Sur le grill d'Écotable

Le vin nature fait l'objet de nombreux stéréotypes. Le premier stéréotype est celui du goût. Le vin nature ne serait pas un grand vin. Il serait trop fluctuant, trop vivant, parfois même pétillant. Un autre stéréotype est celui de son cahier des charges : il serait trop opaque, voire même inexistant.  Ce qui est sure est que le vin nature a la cote. On le trouve aujourd’hui un peu partout. Alors que faut-il exactement entendre par « vin nature » ? Comment s’y retrouver ? Pour en parler, j’ai l’honneur d’accueillir Céline Maguet. Céline est journaliste. Elle est aussi la cofondatrice de l’agence Soif qui a pour ambition de faire boire aux festivaliers du bon vin, nature et en vrac, c’est-à-dire à la tireuse. A côté de cela, elle a créé pendant le confinement Le marché vert, un site internet qui référence toutes les initiatives permettant de bien se nourrir.   Pour en savoir plus sur le label et la communauté de restauration durable Ecotable, n'hésitez pas à consulter notre site internet https://ecotable.fr/frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les Français sont de grands consommateurs de pain. En moyenne, un Français consomme 125g de pain par jour et chaque seconde ce sont 320 baguettes qui sont produites. Toutefois, cette consommation tend aujourd’hui à diminuer. A titre de comparaison, nous consommons 7 fois moins que dans les années 50. Et de fait, si le pain a toujours le vent en poupe, il a également subi une certaine remise en cause : il est accusé de nombreux maux : il serait indigeste au regard du gluten de blé, aurait parfois peu d’intérêt nutritionnel et gustatif.  Ainsi le pain est-il vraiment l’ami de notre quotidien ? Et si oui, quel pain devrions-nous consommer ? Pour en parler, je suis avec Valentin Orgeas. Il est boulanger dans une boulangerie parisienne appelée « Fermentation générale ». Dans cette minuscule échoppe, comme son nom l’indique, tout est fermenté, pain et focaccia y compris. Pour en savoir plus sur le label de restauration durable Ecotable, consulter notre site internet https://ecotable.fr/fr.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans cet épisode, nous interrogeons notre consommation de chair animale et de produits animaux. En effet, selon les études de la FAO, l’organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture, l’élevage est responsable à lui seul de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre et de 63% de la déforestation en Amazonie. Il est également pointé du doigt pour ses conséquences sanitaires : utilisation massive des antibiotiques entraînant des bactéries multirésistantes, pollution des eaux et des sols, notamment aux nitrates. Mais à côté de cela, la consommation de viande et de poisson interroge également le bien-être animal. A-t-on conscience de ce qu'on mange quand on mange du porc, du bœuf ou de l'agneau ? Que sait-on de cette consommation ? Pour en parler, je reçois le journaliste Hugo Clément qui a écrit récemment un livre intitulé "Comment j'ai arrêté de manger les animaux". Pour en savoir plus sur le label de restauration durable Ecotable et sa communauté, visitez notre site internet https://ecotable.fr/frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le confinement n'est-il pas aussi l'occasion de faire le point, de réfléchir, de continuer à apprendre? C'est le parti pris que nous avons adopté dans notre podcast Sur le grill d'Ecotable en publiant de nouveaux épisodes sur des sujets que nous n'avons pas toujours le temps de creuser. Dans cet épisode, nous parlons bien être animal. Le bien-être animal existe-t-il vraiment ? Le bien-être animal suscite un intérêt croissant au sein de notre société, particulièrement en ce qui concerne les animaux d’élevage. Les conditions d’élevage, en revanche, n’ont pas tellement évoluées. Il existe ainsi toujours en France des différences drastiques suivant les types d’élevage et les animaux.  Dès lors, comment prendre en compte le bien être d’un animal? Et est-ce que le bien être animal existe vraiment pour les animaux d’élevage ?  Pour parler de cette question, nous avons interviewé Pauline DiNicolantonio. Pauline travaille chez Welfarm, une association qui lutte pour le bien être animal. Pour en savoir plus sur le label de restauration durable Ecotable et sa communauté, visitez notre site internet https://ecotable.fr/frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Depuis les années 70, des théoriciens, souvent anglosaxons, se sont intéressés à la place des femmes dans les luttes environnementales. C’est ce que l’on appelle couramment « l’écoféminisme ». Ce mouvement fait alors le parallèle entre l’oppression de la nature et l’oppression des femmes. Les deux seraient dû à notre système patriarcale. Dans cet écoféminisme, il y a tout une partie relative à l’alimentation. La mère nourricière serait aussi celle qui protège, celle qui se bat pour une alimentation saine et écologique. C’est de cette thématique que nous allons discuter aujourd’hui à travers le prisme journalistique : les femmes ont-elles le monopole de l’engagement en matière de journalisme culinaire ? Dans cet épisode, nous interrogeons les liens entre féminisme et alimentation/cuisine/gastronomie durable. Pour en parler, nous avons reçu 3 journalistes de renom : Camille Labro, Elvira Masson et Estérelle Payany. Pour en savoir plus sur le label de restauration durable Ecotable et sa communauté, visitez notre site internet https://ecotable.fr/frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Agriculture régénératrice ? Qu’est-ce que cela signifie ? Quand on pense à l’agriculture, ce n’est peut-être pas le premier terme qui vient à l’esprit. Aujourd’hui l’agriculture fait l’objet de nombreux débats, voire même de nombreuses crispations. Il faut dire que l’agriculture est accusée d’avoir une part