Génération Do It Yourself

Matthieu Stefani | Orso Media
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Aug 28, 2018 • 1h 40min

#44 Turi Munthe - du fin fond de l’Irak jusqu'aux fonds d'investissements.

Dans cet épisode, Turi ne fait pas que me raconter son parcours, il me raconte ce qui alimente sa curiosité envers la culture et l’histoire. Il me raconte ses anecdotes et ses plus grosses frayeurs. Il partage aussi ses retours d’expériences et ses conseils en or qui sont valables pour tous ceux qui se lancent dans n’importe quel business.“ Je me suis beaucoup gouré avec de petites sommes, heureusement, et maintenant je commence à comprendre comment me gourer un peu moins.”Turi naît en Italie dans une famille d’artistes avec une mère italienne restauratrice de tableau et un père anglo-suédois romancier.Il grandit en Angleterre, part à 18 ans pour vivre une année entre le Népal et l’Espagne et revient finir ses études à Oxford.“Si j’avais vraiment suivi mon cœur à 17 ans j’aurais fait de la littérature...mais je détestais mon prof de littérature anglaise”Ne sachant pas compter assez bien pour faire des maths ou des sciences, et sachant que les langues font partie de ses compétences, il en cherche la plus difficile et décide de l’étudier - l’arabe classique.“Le début de ma carrière s’est bâti sur le fait que j'avais cet avantage absurde que de parler l’arabe”→ En 1999 il finit ses études et travaille en tant qu’éditeur pour des journaux anglais.→ En 2001 il écrit un bouquin sur Saddam Hussein sans jamais être allé en Irak.→ En 2003 c’est le début de la guerre en Irak. Tranquillement et laissant derrière lui sa femme et son nouveau-né, il décide d’y aller en tant que correspondant de guerre EN FREELANCE (#WTF). Il fait le tour du pays en 6 semaines, en transports publics, sans assurance...→ En 2004 Il a 26 ans. Il monte The Beirut Review of Books dans le sillage du “journal anglais le plus pompeux et intello ‘The London Review of Books” qui lui-même est le concurrent du ‘’New York review of books”. Son objectif : faire émerger un point de vue local sur le plan international : à travers les livres, art et culture : “Je suis très mauvais journaliste, ce qui m'intéresse c’est l’analyse”→ En 2005 Il se trouve une bourse et part apprendre l'Hébreu à Jérusalem. Il devient Chef de la section Moyen Orient du plus vieux Think Tank du monde où il  travaille avec des politiciens.“J’ai passé beaucoup trop de temps avec des ambassadeurs et des gens en costumes 3 pièces et j’ai compris qu’au niveau intellectuel c'était limitant...je ne me sentais pas confortable avec leurs discours formés par d’autres”→ En 2006  (#WTF2) Il part s’aventurer en Afghanistan pour chercher des mines de fer et de cuivre avec un géologue et une vieille carte. Ce n'était pas gagné. Il se dirige vers la NYU où il reçoit une bourse pour faire un doctorat sur l'anthropologie de la religion et sa place dans la politique aux USA.  “Ayant été un journaliste, politologue, éditeur et académique raté, je me suis demandé si au niveau de l’impact, le meilleur moyen ne serait-il pas de faire du business”→  En 2007 il essaye de monter un business de plantation de biodiesel au Ghana : ça ne marche pas.“J’ai vu des valises de dollars changer de mains, ça m’a complètement ouvert les yeux : le journalisme avait un désavantage immense car c’est seulement en tant que businessman que tu rentres vraiment dans les entrailles de comment fonctionne un pays”→ En 2008 il crée DEMOTIX avec son ami macroéconomiste : Jonathan Tepper. (C’était mon concurrent direct, à l'époque où je dirigeais Citozenside). Une marketplace de vente de photos et vidéo amateur où chacun peut être témoin de ce qui se passe quelque part dans le monde. Il lèvera 600k £ et finira par vendre la boîte à Corbis.“Je crée ce que je pensais être une plateforme de liberté d’expression. Après 2 ou 3 ans on s’est rendu compte qu’il serait impossible de lever assez d’argent pour faire un réseaux de vendeur assez bien garni pour faire compétition aux plus gros. ”→ Depuis 2011. Il devient le 4eme partner avec Marcus brauchli, Sasa Vucinic et Stuart Karle dans North Base Media un fonds qui investi dans :-> Les techs de médias : paywall, chatbot etc. -> Les médias dans les marchés émergents “Ce qui définit nos marchés c’est : Une grosse population jeune, Une grosse pénétration croissante du smartphone/internetUne économie qui va dans la bonne direction.”→ Aujourd'hui, Turi nous parle de son tout dernier projet encore sous version bêta : Parli.co.Une sorte d’Atlas d’idées ou de Wikipedia des opinions mais en version payante. Un projet qui est une belle concrétisation de son background à la fois intellectuel et politique sous une forme business.“Je me suis dit qu’il y avait un problème dans la manière dont les idées étaient représentées. Alors j’ai essayé de créer une sorte d’accélérateur pour les idées.”Turi me partage aussi ses petits rituels :Faire une liste chaque dimanche soir avant de se coucher pour se fixer des objectifs à court terme.Faire des pompes avec son fils et un peu de tennis.Boire beaucoup de vin.Ses Lectures :Les romans pour s’aérer l’esprit.Le concept : Post Truth The death of truth - Michiko Kakutani On bullshit - frank shiellSes outils :TrelloSlackWecroak : Une App qui vous rappelle 5 fois par jour que vous allez mourir un jour.Où le retrouver ?LinkedinTwitter---   --- --- Suivez moi aussi, tant qu'à faire !www.instagram.com/gdiypodcast/www.linkedin.com/in/stefani/www.twitter.com/mattintouch 🙏 Stay tuned en vous abonnant au Podcast.  Et n'oubliez pas, j'ai besoin de vous pour partager chaque épisode, et noter le podcast 5 étoiles partout ou vous pouvez! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Aug 15, 2018 • 1h 11min

