Mediarama

“Le confinement nous a montré ce besoin de prendre du recul, d’être moins dans le chaud et davantage dans l’analyse en apportant une valeur ajoutée encore plus grande.” La Covid 19 n’a pas épargné le milieu du sport. Alors forcément, un média comme l’Equipe qui dépend des compétitions sportives de l’année en cours, a été fortement impacté.  Plan RSE annoncé fin octobre, rentabilité pas encore au RDV.Mais ils ne se sont pas laissé abattre et ont trouvé de nouvelles manières de faire vivre leur média. Quelles leçons en ont-ils tiré ? Quelles sont les ambitions de l’Equipe pour les années à venir ? Pour comprendre toutes ces nouvelles mutations, j’ai reçu Emmanuel Alix, le Directeur Numérique et Digital du groupe l’Equipe depuis 12 ans maintenant, dans le nouvel épisode de Mediarama. “Nous travaillons actuellement sur un projet de plateforme qui proposera à nos abonnés de nombreux contenus numériques que nous n’avons pas encore (audios, vidéos, infographies, documentaires interactifs etc.)”L’Equipe ce n’est pas moins de 3 millions de visiteurs uniques quotidiennement et 1,5 milliard de pages lues chaque mois. Pourtant malgré tout ça, ils ne parviennent pas (sauf année de victoire de Coupe du Monde) à être rentables. Pour pallier le problème, une seule chose à faire : se positionner de plus en plus sur le numérique et proposer de nouveaux formats. Et la crise a accéléré ce besoin. Ils sont parvenus à proposer de nouveaux formats d’articles de grande qualité les amenant à se demander comment mieux répartir leurs différents contenus (retour sur un événement historique, match du jour etc.). L’objectif désormais ? Apporter une plus grande diversité de contenus sur leurs différents supports (payant, print, télévision…) et tendre vers des contenus plus digitaux comme la vidéo. Pour couronner le tout, Emmanuel se livre sur leurs modèles de financement, leurs moyens de prévenir le churn, mais également sur les supports qu’ils ont développés comme leur Progressive web app.Un quatorzième épisode (et dernier de l’année!) qui met en lumière les différentes mutations des médias suite à la crise sanitaire. Bonne écoute !Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer, ici si vous préférez Google Podcast, ou encore là si vous préférez Spotify.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

“Le contenu est roi mais la distribution est reine.”Après avoir racheté Milibris puis Blendl Cafeyn a une ambition : Devenir le Spotify de la presse. Véritable serpent de mer et en même temps, on en envie d’y croire tant Netflix ou Spotify semblent des évidences aujourd’hui.A l’heure où les médias veulent mieux connaître leurs visiteurs, les transformer en abonnés et leur permettre de lire tout le contenu premium, parfois noyé sous des milliers d’autres titres, un kiosque en ligne est-il une bonne idée ? C’est la grande question que je me posais. Alors dans ce dernier épisode de Mediarama, on fait le point avec Ari Assuied. En 2006, il a fondé LeKiosk, devenu récemment Cafeyn. Cafeyn est  une plateforme qui, grâce à un abonnement, permet d’accéder à des milliers de titres de presse.“Cafeyn est une arme antichurn pour nos partenaires”Si la presse s’est toujours rémunérée grâce à la publicité, depuis l’arrivée du numérique et des paywalls, les systèmes d’abonnement sont de plus en plus présents. Mais pour Ari, s’abonner à une seule marque de presse est impensable. Les gens lisent plusieurs médias simultanément et ne se cantonnent jamais à un seul quotidien. Face à cela, les kiosques en ligne sont LA solution. Un seul abonnement, mais des milliers de titres de presse à disposition sur son téléphone, son ordinateur ou sa tablette. On ne peut pas rêver mieux.Alors, qu’en est-il de Cafeyn ? Comment se développe-t-elle ? Qu’ont permis les différents partenariats avec les opérateurs téléphoniques ? Quelles sont ses ambitions suite aux rachats de miLibris et de Blendle ? Comment se positionner face aux GAFAM ? Ari Assuied revient sur toutes les ambitions de Cafeyn depuis sa création et me livre sa vision de la presse en ligne.Un treizième épisode qui analyse le modèle économique et les usages des kiosques numériques. Bonne écoute !Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer, ici si vous préférez Google Podcast, ou encore là si vous préférez Spotify.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

