Choses à Savoir - Culture générale

Choses à Savoir
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Sep 4, 2024 • 2min

Pourquoi la clé de contact s'insère à gauche sur les Porsche ?

La clé de contact des Porsche s'insère à gauche pour des raisons historiques et pratiques. Cette caractéristique remonte aux premières courses d'endurance comme les 24 Heures du Mans. Les pilotes devaient courir vers leurs voitures, démarrer le moteur et partir le plus rapidement possible. En plaçant la clé à gauche, les pilotes pouvaient démarrer le moteur de la main gauche tout en engageant la première vitesse de la main droite, gagnant ainsi de précieuses secondes au départ. Cette tradition a perduré dans les modèles de route pour maintenir cet héritage unique.Faits Surprenants sur PorscheOrigines Nazi : Ferdinand Porsche, le fondateur, a travaillé directement avec le régime nazi, notamment en concevant la Volkswagen Beetle à la demande d'Adolf Hitler. Cette voiture devait être un véhicule abordable pour le peuple allemand. De plus, pendant la Seconde Guerre mondiale, Porsche a produit des équipements militaires, dont des chars, pour l'armée allemande.Contexte historiqueVolkswagen Beetle : Conçue par Ferdinand Porsche, cette voiture a été lancée sous le régime nazi comme un projet pour motoriser l'Allemagne.Production de guerre : Pendant la Seconde Guerre mondiale, l'entreprise Porsche a fabriqué des véhicules militaires comme le char Tiger et d'autres équipements de guerre.Logo : Le logo de Porsche, créé en 1952, tire son origine des armoiries de la ville de Stuttgart et de l'ancien royaume de Wurtemberg. Stuttgart, où le siège de Porsche est situé, est symbolisée par un cheval cabré au centre du logo, reflétant son histoire en tant que haras. Les couleurs rouge et noire et les bois de cerf proviennent des armoiries du Wurtemberg. L'ensemble du logo, avec le nom "Porsche" en haut et "Stuttgart" au centre, symbolise à la fois l'héritage régional et l'identité de la marque.Innovation électrique : Ferdinand Porsche a conçu l'une des premières voitures hybrides en 1900, la Lohner-Porsche Mixte, un véhicule hybride essence-électricité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Sep 4, 2024 • 2min

Pourquoi dit-on une victoire à la Pyrrhus ?

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Sep 3, 2024 • 1min

A quelle distance se trouve l'horizon ?

La distance à laquelle se situe l’horizon dépend de la hauteur de l’observateur par rapport au niveau de la mer. Cette distance peut être calculée en utilisant une formule géométrique simple basée sur la courbure de la Terre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Sep 3, 2024 • 2min

Pourquoi les londoniens ont-ils désapprouvé les parapluies ?

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Sep 2, 2024 • 2min

Pourquoi trouvait-on des moulins à discipline dans les prisons du XIXe siècle ?

Les moulins à discipline, ou "treadwheels," étaient des dispositifs utilisés dans les prisons anglaises du XIXe siècle comme méthode de punition et de réhabilitation des détenus. Appelés "treadwheels," en an glais elles servaient de punition et au travail forcé des détenus. Ces appareils consistaient en une grande roue que les prisonniers devaient faire tourner en marchant ou en grimpant sur des barreaux, un effort physique intense et épuisant. 1. Discipline et Punition- Contrôle de la population carcérale : Les moulins à discipline étaient utilisés pour imposer une routine stricte et une discipline rigoureuse. Le travail monotone et épuisant servait de moyen de punir les détenus tout en les empêchant de comploter ou de causer des troubles.- Dissuasion : L'épuisement physique associé à l'utilisation des moulins décourageait les comportements indisciplinés parmi les prisonniers.2. Réhabilitation par le Travail- Habitude du travail : On croyait que le travail forcé pouvait inculquer une éthique de travail aux détenus, aidant à leur réhabilitation et à leur réintégration dans la société après leur libération.- Réforme morale : Le travail pénible était vu comme un moyen de réformer moralement les détenus, en les éloignant des habitudes oisives et criminelles.3. Utilisation de l'énergie mécanique- Production d'énergie : En plus de ses fonctions disciplinaires, le treadwheel était parfois utilisé pour générer de l'énergie mécanique pour des tâches telles que le pompage de l'eau ou le broyage de grain. Cependant, cet usage pratique était souvent secondaire par rapport à l'objectif disciplinaire.4. Développement des Pratiques Pénitentiaires- Influence des Réformateurs : Les réformateurs pénitentiaires du XIXe siècle, comme Jeremy Bentham, prônaient l'utilisation du travail forcé comme moyen de réhabilitation. Le treadwheel s'inscrivait dans cette philosophie, combinant punition et utilité économique.En résumé, les moulins à discipline étaient installés dans les prisons du XIXe siècle pour imposer la discipline, réformer les détenus par le travail et parfois pour des usages utilitaires. Bien que leur utilisation ait souvent été critiquée pour ses conditions inhumaines, ils représentent une période de l'histoire pénitentiaire où la punition et la réhabilitation étaient étroitement liées. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Sep 2, 2024 • 2min

Pourquoi toutes les étoiles n'ont pas la même couleur ?