#43 Henri Seydoux - Parrot - du Palace au sommet du marché de la tech sans jamais avoir fait d’études.

“J'étais un bon geek mais un mauvais père, j’ai foutu toute mon énergie à bosser..."J’ai eu la chance de rencontrer le président et fondateur de Parrot, ce fleuron de la tech française que vous connaissez pour ses drones, casques sans fils et autres appareils bluetooth pour les voitures. Henri Seydoux (oui, le papa de Léa), me raconte avec de l’humour et parfois beaucoup d’émotion, ses débuts en tant que journaliste, les rencontres qui ont changé le cours de sa carrière ainsi que ses regrets et ses projets futurs.“ Je voulais être journaliste, une sorte de rêve d’enfance...mais malheureusement j'étais assez dyslexique et un peu autiste dans le fond.”À 57 ans, le moins que l'on puisse dire d’Henri Seydoux, au delà du fait qu’il soit un brillant autodidacte, c’est que c’est un pur génie de la tech.Au début des années 80, LA boite de nuit de Paris s’appelle “le Palace”. Henri y passe ses soirées et côtoie les pionniers de l’avant-garde tels que Karl Lagerfeld ou encore Mick Jagger. C’est aussi là-bas qu’il rencontre Jean-François Bizot, qui lui propose de l’embaucher en tant que journaliste à “Actuel”.Il ne lui faudra pas plus de six mois comme journaliste pour se rendre compte qu’il s’était trompé de voie :“J’ai vécu mon rêve pendant 6 mois et j’ai bien compris qu’il fallait que je fasse autre chose...j’étais malheureux parce que je n’étais pas doué”Une rencontre lui changera la vie. Celle avec Roland Moreno, qui était en train d’inventer la carte à puce et qui lui parle d’Apple.“Je m'achète un Apple 2, en 6 semaines je connaissais les bases de la programmation.”En enchaînant les petits boulots pour des boîtes de service, il rencontre François Mizzi, prof à l’école des Mines, qui monte sa startup. On est alors en 1983, l’idée est de fabriquer des ordinateurs de poche pour les démocratiser dans l’éducation. Henri se retrouve embarqué dans ce projet qui profite d’un fonds de 6 millions de dollars accordés par ELF.“Ils sortaient tous de grandes écoles, mais le seul qui codait vite et bien c’était moi : je suis devenu le “lead dev”. ”La boîte épuise ses fonds assez rapidement et ne peut plus continuer ses activités. C’est alors qu’avec Jamal Berber, qui était son directeur technique, ils décident de s’associer et lancent leur propre projet BBS : une boîte orientée objets, fenêtres, icônes pour ordinateurs portables. Une sorte d’android dans les années 80, qu’ils emmènent à la Silicon Valley pour le proposer à Apple, qui leur fait une proposition de contrat.Mais les deux associés ne s’entendent pas, Henri lâche ses parts, Jamal continue tout seul.“C’est difficile de mettre son intelligence au service de quelqu’un...c’est plus facile de développer son imaginaire et que les gens puissent le reconnaître et l'apprécier tel qu’il est.”Henri enchaîne ensuite avec sa deuxième entreprise, “SoftSeydoux”, qu’il lance à son propre compte puis il s’associe avec son ami architecte et dessinateur de bandes dessinées pour créer “BSCA”. Une boîte de “computers graphiques” qui fait de la 3D pour la pub et pour la télévision. De 1985 jusqu’à 1990 il y apprend tout, de la gestion à l’organisation en passant par le recrutement ou la commercialisation.Un drame familial vient le mettre KO. Il vit assez mal le suicide de sa mère et cède ses parts à son associé Pierre Buffin qui deviendra ensuite le leader des effets spéciaux dans le monde avec son entreprise Buf.“Si on veut monter une startup il faut bien se dire qu’on va s’y coller pendant 5 à 10 ans, sinon ce n’est pas la peine”Une fois remis de son coup de blues, il s’associe à un ami dessinateur freelance pour monter une boîte dans la mode. Il y travaille un peu moins de 2 ans en tant que business developper.-> Cet ami, c’est un certain Christian Louboutin (!) qui connaît au bout de 5 ans une montée en puissance et qui fait aujourd’hui partie des marques références en matière de chaussures de luxe à travers le monde.“J’ai toujours aimé inventer des bidules grâce au soft”Ne pouvant rester loin de son terrain de prédilection, Henri revient à la tech en créant Parrot en 1994. Il s'intéresse à la reconnaissance vocale et demande de l’aide auprès de ses vieux contacts pour développer, dans sa cuisine, un prototype logiciel. Il envoie ce dernier au fonds d'investissement Sofinnova par la poste. 15 jours après ils lui répondent, prêts à investir 5 millions de francs.Avec son associé Jean-Pierre Talvar, ancien directeur d’Alcatel, Henri lance toutes sortes de produits tels que les agenda pour aveugles, les téléphones mains libres pour voitures, les drones, les jeux vidéos.“Tout est question de finition et de sens du détail.”La crise de 2001 vient leur donner un coup de pouce. Ils lancent en B to B leurs systèmes bluetooth quand tout le monde a fermé ses centres de R&D et se retrouvent leaders sur le marché.En 4 ans à peine, l’entreprise Parrot monte de 10 à 200 millions de CA.“Tu peux faire des ventes de centaines de milliers de dollars, ça veut pas dire que ça va durer...si tu fais pas de nouveaux produits tu risques de disparaître.”Aujourd'hui encore, et après avoir réussi à s’imposer en tant que leader des produits électroniques pour smartphones, Parrot se bat pour garder sa place et pour sa survie, en ne cessant d’innover et de repenser la technologie.C’est d’ailleurs pour ça que Henri vient tout juste de lancer son dernier produit :Anafi, un drone revisité d’une façon plus ciblée. Encore plus petit et plus fonctionnel, en abandonnant tous les autres produits lancés depuis 10 ansHenri Seydoux s’est engagé dans une course contre la montre :“J’ai une idée précise sur la direction que je veux donner à ma boîte et je me donne 2 ans pour y arriver.”--------------Vous pouvez suivre Henri sur sont LinkedIn (pas très actif!).Ou bien sur le site Parrot“Il faut suivre ses propres opinions, développer son imaginaire, aller de l’avant. La seule façon de le faire c’est de le faire bien.”🤙 Suivez moi aussi, tant qu'à faire !www.instagram.com/gdiypodcast/www.linkedin.com/in/stefani/www.twitter.com/mattintouch🙏 Stay tuned en vous abonnant au Podcast. Et n'oubliez pas, j'ai besoin de vous pour partager chaque épisode, et noter le podcast 5 étoiles partout ou vous pouvez! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Aug 7, 2018 • 54min

