et sans coder, avec Côme Filippi
L’invité : C’est après avoir visité un marché aux fleurs lors de leur voyage en Thaïlande que Côme Filippi et sa compagne Elodie Gervet, ont l’idée de créer Flowrette, une marque autofinancée de produits artisanaux spécialisée dans la décoration et la création de bouquets de fleurs séchées.Le sujet : Si Flowrette était à l’origine le side project de Côme et Elodie, ils en ont très vite fait leur business à temps plein. Et pour cause, quelques mois seulement après la création de Flowrette, la marque réalisait entre 30 et 40 commandes par jour ! Le tout pour un chiffre d’affaires de plus d’un million d’euros en 2020. L’objectif désormais ? Doubler ce CA en 2021. Et c’est bien parti !Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils expliquent :# Que monter un business est accessible à TOUS et TOUTES. Eux ont tout fait tout seuls et en plus de leur travail. Si vous avez une idée, foncez !# Comment ils ont utilisé Google Trends mais aussi Google Keyword Planner dès le début, pour s’assurer de la tendance des fleurs séchées sur le marché.# Mais aussi comment ils se sont servis du SEO et de plugins comme Moz et Affilae pour connaître les domaines d’autorités des sites de leurs concurrents.# Pourquoi ils ont choisi de vendre des fleurs séchées, beaucoup moins polluantes que des fleurs fraîches en provenance de l’autre bout du monde.# Sa préférence pour Shopify face aux autres CMS : plus stable mais surtout plus compatible avec de nombreux plugins.# L’importance d’ouvrir des boutiques physiques pour rencontrer ses clients et avoir leur avis en direct sur le produit.# La saturation du marché des fleurs séchées. Aujourd’hui la demande B2B est supérieure à l’offre donc il est important de générer du stock et d’être au plus proche des producteurs de fleurs.# L’importance de choisir ses combats pour être plus performant. Eux, par exemple, ont choisi de se focaliser sur l’offre B2C.Ils évoquent également d’anciens épisodes du Panier :#53 – Wecasa : Convaincre 100 000 acheteurs de services à domicile en 4 ansPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
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Aug 20, 2021 • 1h 10min
[REDIFF] - Eskimoz : 10 conseils SEO spécial e-commerce, avec Benoît Perrotin
“Pour faire un bon SEO, il faut être curieux de nature, aller regarder ce que fait la concurrence, mais aussi savoir se remettre en question en permanence.”Benoît Perrotin, le nouvel invité du Panier, est le directeur SEO d’Eskimoz, une agence de référencement naturel. Après des études de développement informatique, Benoît s’est très rapidement intéressé au SEO et a intégré Performics et Pixmania pour se spécialiser. Chez Eskimoz, il est chargé de la BU e-commerce et aide chaque entreprise dans sa stratégie de visibilité sur le web.“Il est toujours important d’afficher des éléments de réassurance dans ses méta-descriptions : paiement sécurisé, livraison offerte, retours gratuits etc. L’internaute se sentira plus en confiance.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur tous les rouages du référencement naturel, et offrent plus de 10 conseils concrets et actionnables pour votre SEO :15’28 : En e-commerce, pour créer un bon site, il faut bien penser son parcours utilisateur pour qu’il soit le plus court possible.18’45 : Il ne faut pas sous-estimer le point d’entrée de la page d’accueil. Il est essentiel de mettre les meilleurs liens possibles et il ne s’agit pas de mettre en avant son nouveau produit mais au contraire des produits stratégiques. 26’32 : Si l’on a 50 pages de listes de produits, il faut multiplier le nombre de produits sur chaque page et paginer sous la forme “1,2,3,4,5...10...50” pour que les fiches produits soient indexées plus facilement. 32’10 : Lorsque l’on fait de l’infinite scroll, il faut prévoir une navigation alternative sous forme de pagination pour que tout le contenu soit indexable. 