“La radio est une conversation intime qui noue un lien affectif avec son auditeur. Quand tu écoutes la radio tu as l’impression qu’on te parle à toi, de problèmes qui te concernent.”Innovation et service public ne font pas bon ménage ? Bien au contraire ! Si les moyens ne sont pas toujours au rendez-vous, les idées, elles, fleurissent chaque jour et ne demandent qu’à éclore. Et c’est là toute l’ambition de Radio France. A son arrivée, il y a 6 ans, en tant que directeur du Numérique et de la Production, Laurent Frisch a tout de suite voulu créer un pôle innovation pour aider de nombreuses idées à voir le jour. Comment ? Il me l’explique dans ce nouvel épisode de Mediarama.“On a beau être Radio France et avoir 1 million et demi de podcasts en ligne, on réinvente les réponses à ces questions (quel format choisir ? Comment et où le diffuser ?) à chaque fois.” Avec l’arrivée du numérique, du podcast, puis de la Covid qui nous a obligés à être confinés, innover était vital pour les radios. Cinéma sonore, module d’interactivité entre la radio et son public… sont autant de moyens de se diversifier en proposant des expériences nouvelles à ses auditeurs. Et ces nouveaux formats plaisent !Mais comment se positionner dans ce nouveau monde du numérique dominé par les GAFAM ? Comment utiliser ses données pour proposer des parcours personnalisés à ses auditeurs ? Signatures de contrats avec Deezer ou Spotify, création de leur propre application... un seul objectif anime Radio France : ne pas rester dépendant des géants du web. Laurent me raconte comment, m’explique tout ce qu’ils ont mis en place ces dernières années, et c’est passionnant.Un douzième épisode qui met en lumière la notion d’innovation quand on est une radio de service public. Bonne écoute !Les différents podcasts dont parle Laurent Frisch :# Radiographie du coronavirus# Présidents par Fabienne SintesPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer, ici si vous préférez Google Podcast, ou encore là si vous préférez Spotify.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

“L’information de qualité, elle existe mais, elle est tellement éparpillée, transformée, réexploitée, parfois faussée. La newsletter a le rôle d’offrir une consommation plus réfléchie. ”Elles existent depuis la création d’internet. Ou du moins depuis la création de la boite mail. Et pourtant elles n’ont pas pris une ride. Au contraire, à l’image d’un Benjamin Button, elles semblent rajeunir. Depuis un certain temps on assiste même un véritable boom autour de ces "bulletins d’information”. Vous l’aurez compris, je reçois aujourd’hui Arthur de Villemandy, pour aborder le sujet des newsletters, et particulièrement des newsletters payantes. Après un an à la cellule d’innovation de la Société Générale dans la Silicon Valley, Arthur a créé Planet, sa première newsletter autour de l’actualité de la tech. Début 2020 il lance Magma, newsletter payante disponible via abonnement. “La newsletter c’est un peu une box que l’on reçoit chez soi, avec un design qui lui est propre, un ton de voix qui lui est propre, tout un concept d’édition qui lui est propre en fait. ”Ensemble nous abordons tous les aspects de la création et de l’animation d’une newsletter : Comment produire ? Où trouver l’information ? Quelle part de personnification et d’incarnation (je l’avoue, avant cet épisode, il était avant tout “Arthur de Magma”) ? Quel rapport avec les médias traditionnels et leurs propres newsletters ? Comment réussir à gagner de l’argent avec sa newsletter ? De l’idée à l’écriture, du benchmark à la différenciation, en passant par  la création de la communauté et la recherche du bon business model, Arthur et moi revenons sur toute la chaîne de valeur et tout l'écosystème de ce nouveau média dans ce onzième épisode de Mediarama. Bonne écoute !  Et pour retrouver les newsletter dont parle Arthur : Morning BrewExponential View, la newsletter de Azeem Azhar Stratechery par Ben ThompsonSnowballThe profil Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer, ici si vous préférez Google Podcast, ou encore là si vous préférez Spotify.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