#42 Cristina Cordula - Du Brésil aux plateaux télés de M6

Vous connaissez sûrement Cristina Cordula, la célèbre top model brésilienne à l'accent bien prononcé et à la forte présence télévisée !Mais saviez-vous que derrière la styliste et coach en image, se cache une entrepreneure qui ne lâche rien ?“Depuis toute petite j’avais la certitude que j’allais être mannequin”Le moins que l'on puisse dire de Cristina, c’est que non seulement elle sait très bien ce qu’elle veut, mais en plus, elle est d’une détermination telle qu’elle se donne tous les moyens d’y arriver.→  À 15 ans elle rentre dans le milieu du mannequinat.→  À 17 ans elle se professionnalise tout en faisant des études de journalisme et communication.→  À 21 ans elle se fait repérer par une agence qui discounting qui l’envoie en Espagne.De l’Espagne jusqu’à Milan en passant par le Japon, elle fait du mannequinat de cabine (Type B). Elle enchaîne les essayages en coulisses en rêvant de podium et de projecteurs (Type A).Trop peu pour elle et persuadée de ne pas être faite pour rester dans l'anonymat, elle décide de viser plus haut : une carrière à Paris, LA ville du luxe et de la mode par excellence.“Je rencontre mon coiffeur par hasard, il me dit Cristina, ça ne va pas du tout ta coupe de cheveux, tu ne bosses pas dans ce que tu veux parce que tu es trop banale avec ces cheveux longs..!”Une coupe, c’était tout ce qui manquait à Cristina pour se retrouver à défiler, faire ses valises et débarquer à Paris sans parler un seul mot de français et sans se laisser d’autres choix que celui de réussir.Elle se fait directement embaucher dans l’agence de mannequinat Delphine et décroche 20 défilés pour la Fashion week en moins de 4 jours.“Quand on aime ce qu’on fait, on est content, peu importe la fatigue et les efforts”Dans cet épisode, Christina me raconte tout :Son amour inconditionnel pour Paris, les joies, mais aussi l’envers du décors du milieux de la mode et comment elle planifie la suite de sa carrière professionnelle à 30 ans :S’initier à l’industrie de la mode pour apprendre les bases en travaillant dans une société d’import-export pendant 2 ans.Lancer sa propre société de vente d'accessoires de plage pendant 1an et demi.Défier les tabous et ouvrir son cabinet de conseil en image avec sa propre technique après avoir étudié les techniques utilisées dans les 4 coins du monde.Faire de la télé et devenir l’ambassadrice de certaines marques comme Head&Shoulders ( même si ça ne faisait pas initialement parti de ses plans).“Si tu ne délègues pas, tu ne grandis pas et si tu ne t’organises pas, t’y arrives pas !”C’est d’ailleurs cette rigueur qui permet à Cristina de se retrouver à gérer à la fois son cabinet, les tournages de ses quotidiennes sur différentes chaînes du groupe M6 :2004 : Nouveau look pour une nouvelle vie2005 : Mon voisin est une rockstar2011 : Magnifique by Cristina2013 : Les reines du shopping2014 : Cousu main / Mon Brésil à moi2015 : Surprise by Christina / Les rois du shopping2017 : La robe de ma vie2018 : Mission mariageAinsi que ses nombreux ouvrages 📚 : Toutes les femmes sont bellesGuide du relookingLes 50 règles d'or du relookingGuide pratique du relooking - Spécial rondesStyle & allures40 relooking pas à pasMon look book par Cristina CordulaUn beau palmarès qui n’était pas gagné d’avance et qu’elle doit, certes, à son acharnement mais aussi à son accent qui fait aujourd’hui sa marque de fabrique. Un accent  qui a pourtant failli lui être un frein à cette carrière. “On m’avait pas choisi au début à cause de mon accent…”Enfin, Cristina me livre sa recette pour arriver à gérer un agenda aussi chargé tout en gardant