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Sep 1, 2024 • 2min

Pourquoi Neil Armstrong n'aurait pas dit "c'est un petit pas pour l'Homme" ?

La controverse autour de la phrase "That's one small step for man, one giant leap for mankind" prononcée par Neil Armstrong lors de sa première marche sur la Lune en 1969 découle de l'absence apparente de l'article "a" avant "man". Voici les principaux éléments de cette controverse :Intention de Neil Armstrong- Ce qu'il voulait dire : Neil Armstrong a toujours affirmé qu'il avait voulu dire "That's one small step for a man, one giant leap for mankind". Cette formulation distingue clairement "un homme" (lui-même) de "l'humanité" (mankind).Enregistrements Audio- Absence de l'article "a" : Les enregistrements audio transmis depuis la Lune ne capturent pas clairement l'article "a". Ainsi, la phrase entendue par le public et enregistrée pour la postérité semble être "That's one small step for man, one giant leap for mankind".- Analyses techniques : Des analyses plus récentes, utilisant des technologies de filtrage audio et de traitement du signal, ont tenté de détecter l'article manquant, avec des résultats mitigés. Certains experts pensent qu'il a bien été dit mais était inaudible en raison de la qualité de la transmission, tandis que d'autres pensent que l'article n'a pas été prononcé.Contexte historique et technique- Transmission depuis la Lune : La transmission audio depuis la Lune était sujette à des interférences et à des limitations technologiques de l'époque. Ces facteurs peuvent avoir contribué à la perte ou à la distorsion de certains mots.- Stress et pression : Le stress et la pression extrêmes de ce moment historique peuvent également avoir influencé l'énonciation d'Armstrong.Perception publique et médiatique- Impact de la citation : Malgré la controverse, la phrase est devenue l'une des plus célèbres de l'histoire de l'exploration spatiale. La discussion sur l'article manquant n'a en rien diminué l'impact symbolique et historique de cette déclaration.- Déclarations d'Armstrong : Neil Armstrong lui-même a fait plusieurs déclarations publiques expliquant qu'il avait l'intention de dire "a man", ce qui a ajouté une dimension humaine et personnelle à la controverse.La controverse sur la phrase "That's one small step for man, one giant leap for mankind" est un mélange de facteurs techniques, historiques et humains. Elle illustre les défis de la communication dans des conditions extrêmes et la manière dont les mots peuvent être interprétés et réinterprétés au fil du temps. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Aug 30, 2024 • 2min

Pourquoi les tests de QI ont-ils été détournés ?

RediffusionLes tests chargés d'évaluer l'intelligence d'un individu ont été élaborés en 1905 par le pédagogue français Alfred Binet et ses collaborateurs. Ces tests de QI (Quotient intellectuel), qui étaient censés déterminer l'"âge mental" de l'enfant, ont été élaborés à la duite d'une demande du Ministère de l'Instruction publique, comme on l'appelait alors.À la suite des lois de 1881-1882, qui rendent l'école primaire obligatoire et gratuite, les autorités éducatives se sont aperçues que tous les enfants n'étaient pas en mesure de suivre l'enseignement prévu pour eux.Le Ministère souhaitait donc disposer d'une mesure objective des capacités intellectuelles de chacun d'entre eux, de manière à pouvoir créer des classes spécifiques, destinées à accueillir les enfants les plus en difficulté.Le but était donc de repérer ces élèves, grâce à ces tests de QI, de manière à leur dispenser des cours adapté et un soutien approprié.Ces tests ont fait l'objet de certaines critiques. C'est ainsi que leur concepteur, qui prétendait ne mesurer que le processus intellectuel, et non les connaissances, s'appuyait tout de même sur certains acquis pour construire ses tests.Une tout autre utilisationLes tests de QI, cependant, ont parfois été utilisés à d'autres fins, bien moins avouables. En effet, aux États-Unis, ou dans certaines provinces de Canada, à la fin des années 1920, des personnes ayant eu de faibles résultats aux tests de QI étaient obligées de se soumettre à des programmes de stérilisation forcée.On connaît au moins le cas d'une personne qui, ayant poursuivi les autorités canadiennes à cette occasion, a obtenu gain de cause.Cette instrumentalisation, à des fins eugénistes, des tests de QI, n'est pas la seule dérive constatée. En effet, certains auteurs ont constaté que les représentants de certaines minorités, comme les Noirs, avaient parfois des résultats plus médiocres aux tests de QI.Ils ont alors expliqué ces différences de scores, entre les uns et les autres, par des raisons, souvent fondées sur la génétique, qui ont paru racistes à certains observateurs. Pout ces derniers, ces écarts s'expliquaient surtout par la nature de l'environnement social. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Aug 29, 2024 • 2min

Comment des pigeons ont aidé l'agence Reuters ?