34’54 : Pour indiquer à Google qu’une fiche produit est très importante, il faut faire du maillage interne entre les différentes fiches. 38’28 : Faire de l’up-sell ou du cross-sell est intéressant du point de vue de l’expérience client mais pas forcément du côté SEO.42’52 : Il vaut mieux utiliser des # plutôt que des ? dans ses URL.47’20 : Au début, il vaut toujours mieux se focaliser sur l’optimisation de ses meilleurs produits.48’36 : Un marquage des avis produits permet un taux de clic en hausse de 30% à 40%. De même, il est important de faire une moyenne des notes du site et de les restituer dans les pages catégories.57’22 : Lorsque l’on est présent à l’international, il est très important de localiser le contenu et de créer des contenus spécifiques à chaque pays. 59’25 : Il faut bien travailler sa performance web et la vitesse de chargement de sa page. Cela passe par des images moins lourdes, du lazy loading, etc. Benoît Perrotin livre aussi ses conseils en terme d’outils pour améliorer son référencement : Trustpilot, Avis-Vérifiés, Imagify sur Wordpress, Lazy Load, Screaming Frog ou encore SEObserver. On y parle aussi d’anciens épisodes du Panier :#38 – Jonak : Comment digitaliser et internationaliser la distribution de sa marque familiale ?#40 – MaCoque : Se battre contre Amazon en auto-financement et croissance organique#42 – Superprof : Croissance externe et SEO, les ingrédients d’une hyper-croissance auto-financée. Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
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Aug 13, 2021 • 1h 19min
[REDIFF] - Respire : Bonnes pratiques et croissance organique pour séduire 50 000 clients en 1 an, avec Thomas Méheut
“Dès le début de l’aventure, on a fait intervenir la communauté de Justine dans le développement produit. On a échangé avec plusieurs personnes sur le projet, le produit, le parfum etc.”Thomas Méheut, nouvel invité du Panier, est le co-fondateur de Respire, une gamme complète de soins d’hygiènes bons pour la peau, recyclables et fabriqués en France. Après s’être fait diagnostiqué une tumeur bénine à la poitrine, Justine Hutteau, la co-fondatrice, a souhaité, avec Thomas, créer des produits qui ne soient plus nocifs pour son corps. Seulement un an après le lancement de son premier produit — un déodorant naturel — Respire a réalisé plus d’un million de ventes et satisfait 50 000 clients en ligne. Aujourd’hui, la marque propose une quinzaine de références et est distribuée chez Monoprix, Sephora et bientôt dans de nombreuses pharmacies.“Lorsqu’on a lancé notre crowdfunding on espérait 3 000 à 4 000 pré-commandes de déodorants. En 24 heures on en a vendu 5 000 et 20 000 en un mois.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils détaillent les objectifs de Respire. De la campagne de crowfunding lancée sur Ulule il y a un peu plus d’un an, à la vente de millions de produits, en passant par leur passage dans Qui Veut Être Mon Associé sur M6, Thomas retrace leur parcours et ce qu’ils ont accompli depuis le début. Il revient aussi sur leurs choix de distribuer leurs produits en pharmacie et le succès du lancement de Respire en grande distribution. Thomas Méheut explique également comment ils sont parvenus, dès le début grâce au “Respire Club”, à faire de leurs clients de véritables ambassadeurs et fédérer une communauté autour de Respire. Enfin, Thomas se confie sur leurs chiffres et les outils qu’ils utilisent au quotidien tels que Klaviyo, Shopify, Viral loop ou encore Judge.me pour rassembler les avis de leurs clients.Je remercie Michael Weisz, fondateur Shapeheart, qui m’a permis cette rencontre.Ils y parlent aussi d’anciens épisodes du Panier :#29 – Shapeheart : Youtube, Amazon et influence : la recette pour optimiser son lancement#38 – Jonak : Comment digitaliser et internationaliser la distribution de sa marque familiale ?Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