toute cette énergie et cette pêche qui la caractérisent :“Je ne suis pas une lève tôt mais j’ai un emploi du temps très psychorigide”✔️ Se réveiller à 9h✔️ Faire du yoga deux fois par semaine✔️ Faire de la boxe✔️ Suivre un régime de deux repas par jour (à base de poisson grillé et légumes)✔️ Former et s’entourer des meilleursOn parle aussi de :Bibiane Godefroy : Ex-directrice des programmes chez M6Paula Bracannot : web manager de Cristina et ex Community manager de Paulo CoelhoValentina Fenga :  Manager du cabinet de conseil en image de Cristina Cordula.🔎 Je vous invite à retrouver Cristina Cordula sur :Son compte InstagramSa page FacebookSon compte TwitterSon Blog 🤙 Suivez moi aussi, tant qu'à faire !www.instagram.com/gdiypodcast/www.linkedin.com/in/stefani/www.twitter.com/mattintouch🙏 Stay tuned en vous abonnant au Podcast.  Et n'oubliez pas, j'ai besoin de vous pour partager chaque épisode, et noter le podcast 5 étoiles partout ou vous pouvez! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Jul 22, 2018 • 1h 43min

#41 Fred Jourden - Blitz Motorcycles - tout plaquer et se lancer dans sa voie, sans stress

C'est l'histoire d'un mec qui a décidé de quitter un gros poste dans une grosse entreprise, pour se lancer dans sa passion.Quelques années plus tard, c'est tout simplement l'un des Kings de la moto custom, avec son associé Hugo.Mais Rome ne s'est pas construite en un jour. Avant de quitter son poste au marketing chez Spray/Lycos, Fred Jourden a tout bien préparé.D'abord, il a décidé, sans être totalement certain de l'issue, de se lancer dans un CAP de mécanique en cours du soir. Mettre les mains dans le cambouis le soir, après avoir passé la journée la tête dans le powerpoint, c'était l'idée de départ.L'objectif : être capable de réparer la vieille moto BMW de 1961 qu'il venait de s'acheter, sachant que plus personne ne connaissait l'engin.S'enchaînent les rencontres de passionnés, le travail acharné avec "Becker", juste pour le fun, nuit et jour par passion, sur un grand nombre de vieilles motos BMW.Puis Fred a rencontré Hugo. Presque un coup de foudre business.Et ils ont décidé de se lancer, tous les deux, dans un projet passion : BLITZ MOTORCYCLES.Blitz, c'est 12 motos par an. Du pur custom, fait pour le client, à son image, mais sans lui donner de choix.Fred et Hugo sont de vrais artisans de la moto comme il n'en existe plus, des oiseaux libres qui définissent eux même l'univers dans lequel ils veulent vivre.Dans cet épisode de Génération Do It Yourself, Fred nous raconte :Sa première motoSes difficultés à s'incrire à un CAP, parce qu'il avait déjà des diplômesSon rapport à la consommationSon business, ses enviesPourquoi ils veulent rester 2, ne pas produire plus de motos, produire mieux.Les incroyables expériences de leurs clients quand ils découvrent leurs motos,Les traversées de l'europe pour gouter une spécialité espagnoleUn grand merci à Clémentine TILLARD & Marc Pfohl pour la mise en relations!Contenus et Livres mentionnés dans le podcast :L'eloge du carburateur360 degres ARTE Blitz motorcycleRiding SeptemberJe vous invite à retrouver BLITZ sur :http://www.blitz-motorcycles.com/ où vous trouverez un grand nombre d'images et de vidéos de leurs engins et de leurs virées/Instagramfacebook.com/Blitz.Motorcycles/🤙 Suivez moi aussi, tant qu'à faire !www.instagram.com/gdiypodcast/www.linkedin.com/in/stefani/www.twitter.com/mattintouch🙏 Stay tuned en vous abonnant au Podcast. Et n'oubliez pas, j'ai besoin de vous pour partager chaque épisode, et noter le podcast 5 étoiles partout ou vous pouvez! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Jul 15, 2018 • 1h 51min