“En 7 ans j’ai vu : 1. l’avènement de nouveaux formats publicitaires ; 2. des gens qui se sont spécialisés sur ces formats et 3. l’arrivée de la programmatique et de l’automatisation avec ce système d’achat automatique.”Où en est la Ad-Tech en 2020 ? Quels formats de publicité utiliser aujourd’hui ? Grégoire Bruni, le Head of Agencies de Criteo m’explique tout dans ce nouvel épisode de Mediarama.“Le business model sur lequel sont nos éditeurs de presse, garantie l’indépendance de nos médias. La publicité est le socle et la garantie d’une presse indépendante.”Depuis 2010, de nouveaux formats médiatiques n’ont cessé de voir le jour sur internet. Vidéos, podcasts… la liste est longue. Et pour accompagner toutes ces évolutions il a fallu trouver de nouvelles manières de les monétiser. Retargeting, publicités ciblées, publicités vidéo… quel format publicitaire choisir ? Si vous êtes perdus, Criteo est justement là pour vous aider ! Grégoire explique comment Criteo analyse constamment des données pour proposer les meilleures solutions publicitaires possibles. En somme, comme il me l’explique, la pub est à Criteo ce que le like est à Facebook. Un épisode passionnant dans lequel on décortique tout l’avenir et l’évolution de la publicité dans les médias.Un dixième épisode qui met en perspective formats, publicitaires et médias numériques. Bonne écoute !Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer, ici si vous préférez Google Podcast, ou encore là si vous préférez Spotify.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

“Les médias, quels qu’ils soient, vivent de la publicité, sur tous les supports.”Comment se porte la presse gratuite ? Je fais le point en compagnie de Frédéric Daruty, président de 20 Minutes. “Le numérique et le papier sont complémentaires. Le journal papier a une promesse et un contrat forts : être lu en 20 Minutes. Au contraire, avec les propositions du numérique on ne sait jamais quand ni par quoi on va finir.”18 ans après un lancement ayant entraîné une levée de bouclier en France, la place de la presse gratuite a bien évoluée. 20 Minutes est aujourd’hui le quotidien le plus diffusé de France et l’un des médias digitaux les plus suivis. Pour surmonter les différentes crises (de la distribution à la pub en passant par la crise sanitaire que nous vivons) 20 Minutes doit s’adapter : services, offre payante, les idées ne manquent pas. En prenant l’exemple de 20 Minutes, on décortique les apprentissages et les enjeux de la presse gratuite, et c’est passionnant !Un neuvième épisode qui nous explique tous les rouages de cette presse nationale. Bonne écoute !Ils ont également parlé d’anciens épisode de Mediarama :#7 Anne-Sophie Novel - Crise de confiance – Quelles pistes concrètes pour renouer avec ses lecteurs ?Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le confinement nouveau est arrivé. Je profite de cette période pour tester un nouveau format dans Mediarama, une pastille actu plus courte où je serai accompagné d’un ou plusieurs invités sur-mesure.L'objectif ? Revenir sur l’actualité de la semaine du secteur des médias et vous livrer notre analyse des enjeux et impacts des dernières nouveautés technologiques et tendances du marché !Pour cette première pastille, j’ai le plaisir d’être accompagné de Fabien Roques, host du podcast et créateur du podcast Anti Brouillard, le podcast qui analyse les dernières révolutions technologiques, mais aussi Responsable prospective et développement dans le département Innovation du Groupe TF1.Au programme de ce premier épisode du 3 novembre :Apple lance son propre moteur de recherche. Bonne ou mauvaise nouvelle pour les médias ?Sondage ipsos L’abonnement payant est à la peine en France. 17% de la population mondiale paient des abonnements à des médias, les Français ne sont que 7% à le faire. Mais pourquoi les Français sont-ils si réticents à payer leurs informations ?Rachat de Morning Brew par Business Insider. Valorisé $75m après 5 ans, cette NL pour millenials montre le boom du secteur. La professionnalisation du secteur des podcast Audible, qui propose des livres audios, a ajouté plus de 100 000 podcasts sur sa plateforme et compte bien développer son offre ; Deezer a lancé un concours pour trouver de nouvelles voixRadio France annonce la chronologie des podcast audios et veut renforcer la consommation des podcasts sur son app.EN BREF :Quibi a cessé son activité 6 mois seulement après son lancement.Lancement de Salto, la nouvelle plateforme de streaming made in France TV, TF1 et M6.Spotify lance ‘The Get Up’ aux US et gagne du terrain sur la radio. Tout le détail de ces actualités — et bien plus encore — est à découvrir dans ce premier épisode de Pastilles d’Actu. Bonne écoute !Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer, ici si vous préférez Google Podcast, ou encore là si vous préférez Spotify.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