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Aug 6, 2021 • 1h 13min
[REDIFF] - Les Mini Mondes : Comment vendre des jouets sur Linkedin ?, avec Quentin Ory
“Avant de me lancer, j’étais certes dans les jeux de société mais je ne connaissais rien au marché du jouet. J’avais seulement quelques a priori et le sujet du plastique en tête.”L’invité du nouvel épisode du Panier, Quentin Ory, a co-fondé, il y a tout juste 1 an, Les Mini Mondes. Son objectif : créer des jouets en plastique recyclé adaptés aux enfants, le tout made in France. L’autre objectif : faire découvrir le monde aux enfants en mettant, tous les deux mois, un pays à l’honneur dans un cahier de jeux éducatif. En février 2019, Quentin a l’idée du projet, en juin il rencontre sa future associée, Marine, et fin novembre 2019, les jouets sont prêts à être livrés pour Noël. En à peine quelques mois, ils réalisent plus de 100 000 euros de Chiffre d’Affaire dont les 70% dans les 3 semaines qui précèdent Noël. “En janvier, on fait un mois dédié à l’apprentissage. On prend de la hauteur, on contacte des clients pour avoir leur retour, on contacte des entrepreneurs, on fait de la veille etc.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils retracent les prémices du projet des Mini Mondes, de la création d’une vidéo annonçant le projet à la conception des moules et du design des jouets en passant par des entretiens auprès de 200 parents pour comprendre les besoins des enfants. Ils reviennent également sur les précédents jeux créés par Quentin qui lui avaient valu un passage dans “Qui veut être mon associé ?”. De même, Quentin raconte comment ils sont parvenus à accélérer la phase de fabrication de leurs premiers coffrets et pourquoi ils ont choisi de ne pas, pour l’instant, faire de retail. Enfin, il nous livre leurs futurs projets pour cette nouvelle année. On a aussi parlé d’anciens épisodes du Panier et de Génération Do It Yourself :#26 – PandaTea : 5M€ en 3 ans, 8M de sachets de thé livrés, et l’obsession du NPS#31 – Morphée : 500 000 € de vente dans les 2 premiers mois#102 Maëlle Chassard – Lunii – Comment détrôner Sophie la girafe dans le coeur des enfants (et des parents) ?Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Suivez également le podcast sur les réseaux !
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Jul 30, 2021 • 1h 18min
#112 - Le Beau Thé : Un side-project qui cartonne avec 500 000 sachets de thé personnalisés en 1 an, avec Marcellin Pelhate
Le sujet : Peut-on TOUT personnaliser, même des sachets de thé ? Marcellin Pelhate répond 100 fois oui ! Si personne ne croyait trop en ce business, il a quand même décidé de se lancer avec sa compagne. Et c’est un carton plein ! Asseyez-vous avec une bonne tasse de thé, l’épisode va commencer. L’invité : Après plusieurs années passées dans le secteur de la banque, Marcellin Pelhate avait besoin de travailler sur un produit que les gens aiment VRAIMENT. Alors avec sa compagne ils se sont lancé dans l’aventure Le Beau Thé, un atelier de création de sachets de thé bio et personnalisables.Le Beau Thé : Pendant la première année, alors que ce n’était n’était qu’un side project, Le Beau Thé a réalisé seulement 10k€ de chiffre d'affaires. Mais dès que Marcellin et sa conjointe se sont lancés à temps plein dans l’aventure, la marque a explosé. La première année de lancement, ils ont réalisé plus de 300k€ de CA et ont désormais vendu plus de 500 000 sachets de thé. Et ce n’est que le début !Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, il explique la genèse du projet du Beau Thé et met en lumière tous les enseignements qu’ils ont tirés de ce projet. # Leur objectif ? Conquérir le marché par le design. Et quand on travaille avec des marques comme Dior c’est ESSENTIEL ! # Il est toujours plus facile d’augmenter le prix que de le faire baisser. En appliquant ce principe, ils ont même réussi à dégager une plus grande marge pour la distribution et garantissent des produits de meilleure qualité. # La désirabilité. C’est le maître mot qu’il faut garder à l’esprit quand on veut vendre un produit. # Lancer une landing page pour tester, contacter les consommateurs et se lancer. Voici l’ordre d’action qui a fonctionné pour Le Beau Thé. # Il faut accepter que tout n’est pas automatisable. Parfois il faut revenir à du travail manuel. # Le persona type de leur cible B2C est le même que leur cible B2C. Pratique. # Et enfin les outils qu’ils utilisent au quotidien : Klaviyo, Shopify ou encore Simple.Ils parlent aussi d’anciens épisodes du Panier :#76 - Petit Cube : Peut-on encore tout gérer en interne ?#90 - Flowrette : D’un side project à 1M€+ de CA en 1 an et sans coder, Côme Filippi#95 - Silvr : Comment financer sa croissance et son accélération ?, avec Nima KarimiPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
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Jul 23, 2021 • 59min
#111 - Pinterest : 10 conseils pour vendre mieux et plus grâce à Pinterest, avec Emilie Nguyen
Le sujet : Décoration pour son mariage, cadeaux de Noël pour toute sa famille ou simplement envie de pimper son salon, on manque souvent d’inspiration. Alors pour trouver des idées sur-mesure il y a Pinterest ! L’invitée : Après avoir bossé dans à peu près tous les GAFAM et notamment Microsoft, Amazon et Google mais aussi Youtube, Emilie Nguyen est Sales Manager chez Pinterest. Son challenge aujourd’hui ? Développer des partenariats pérennes avec différents annonceurs. Pinterest : Célèbre réseau social consacré aux contenus visuels, Pinterest permet à ses utilisateurs de partager leurs centres d'intérêt et passions à travers des tableaux. Créée en 2010 aux Etats-Unis, la plateforme s’est très vite exportée dans de nombreux pays et compte aujourd’hui plus de 475 millions d’utilisateurs uniques chaque mois dans le monde. Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, Emilie Nguyen livre ses meilleurs conseils pour vendre mieux et plus sur la plateforme : # Créer des contenus originaux et qui plaisent au plus grand nombre. Et pour ça il faut parfois prendre du recul sur sa marque pour proposer d’autres formats. Si vous êtes une marque de mode par exemple, ne proposez pas que des OOTD, proposez aussi des formats axés vacances etc. # Penser utile, inspirant et actionnable. Cela doit devenir votre crédo dès que vous créez pour Pinterest. # Favoriser le format vertical. N’oubliez pas que 80% du temps la plateforme est utilisée depuis un mobile. # De même ajouter du texte en surimpression sur ses images. Une image seule aura toujours moins de poids. # Penser saisonnalité. Noël, la rentrée… tous ces moments sont propices aux recherches utilisateurs. # Utiliser la publicité pour faire découvrir vos produits à un public plus large.Ils parlent aussi d’anciens épisodes du Panier :#18 – Cabaïa : Du pop-up éphémère à 15M€ de CA en 4 ans#39 – Respire : Bonnes pratiques et croissance organique pour séduire 50 000 clients en 1 an#41 – Chefclub : la recette pour 80M de followers organiques et 1 milliard de vues par mois en 4 ans#90 - Flowrette : D’un side project à 1M€+ de CA en 1 an et sans coder, Côme FilippiPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
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Jul 16, 2021 • 1h 24min
#110 - Too Good To Go : Sauver 80 millions de repas dans 18 pays du monde en 5 ans, avec Georges Abi-Heila