#40 Catherine Painvin - Tartine et Chocolat - entrepreneur depuis 50 ans et toujours à FOND!

Catherine, c'est le genre de femme qui te dit, "tu te rends compte, le mec est tellement jeune, il a à peine 50 ans et il a déjà fait tout ça"…Dans une génération dans laquelle si tu n'es pas président à 39 ans, ou champion du monde à 19 tu as raté ta vie, j'avoue que ça nous donne un peu d'espoir.Et pourtant, Catherine Painvin a toujours été très précoce.# À 17 ans elle a son premier enfant# A 20 ans, elle en a déjà trois et fonde sa première entreprise de de décoration# A 23 ans elle gère une centaine d'ouvrières et connait un succès planétaire avec ses sets de tables en forme de fruits vendus par dizaine de millions d'exemplaires# A 27 ans elle quitte tout, sons mari, sa boite, et part avec ses enfants pour sa période "Hippie"# A 28 ans elle s'installe à Martha's Vineyard, où en voyant Jackie Keneddy avec ses deux enfants sur la plage elle trouve sa prochaine idée# Avant ses 30 ans, elle fonde "Tartine et Chocolat", sa marque de vêtements de Luxe pour enfants qui trouvera un succès planétaireElle gère ensuite un nombre incalculable de licences et une entreprise qui fera plusieurs centaines de millions d'euros par an.Et depuis tout s'enchaine."Vous vous rendez compte des million d'enfants que vous avez rendue heureux avec vos doudous?"Aujourd'hui elle gère une Chambre d'Hôte, lance une galerie d'art quand elle s'ennuie et prépare un nouveau business autour de la boulangerie… à 70 ans entre ses arrières petits enfants et ses séjours à l'Hôpital!Catherine nous raconte tout dans cet épisode de Génération Do It Yourself, et si vous voulez en savoir plus elle rentre dans les moindres détails dans son livre "Une Vie et 5 minutes" (Broché) https://goo.gl/SBuudHPour en savoir plus sur son auberge et sur ses aventures : http://www.catherine-painvin.com/comptoir-aubrac.htmlTant qu'à faire, suivez moi aussi!www.instagram.com/gdiypodcast/www.linkedin.com/in/stefani/www.twitter.com/mattintouch🙏 Stay tuned en vous abonnant au Podcast. Et notez le 5 étoiles partout ou vous pouvez!Morceaux choisis du Livre "Une vie et 5 minutes"Le père de mon second mari aura, lui, une phrase mémorable en regardant un jour un budget prévisionnel : « Marge ou crève. » Cette règle-là en revanche je l’ai toujours appliquée !J’ai la capacité de rester pendant des heures enfermée dans une pièce sans bruit, sans musique et de créer des collections appropriées pour n’importe quelle marque qui me le demanderait, toujours sans respirer, animée par une passion et une confiance en moi sans faille.J’avais trente-sept ans, je régnais et ne gouvernais pas si ce n’était sur cette merveilleuse famille que je pouvais combler grâce à ma force, à ma foi et à l’amour fou de mon mari pour moi.je reçus en effet, lors du week-end de l’Ascension, une demande de rançon signée du djihad islamique, menaçant de mort toute ma famille, sérieuse au point d’avoir une conversation téléphonique avec le président Mitterrand dans la nuit du 19 mai. SiIl y avait bien longtemps que j’avais décidé de ne tenir compte d’aucun avis de mon entourage, il ne fallait y voir aucune animosité ou surcroît d’assurance de ma part, mon ressenti et mon intuition avaient été presque toujours les bons.PS : Un grand merci à Franck Dunand pour l'idée de Catherine! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Jun 30, 2018 • 1h 34min

#39 Pauline Laigneau - Gemmyo - Podcasteuse Normalienne, Entrepreneure HEC, où sont ses limites?