“L’usage des médias ne change pas de nature lorsqu’on passe du B2C au B2B. La grande différence est un enjeu d’usage : celui qui achète l’abonnement (un centre de documentation) n’est pas le lecteur.”Passé de France Télévisions à Infopro Digital, il faut être honnête, sur le papier ça ne fait pas rêver. Et pourtant ! Pierre-Nicolas n’a pas hésité une seconde et 3 ans plus tard, il a un grand sourire quand il parle d’information B2B et d’Infopro Digital. L’invité parfait donc, pour parler de presse professionnelle, de tous les enjeux et opportunités dans ce secteur moins connu du paysage médiatique. Avec François Defossez, fondateur de CosaVostra, ils mettent en lumière les principales différences entre la presse B2C et la presse B2B qui permet notamment d’échanger plus facilement avec ses clients. La presse professionnelle est également confrontée à un autre enjeu d’usage propre au B2B : ceux qui achètent les magazines ne sont pas nécessairement les lecteurs, l’approche n’est donc pas la même. Pierre-Nicolas explique également qu’Infopro Digital compte plus de 300 journalistes spécialisés dans des domaines bien précis selon les corps de métier auxquels ils s’adressent. Enfin, il revient sur la période du confinement pendant laquelle ils ont dû s’adapter : arrêt de leur magazine papier et proposition d’offres d’abonnement plus courtes à prix réduits. Et ça a payé puisque leurs audiences numériques ont explosé. Depuis, ils se numérisent de plus en plus et sont même parvenu à digitaliser leur Salon Top Recrutement en 7 jours !Un huitième épisode qui nous emmène dans les coulisses de la presse professionnelle B2B. Bonne écoute !Ils ont également parlé d’anciens épisode de Mediarama :#4 Pierre Cirignano – Le Monde : Marketplace, affiliation et événements, comment diversifier ses activités ?#6 Alice Antheaume - Sciences Po : Entre digital et international : comment sont formés les futurs journalistes entrepreneurs ?Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer, ici si vous préférez Google Podcast, ou encore là si vous préférez Spotify.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