L'agence Reuters est, aujourd'hui encore, l'une des plus importantes agences de presse. Présente dans plus de 90 pays, elle emploie près de 50.000 personnes, dont 2.500 journalistes.Elle est fondée en 1851 par Paul Julius Reuter. Né en Allemagne en 1816, ce fils de rabbin travaille d'abord dans une banque fondée par l'un de ses oncles, ouvre une librairie puis fonde un journal, sans plus de succès.Après toutes ces tentatives infructueuses, il débarque à Paris en 1848. Il y rencontre Charles Havas, qui a fondé, dès 1835, l'agence de presse du même nom. La collaboration entre les deux hommes ne dure qu'un an.Un départ vers l'AllemagneSi Reuter ne reste pas longtemps chez Havas, c'est qu'il ambitionne de fonder sa propre agence de presse. C'est chose faite dès 1849. Mais l'agence ouverte à Paris, qui transmet des nouvelles internationales aux journaux français, doit fermer au bout de quelques mois. Étant étranger, en effet, Reuter ne peut exercer une telle activité.Il quitte alors la France pour se rendre à Aix-la-Chapelle, en Allemagne, où il fonde une nouvelle agence. Un choix qui ne doit rien au hasard. En effet, c'est dans cette ville que se trouve le terminal du réseau télégraphique en provenance d'Allemagne.Reuter sera donc bien placé pour recevoir un flot d'informations, qu'il pourra ensuite diffuser en Belgique et en France.Des pigeons voyageurs à la rescousseIl se trouve cependant confronté à un sérieux problème. Il n'existe pas de télégraphe entre Aix-la-Chapelle et Bruxelles. Dès lors, comment acheminer les nouvelles vers la capitale belge et, de là, en direction de Berlin et Paris ?Reuter trouve alors une solution ingénieuse : il utilise des pigeons voyageurs. À vrai dire, le recours à ces oiseaux n'était pas nouveau, puisque Charles Havas y avait déjà pensé.Reuter réunit donc 200 pigeons qui, se déplaçant plus vite que les trains postaux, lui transmettent les nouvelles plus rapidement. Il prend donc connaissance de ces informations avant ses collègues, ce qui assure un avantage décisif à son agence.Mais la chance l'abandonne dès 1851, date à laquelle le télégraphe est posé sur cette ligne. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Aug 28, 2024 • 2min

Pourquoi dit-on un « transat » et « mener en bateau » ?

RediffusionDans le jardin ou sur la plage, le "transat" est une chaise longue très appréciée des amoureux du farniente. Mais d'où tient-elle son nom ?Transat est le diminutif de "transatlantique". On désignait ainsi les grands paquebots qui, voilà quelques décennies, sillonnaient les mers du globe. On prit l'habitude d'appeler "transatlantiques" les "chaises de pont" sur lesquelles pouvaient se délasser les passagers.Elles étaient faites de bois et de rotin et pourvues d'accoudoirs et de repose-pieds. Au moment de l'instauration des congés payés, en 1936, les Français découvrent ces chaises longues et les adoptent.Le nom comme la chaise elle-même sont un peu simplifiés. L'appellation d'origine étant un peu longue, on l'abrège bientôt en "transat". Quant au rotin, il est remplacé par de la toile, accoudoirs et repose-pieds disparaissant de la plupart des modèles.L'un des premiers à utiliser cette abréviation, plus facile à retenir, serait André Gide, qui l'écrit dans son journal dès 1943.Un jeu de dupesSi quelqu'un essaie de vous tromper, vous direz volontiers qu'il vous "mène en bateau". Contrairement à ce qu'on pourrait croire, cette expression n'a rien à voir avec les marins et la navigation.Elle est fort ancienne puisqu'elle remonte au Moyen-Âge. On rencontrait alors, sur les places et les parvis des églises, des bateleurs, qui essayaient d'attirer les passants.Grâces à des tours de leur façon, ces gens adroits parvenaient à duper les badauds. Un peu comme les joueurs de bonneteau qui, aujourd'hui encore, trompent les gens en manipulant des cartes sous leurs yeux.Or, on a fini par confondre "bateleur" avec "batelier", qui désigne le propriétaire d'un bateau fluvial. Du batelier au bateau, il n'y avait plus qu'un pas. Dès lors, quand quelqu'un se faisait duper, on disait qu'il était "mené en bateau". L'expression n'a pas tardé à s'imposer dans l'usage.Il existe une variante, "monter un bateau", mais qui n'a pas tout à fait le même sens. Elle désigne en effet la préparation d'une entreprise frauduleuse ou d'une "arnaque". Elle comporte donc toujours une idée de tromperie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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