Quand on est normalienne et qu'on s'associe avec un centralien et un X, que fait on?Une marque de bijoux, quelle question.C'est ce type de paradoxes qui définit le mieux la vie da la co-fondatrice de Gemmyo, et "host" du superbe podcast "Crème de la Crème".Pauline Laigneau a un parcours unique, une soif d'apprendre et de comprendre, une curiosité et une ouverture d'esprit sans limites.Cette jeune parisienne qualifiée par le Monde de "bête de concours" a un parcours très singulier.Avant de s'associer avec son mari et son beau-frère, elle a cumulé Normal Sup et un master entrepreneuriat à HEC, en toute simplicité.Fille d'autodidactes, elle ne vient pas du moule des "fils de profs". Elle nous explique les questions qui ont jalonné tout son parcours, jusqu'à ce que Charif la demande en Mariage.C'est à ce moment là, aux alentours de la place Vendôme en cherchant une bague de fiançailles que l'idée leur saute aux yeux : une marque de bijoux haut de gammes, faits à la demande en France, à prix accessible.Gemmyo a l'avantage de ne pas immobiliser trop de matière première rare et chère, car les bijoux sont faits sur commande. On évite ainsi les problèmes de trésorerie, les risques de vol, ou encore les invendus."Être une femme Entrepreneure est un énorme atout"Pauline nous raconte ses petits secrets et toute l'aventure de Gemmyo, de 2011 à 2018 :Son association avec son futur mari Charif et son frère Malek à la sortie d'HECLe lancement d'un "POC" = création d'un site internet en moins de 3 mois pour trouver les premiers clientsLa première commandeLa galère des premières productionsLa première levée de fonds après juste 5 ventes (400 k€ levés en 3 semaines grâce à l'obsession des process de Charif) en décembre 2011La deuxième levée de fonds 6 mois plus tard avec le même procédé (600 k€)La 'serie A' en 2013 avec Alven : 3 millions dEurosLe choc des premières campagnes d'affichage dans le metroAujourd'hui Gemmyo a 2 boutiques (Paris et Lyon) et continue son expansion à une vitesse fulgurante.Pauline travaille la marque, alors que ses associés sont sur les process, le management, les finances et la croissance."Il faut avoir beaucoup d'ambition"Elle développe depuis quelques mois son Podcast Crème de la Crème, que je vous recommande vivement d'écouter, notamment les épisodes avec Jacob Abbou et Victor Lugger. https://podcast-cremedelacreme.comLes apps et outil recommandés par Pauline :Boomerang - boite mail sur pauseEvernoteWunderlistKindleAudio booksUn livre d'entrepreneurs : Lean startupÀ quand la boutique Gemmyo sur la place Vendôme pour boucler la boucle?Je vous invite à regarder ce que fait Gemmyo sur : www.gemmyo.comÀ Ecouter https://podcast-cremedelacreme.comEt à suivre Pauline sur les réseaux sociaux suivants :https://twitter.com/plaigneauhttps://www.linkedin.com/in/pauline-laigneau-9956b019/https://www.instagram.com/plaigneau/?hl=fr(!) Suivez moi aussi, tant qu'à faire :www.instagram.com/gdiypodcast/www.linkedin.com/in/stefani/www.twitter.com/mattintouch🙏 Stay tuned en vous abonnant au Podcast. Et notez le 5 étoiles partout ou vous pouvez! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Jun 15, 2018 • 1h 30min

#38 Vincent Defrasne - de l'Or Olympique à la Fondation Somfy

Je n'avais jamais eu la chance de discuter avec un champion Olympique. À part rapidement Edgar Grospiron pour un rendez-vous manqué.C'est désormais chose faite avec cet échange première classe avec Vincent Defrasne.Vincent qui? Me diront certains d'entre vous… Vincent Defrasne, un type aussi humble que passionnant, qui te fait comprendre qu'une médaille d'Or Olympique, ça peut aussi être un (petit) fardeau à porter.Un sportif qui a 3 médailles Olympiques dans sa besace, dont une en Or et deux en bronze (en équipe),Un mec qui a été porte drapeau de la délégation française à Vancouver en 2010,Et surtout un homme qui se bat contre le mal logement depuis près de 7 ans, avec la Fondation Somfy et l'association les Petites Pierres : https://www.lespetitespierres.org/Il a déjà accompli les deux premières lettres de son projet de vie SABASportAutresBusinessArtEt je suis impatient de voir comment il va vivre les prochaines.On s'est rencontrés sur twitter il y a quelques mois, alors qu'il avait Twitté un épisode de GDIY et que déjà à l'époque, je me disais, hyper fier : "cool je me fais mentionner par un champion olympique"! Depuis, il a presque fallu que je le convainque de venir, je crois qu'il n'estimait pas avoir sa place ici...Vincent me parle de son expérience de vie, des personnes qui l'ont embarquées vers le succès, des déclics de sa vie. Il nous donne sa vision de la différence entre les assez doués et les ultra doués, et nous explique pourquoi il s'estime être un "chanceux méritant".J'ai du mal à comprendre ce dernier point à vrai dire, quand il m'explique qu'il a fini 13 fois 4eme, je me dis qu'il est plutôt un besogneux "méritant"!Vincent évoque ses premières années de ski dès ses 3 ans, la découverte tardive du tir à la carabine, et l'importance du coaching mental un an avant son titre olympique.Après avoir tourné l'épisode, il m'a même demandé si on pouvait le refaire, car il avait oublié de mentionner que Martin Fourcade était le parrain des Petites Pierres!Maintenant vous le saurez.Je vous invite à donner sur :https://www.lespetitespierres.org/Et à suivre Vincent sur les réseaux sociaux suivants :https://twitter.com/vdefrasne?lang=frhttps://www.facebook.com/vincent.defrasne.1https://www.linkedin.com/in/vincent-defrasne-16269ab1/🤙 Suivez moi aussi, tant qu'à faire !www.instagram.com/gdiypodcast/www.linkedin.com/in/stefani/www.twitter.com/mattintouch🙏 Stay tuned en vous abonnant au Podcast. Et notez le 5 étoiles partout ou vous pouvez! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Jun 8, 2018 • 1h 19min