“Il y a une vraie complémentarité entre le digital et le papier : aujourd’hui on doit être capable de proposer un contenu qui vit en ligne mais qui peut être prolongé différemment sur le papier.”Journaliste presse, télé et radio, conférencière, autrice et productrice de documentaires, Anne-Sophie Novel est devenue une spécialiste du rôle des médias et des journalistes. Et après un passage chez Le Monde, L’Express, We Demain, Le 1, Public Senat (pour ne citer qu’eux), on peut dire qu’elle s’y connaît ! Alors qui de mieux placée pour nous parler de contenus dans les médias ? Dans ce sixième épisode de Mediarama, on analyse donc la crise de confiance autour du contenu, à laquelle se livrent les médias aujourd’hui.“Retrouver les faits est renouer avec les fondamentaux du métier de journaliste : le terrain. Ne pas relayer de l’information sans avoir les moyens d’aller sur le terrain.”Avec François Defossez, fondateur de CosaVostra, ils retracent le parcours — très riche — d’Anne-Sophie Novel, son intérêt pour l’écologie et les leçons qu’elle a tirées de ses principales expériences. Elle explique également la valeur des médias papiers aujourd’hui, qui permettent notamment de déconnecter et de découvrir les contenus d’une autre manière. Ils reviennent aussi sur le besoin d’éducation de la population vis-à-vis des médias qui doit être faite : pas seulement auprès des jeunes mais aussi d’en parler au grand public et des personnes plus âgées. En effet, aujourd’hui il est essentiel de faire attention aux informations scientifiques manipulées, et vérifier constamment ses sources (lecteurs comme journalistes !). Enfin, elle analyse une pratique fondamentale du journaliste qui se perd de plus en plus : aller sur le terrain. De même, il vaut mieux collaborer avec plusieurs rédactions pour dénoncer une fausse information. Un septième épisode pas de côté qui étudie et analyse le rôle des médias et des journalistes face à la crise de confiance qui se joue autour des contenus. Bonne écoute !Le livre qu’elle cite sur les dysfonctionnements de l’information scientifique :# Les gardiens de la raison de Stéphane Foucart, Stéphane Horel et Sylvain Laurens. Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer, ici si vous préférez Google Podcast, ou encore là si vous préférez Spotify.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

“Notre objectif est d’être une passerelle entre le monde de la technologie et le monde de l’éditorial.”Directrice de l’École de Journalisme de Sciences Po mais aussi correspondante française du Reuters Institute, Alice Antheaume forme depuis plus de 10 ans les journalistes de demain. Fondée en 2004, l’école a pour objectif de professionnaliser ses élèves en s’adaptant constamment aux nouveaux formats et nouvelles demandes des rédactions. Pour ce septième épisode de Mediarama, Alice Antheaume était donc l’invitée parfaite pour nous expliquer quelle formation suivent aujourd’hui les futurs journalistes.“Aujourd’hui un journaliste entrepreneur doit être capable de lancer son idée éditoriale en établissant son business, son benchmark, etc. jusqu’à sa fabrication et sa concrétisation.” Avec François Defossez, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur les enjeux auxquels sont aujourd’hui confrontés les élèves en école de journalisme : défiance des Français envers les informations, digitalisation des rédactions, etc. Alice Antheaume explique comment ils font en sorte d’offrir un enseignement pluridisciplinaire pour accompagner leurs élèves dans leurs envies d’entrepreneuriat, de travailler à l’étranger et leur capacité à innover. Elle met également en lumière l’importance de la culture de chaque pays dans la diffusion de l’information : si les newsletters cartonnent dans les pays anglo-saxons, ce n’est pas le cas en France. Enfin, elle détaille les enseignements dispensés au sein de l’école et montre comment ils font en sorte d’accompagner leurs élèves tout au long de leur vie.Un septième épisode qui s’intéresse aux futurs journalistes et met en lumière tous les challenges auxquels ils sont confrontés.Ils y parlent aussi d’anciens épisodes de Mediarama :#3 Mélissa Bounoua – Louie Media : Podcast, storytelling et féminisme#5 Arnaud Maillard - Loopsider : Médias 100% vidéo : comment adresser les jeunes générations ?Mais aussi de podcasts et médias créés par d’anciens étudiants : # Louie Media, fondé par Mélissa Bounoua et Charlotte Pudlowski. # Les couilles sur la table, créé par Victoire Tuaillon.Pour retrouver tout le programme de l’Ecole de Journalisme de Sciences Po, c’est par ici.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer, ici si vous préférez Google Podcast, ou encore là si vous préférez Spotify.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.