importante dans les maux actuels. C’est ce que certains qualifient d’ « agri-bashing ». L’agriculture que l’on appelle « conventionnel », c’est-à-dire productiviste, émettrait des gaz à effet de serre, pollueraient les eaux et les sols, réduiraient la biodiversité, serait cause de déforestation et j’en passe. Quel autre modèle est donc possible ? Existe-t-il une agriculture qui, au lieu d’altérer l’environnement, le régénère ? Pour en savoir plus sur le label de restauration durable Ecotable et sa communauté, visitez notre site internet https://ecotable.fr/frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les enjeux de la pêche sont nombreux. Le premier est celui de la préservation de la biodiversité. Les ressources marines ne sont pas illimitées. Et a pêche fait partie des plus grandes menaces. Pour donner quelques chiffres éloquents, 31,4% des poissons de la planète sont surexploités, 58,1 % sont exploités au niveau maximum de leur capacité. Et ces chiffres n’intègrent pas toutes les prises accessoires qui sont pêchées puis rejetées à la mer souvent mortes. Le second enjeu est celui de la santé des océans. L’océan représente plus de 96% de l’eau sur Terre et produit la moitié de l’oxygène que nous respirons. Sa bonne santé est donc primordiale pour notre bien-être. Or, certaines techniques de pêche peuvent menacer cette santé en détériorant les milieux marins. Le troisième enjeu est un enjeu humain. Des centaines de millions de personnes dépendent des océans directement pour leur travail ou leur alimentation.  Pour parler de cette question nous sommes avec Charles Guirriec. Il est le cofondateur de Poiscaille, une entreprise qui livre des poissons pêchés en France en circuit court. Il nous parle de ce qu'il a vu, étudié, retenu. Pour en savoir plus sur le label de restauration durable Ecotable et sa communauté, visitez notre site internet https://ecotable.fr/frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L’agriculture urbaine a le vent en poupe. On lui prête de nombreuses vertus. Elle permettrait tout d’abord de végétaliser les villes et ainsi de former des puits de carbone. Cette végétalisation urbaine assurerait aussi une réduction des températures en évitant les ilots de chaleurs urbains. Enfin elle ramènerait de la biodiversité en ville, zone qui sont souvent moins exposées aux pesticides. Ainsi, oiseaux, abeilles mais aussi biodiversité végétale pourraient trouver un accueil au sein de nos villes. Un autre avantage de l’agriculture urbaine est, comme son nom l’indique, l’existence d’une agriculture ultra locale pour les urbains. De plus en plus de personnes vivent en ville et ces villes, particulièrement françaises, sont très peu autonomes d’un point de vue alimentaire. C’est le cas particulièrement de Paris, qui, selon une étude serait autosuffisant à hauteur seulement de 1,27%. Et de fait on voit fleurir ces dernières années des champignons, des petites pousses, des épices, des ruches sur les toits, dans les espaces verts, dans les parkings de nos villes. L’agriculture urbaine peut-elle alors permettre de nourrir les citadins ?  Pour parler de cette question, nous sommes avec Swen Deral, il est le cofondateur de La Sauge. Sauge qui signifie Société d’agriculture urbaine généreuse et engagée.  Pour en savoir plus sur le label de restauration durable Ecotable et sa communauté, visitez notre site internet https://ecotable.fr/frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Avec l’interdiction de certains objets en plastique à usage unique, depuis le 1er janvier 2020, les alternatives au plastique conventionnel fleurissent. On voit apparaître des sacs plastiques, des pailles, des boites dites compostables. Elles ne seraient pas faites en plastique mais bien souvent en bio plastique. Mais ces emballages constituent-ils une véritable alternative au plastique ? Quelle est leur véritable empreinte environnementale ? Sur le papier, on peut être séduit par ces alternatives. On se dit, que leur empreinte est forcément moins importante dans l’environnement, puis que ces objets peuvent disparaître sous l’effet du compost contrairement au plastique. Mais est-ce vraiment le cas ? Il semble que sur cette question les contre-vérités soient particulièrement nombreuses et que la réponse ne soit pas si simple. Pour en parler, nous sommes avec Alexandre Guilly. Il est le fondateur des Alchimistes, une entreprise qui collecte et compost les déchets alimentaires en circuit-courts. Pour en savoir plus sur le label de restauration durable Ecotable et sa communauté, visitez notre site internet https://ecotable.fr/frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Sur le papier, on est tous un peu fous de pâtisserie, probablement parce qu’on est d’ailleurs un peu tous accro au sucre. Mais quand on y réfléchit, ces délicieux gâteaux vont rarement de pair avec la transition écologique. Les ingrédients viennent souvent de loin, voire très loin : le sucre de cannes provient généralement d’Amérique latine ou d’Asie via des monocultures intensives. Il en est de même du chocolat. Ces cultures ont, par ailleurs, souvent des impacts sociaux très néfastes sur les populations locales. De plus, la pâtisserie fait rarement, la part belle aux produits de saison. On trouve ainsi généralement des fraises et framboises toute l’année, des abricots… Enfin beaucoup de pâtisseries contiennent des colorants, des adjuvants, des produits ultra raffinés. Est-on obligé de manger de telle pâtisserie ? La pâtisserie peut-elle rimer avec écologie ? C’est cette question que nous allons essayer de décrypter aujourd’hui avec Raphaele Marchal, chroniqueuse et auteure engagée. Pour en savoir plus sur le label de restauration durable Ecotable et sa communauté, visitez notre site internet https://ecotable.fr/frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.