#37 Romain Dessal TTSO - softpower : l'homme qui murmure dans la boite mail des décideurs

Romain Dessal, l'homme derrière la newsletter à succès TTSO, partage son parcours, de l'échec à l'ENA à la création de la newsletter. Il évoque la petite bourgeoisie intellectuelle, son retour à Puteaux, et le lancement de TTSO. Avec une équipe de 5 personnes, il informe plus de 100 000 abonnés quotidiennement. La newsletter est basée sur le 'native Advertising' et attire de nombreuses marques. Ne manquez pas de vous abonner gratuitement!
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May 26, 2018 • 1h 48min

#36 Laurence Fischer - La championne du monde de Karaté qui défend les femmes

👉Devenir championne c'est bien. 🤙Devenir championne du monde c'est mieux. 📈Devenir 3 fois championne du monde avec un diplôme de l'ESSEC c'est incroyable. 🙏Mais devenir 3 fois championne du monde et se servir de la maîtrise de son sport et de sa notoriété pour sauver des femmes, c'est juste complètement fou. C'est la vie de Laurence Fischer, que je vous propose de découvrir lors d'une discussion sans montage et sans filtre dans ce nouvel épisode de Génération Do It Yourself. Alors qu'elle flirtait avec les sommets du Karaté Européen et Mondial depuis une petite dizaine d'années et son premier titre mondial en 1998, Laurence découvre les causes de ces femmes humiliées et effrayées en Afghanistan lors de l'année de tous ses records en 2006. C'est également l'année durant laquelle elle est diplômée d'une des plus grandes écoles de commerce en France, l'ESSEC. https://fr.wikipedia.org/wiki/Laurence_Fischer Depuis, elle a décidé d'utiliser son expérience, sa force, son autorité naturelle, pour accompagner et défendre les femmes les plus faibles de la planète. Etape par étape, d'abord en Afghanistan, puis en République Démocratique du Congo, en France et bientôt ailleurs. Pour les aider, elle a créé "Fight For Dignity", une association qui aide des femmes à travers le monde à retrouver leur dignité grâce au sport. Son objectif : les aider à se reconstruire, montrer qu'une femme peut être forte, dans sa tête d'abord, mais également grâce à son corps. Dans cet épisode, Laurence me raconte sa découverte du karaté, (un peu) poussée par son père, son entrainement, sa stratégie, ses trophées. Elle évoque sa passion pour le théatre à plusieurs reprises, et celle de l'éducation par le sport. Elle déroule le fil du sens qu'elle a réussi à donner à sa vie, à ses titres de championnes, en les transformant en cadeau unique et salvateur pour des femmes qui sont totalement perdues. Laurence nous parle également * De sa découverte du karaté et de son grand frère qui hurlait lors de leurs premiers entrainements * De sa stratégie de combat offensive * De ses meilleures adversaires * Du fait qu'elle pleure souvent comme une madeleine * De sa rencontre avec le docteur Mukwegue * Et plus largement de sa philosophie de vie N'hésitez pas à aider Fight For Dignity pour 25€ par an seulement : https://www.helloasso.com/associations/fight-for-dignity Si vous voulez en savoir plus, vous pouvez suivre Laurence sur les réseaux sociaux : https://twitter.com/laufischer7?lang=fr https://www.linkedin.com/in/fischerlaurence7/ Fight For Dignity https://twitter.com/Fight4dignity_ https://www.facebook.com/Fight4Dignity/ Et regarder ces deux vidéos (pas très récentes!) qui vous en diront plus sur Laurence : https://www.youtube.com/watch?v=8nFd6PBLGtE https://www.youtube.com/watch?v=8cx7-mYuuko Je voudrais remercier Irène Toporkoff qui m'a présenté Laurence, et m'a donné indirectement envie de faire du karaté. 🤙 Tant qu'à faire, Suivez moi également www.linkedin.com/in/stefani/ https://www.instagram.com/gdiypodcast/ 🙏 Stay tuned : en vous abonnant au Podcast sur iTunes ou ailleurs. Notez, Likez et partagez tant que vous pouvez c’est ce que vous pouvez faire de mieux pour me soutenir ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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May 11, 2018 • 1h 36min

#35 Stéphane Distinguin - Faber Novel - Entreprendre comme un designer !