Le sujet : Chaque année, 10 millions de tonnes de nourriture sont jetées à travers le monde . Ecologiquement parlant, c’est un désastre. Alors pour aider les restaurateurs et commerçants à ne plus gaspiller le fruit de leur travail Too Good To Go est né.L’invité : Après être passé chez eFounders, Station ou encore On Train, Georges Abi-Heila est devenu le Head of Growth de Too Good To Go dans le monde. Au quotidien, il gère donc la totalité de la stratégie marketing des 18 pays dans lesquels Too Good To Go a aujourd’hui un bureau. En parallèle, Georges Abi-Heila anime également le podcast Le Nectar.Too Good To Go : Depuis 2016, l’application qui aide les restaurateurs et commerçants à lutter contre le gaspillage alimentaire a déjà aidé à sauver plus de 80 millions de repas. Et pour cause, l’application cartonne ! En 2021, elle compte plus de 40 millions d’utilisateurs dans le monde et aide en moyenne chaque restaurateur à sauver 80% à 90% de leurs repas déjà préparés. Comme quoi transformer ses pertes en profits tout en préservant la planète, c’est possible !Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, Georges Abi-Heila met en lumière les différents apprentissages qu’il a retenus grâce à Too Good To Go. A savoir : # Chaque marketplace est confrontée au problème de l’oeuf et de la poule entre l’offre et la demande. Du côté de Too Good To Go, c’est toujours l’offre qui existe en premier. # Non, la publicité n’est pas morte. Lorsque l’on met du budget publicitaire pour toucher de nouveaux utilisateurs, ils arrivent toujours. # Apprendre avec Google est parfois (souvent) plus efficace que d’apprendre dans un cours en présentiel. # L’AAARRR signifie Awareness Acquisition Activation Retention Revenue Referral. En d’autres termes, cela correspond au découpage du parcours utilisateur du moment où il connaît l’application jusqu’à ce qu’il la recommande autour de lui. Ce schéma est applicable pour à peu près TOUT et vous aidera à structurer votre pensée. # Plus une boîte grossit, moins l’on réalise un métier opérationnel. # Il existe 3 manières d’interagir avec ses utilisateurs : par des SMS, des notifications push ou des emails. Et bien sûr tout dépend du profil de chacun. # Pour faire en sorte que ses utilisateurs recommandent l’application autour d’eux, il faut penser à la nature mais aussi à la valeur de la récompense acquise.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
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Jul 13, 2021 • 42min
#109 - Catch-up Miasun : Pourquoi ce rapprochement avec Fatboy, avec Valériane Voirin et Hortense de Pontabry
Dans ce nouvel épisode Catch-Up, Laurent Kretz revient avec un invité du Panier sur sa croissance et le chemin parcouru depuis son 1er passage dans le podcast.Le 2 juillet 2019, dans l’épisode 6 du Panier, Valériane Voirin et Hortense de Pontabry racontaient la genèse de Miasun, une marque de tentes de plage nouvelle génération, conçues pour protéger des UV et résister au vent. Un passage dans l’émission Capital — qui a d’ailleurs généré plus de 100 000 visites sur le site le soir même — et deux ans plus tard, Miasun a cédé l’exploitation de la marque et du produit au géant néerlandais Fatboy. Alors dans cet épisode, Valériane Voirin et Hortense de Pontabry reviennent sur l’histoire de leur fusion avec le groupe néerlandais et tous les apprentissages que cela leur a enseignés : # Il faut se fier à ses intuitions et rester focus sur ses premiers objectifs. # Malgré la fusion, elles ont gardé leur site internet en expliquant désormais le lien de Miasun et Fatboy. L’objectif ? Que les clients ne pensent pas que Fatboy ne faisait que copier Miasun. # Aujourd’hui elles sont toujours consultantes pour Fatboy et s’occupent de tous les réseaux sociaux. Cela leur permet de développer ce qu’elles aiment sans se soucier de la partie production. # La chance sourit aux audacieuses. C’est leur plus gros apprentissage. Être audacieuses et oser rencontrer des gens. C’est de là que naissent les plus belles choses. # Connaître ses faiblesses permet de trouver d’autres solutions possibles aux problèmes rencontrés.Ils y parlent également d’un ancien épisode du Panier : #18 – Cabaïa : Du pop-up éphémère à 15M€ de CA en 4 ansPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez Apple Podcast, par là si vous préférez Podcast Addict ou encore ici si vous préférez Spotify.
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