Doucement mais sûrement, Stéphane Distinguin fait son trou dans le digital Français. Depuis 2003 et la création de Faber Novel, il croit dans un model hybride entre le conseil en innovation et l’agence digitale. Entrepreneur dans l'âme, il lance en parallèle plusieurs entreprises comme Digitick ou BureauxÀPartager. Lui qui avait grandi dans une famille d’enseignants, n’avait pourtant rien à voir avec l’entreprenariat. C’est à l'âge de 13 ans, qu’il découvre le designer industriel et graphiste français Raymond Loewy qui lui inspire “l’envie d’entreprendre comme un designer.” Sa première expérience pro se passe en 1999. Année pendant laquelle il lance Cityrush.com, un site e-commerce de livraison à domicile. Le projet tient pendant 1 an et demi mais il ne réussit pas à le faire décoller. Après coup, il monte la première association des incubateurs en France, et rejoint Up&Up, un fonds d’investissements “early stage”. C’est là qu'il acquiert ses premières notions. Il observe, teste et décide de lancer Faber Novel en réponse à un besoin qui était de plus en plus présent sur le marché. “Les grandes entreprises avaient plus que jamais besoin de se transformer et l'argent pour le faire.” On est en 2003, les conditions étaients alors propices. La vulgarisation d’internet et l’effondrement des coûts rendaient de plus en plus facile le fait de proposer un produit ou une nouvelle offre. Stéphane lance se lance avec une promesse : “FABER” pour faire de grandes choses. Son modèle économique : du conseil, du service et un “excubateur” qui permet à l’entreprise de s’implanter en tant que partenaire crédible pour des personnes qui voulaient faire des choses qui n’existaient pas : “Regardez, si on sait le faire pour nous, on saura le faire pour vous” Aujourd'hui Faber Novel à 15 ans, et plus de 400 employés. Elle est implantée à San Francisco, à Shanghaï à Lisbonne, à New york et à Singapour, enchaînant les acquisitions. 📢 On a même droit à une annonce exclusive : -> L’acquisition de Zogma - espaces d'innovation (FrenchTech / LVMH) Faber Novel n’est pas pour autant la seule réussite de Stéphane qui été : 👉 De 2004 à 2010, président de Silicon Sentier10, aujourd’hui Numa. 👉 De 2013 à 2016, membre du Conseil national du numérique. 👉 Depuis 2013, président de Cap Digital- pôle de compétitivité et de transformation numérique réunissant plus de 1000 entreprises et laboratoires. 👉 En 2015, missionné avec François-Xavier Marquis et Gilles Roussel, par le Premier ministre Manuel Valls pour rédiger le rapport de préfiguration de la Grande École du Numérique 👉 En mai 2017, un acteur ayant fortement participé à la lutte contre les pratiques anti concurrentielles des plateformes en signant, aux côtés de huit entrepreneurs européens, une pétition adressée à la Commission européenne. 👉 Il est aussi à l’origine de La Cantine, premier coworking en Europe qui a lancé de nouveaux formats d’événements tels que : BarCamps MobileMondays CleanTuesdays TEDx Paris API days 🔑Dans cet épisode, Stéphane nous propose quelques concepts clés qui lui servent de lignes directives dans sa façon de piloter son projet : 300 DPI - concept dense en définition - anticipation. Syndrome NBA - Ce qui fait qu’on est attiré par un modèle dans lequel on n’est pas forcément le plus doué. Bundle or unbundle - Benedict Evans - Andreessen Horowitz : deux façons de gagner de l’argent : associer ou dissocier des activités” 📈 Il nous livre également sa petite recette à lui pour optimiser sa croissance externe. 🔎Pour en savoir plus sur Stéphane Distinguin, suivez-le sur ses réseaux : https://www.facebook.com/distinguin https://www.instagram.com/distinguin/ https://twitter.com/fano 🤙 Suivez moi aussi, tant qu'à faire ! www.linkedin.com/in/stefani/ twitter.com/mattintouch www.facebook.com/matthieu.stefani 🙏 Stay tuned en vous abonnant au Podcast. Notez, Likez et partagez tant que vous pouvez c’est ce que vous pouvez faire de mieux pour me soutenir ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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