

Le monde devant soi
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Chaque semaine, Jean-Marie Colombani, Alain Frachon et Hélène Decommer décryptent l'actualité internationale.Le monde devant soi est un podcast produit par Slate Podcasts.Production éditoriale et présentation: Hélène DecommerMontage et réalisation: Aurélie Rodrigues Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Episodes
Mentioned books

Jul 2, 2021 • 30min
Emmanuel Macron est-il condamné à exister dans l'ombre de Joe Biden?
Pour ce dernier épisode de la saison 2, Le Monde devant soi revient sur la diplomatie d'Emmanuel Macron. Tant que Donald Trump était à la Maison-blanche, le président français semblait avoir un boulevard pour s'imposer sur la scène internationale comme héraut de la démocratie libérale et défenseur du monde libre. L'arrivée de Joe Biden à la présidence des États-Unis a quelque peu changé la donne et, on l'a vu lors du dernier G7, Macron semble réduit à jouer le second rôle.Quel est le positionnement de Macron dans sa relation avec le Démocrate Joe Biden? Comment exister dans l'opposition Chine-États-Unis? Et quelle place pour le président français en Europe?Réponses dans Le monde devant soi, le podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron, avec Jean-Marie Colombani, directeur de la publication de Slate.fr, et Alain Frachon, éditorialiste au Monde spécialisé dans les questions internationales.Réalisation et montage: Aurélie RodriguesSi vous aimez Le monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez le Slate Podcast Club sur Facebook.Musique: «Believer (Saeptem LMDS MiniEdit)», Silent Partner Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.

Jun 25, 2021 • 26min
Euro 2021, jeu de ballon, enjeux d'influence
Rarement compétition n'a été aussi politique que cet Euro 2021. Polémiques franco-françaises sur le cas Benzema à l'occasion de son retour en bleu, débat sur un geste symbolique contre le racisme, irruption d'un militant écologiste avant le coup d'envoi de France-Allemagne et passe d'armes autour de l'illumination du stade de Munich aux couleurs du rainbow flag, symbole LGBT+.Un développement important par sa résonance au niveau européen: Munich a voulu marquer le coup lors du match opposant l'Allemagne à la Hongrie, pour dénoncer une loi votée à Budapest interdisant «la promotion chez les moins de 18 ans de l'homosexualité, le changement de sexe ou une alternative au sexe de naissance». Ce texte, inspiré de celui en vigueur en Russie, amalgame homosexualité et pédophilie. L'UEFA a interdit à l'Allemagne de pavoiser son stade aux couleurs LGBT+ et s'en est expliquée dans un communiqué difficilement compréhensible évoquant la neutralité politique de l'organisation. Et le 24 juin, en marge d'un Conseil européen, dix-sept chefs d'État de l'UE ont pris la parole dans une lettre pour rappeler leur attachement aux droits des LGBT+ et la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a déclaré user de tous les moyens à sa disposition pour faire plier Viktor Orbán.Sans la mise en lumière de cette question lors du match Allemagne-Hongrie, l'Union européenne aurait-elle été si prompte à réagir? Pourquoi l'UEFA est-elle si frileuse sur les questions politiques? Existe-t-il ce qu'on pourrait appeler une diplomatie du football? Quels sont les matchs sur lesquels il y a un enjeu géopolitique majeur? Comment faut-il analyser la multiplication des investissements du Qatar et de la Chine dans les clubs européens? Donne-t-on trop peu la parole aux joueurs et trop aux politiques?Réponses dans Le monde devant soi, le podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron, avec Jean-Marie Colombani, directeur de la publication de Slate.fr, et Alain Frachon, éditorialiste au Monde spécialisé dans les questions internationales.Réalisation et montage: Aurélie RodriguesSi vous aimez Le monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram. Musique: «Believer (Saeptem LMDS MiniEdit)», Silent Partner Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.

Jun 18, 2021 • 30min
Joe Biden-Vladimir Poutine, une normalisation des relations pour limiter l'influence chinoise
Semaine chargée pour Joe Biden, marquée par une grande tournée diplomatique en Europe avec, au programme, cinq jours de sommets. D'abord, le G7 à Carbis Bay, en Grande-Bretagne, puis le sommet de l'OTAN à Bruxelles, suivi d'une réunion entre l'Union européenne et les États-Unis le 15 juin, et enfin la rencontre avec Vladimir Poutine, le mercredi 16 à Genève. Un tête-à-tête de plus de deux heures où les deux présidents devaient aborder les sujets qui fâchent et aplanir les relations parfois compliquées entre les deux pays.Et si la rencontre a pu sembler parfois assez froide, on peut dénombrer certaines bonnes nouvelles: le retour des ambassadeurs russes et américains respectivement à Washington et Moscou, la reprise des négociations sur le nucléaire et l'engagement russe à ne pas militariser l'Arctique. Mais des points de frictions demeurent: la question des cyberattaques, ou l'arrestation de Navalny, cet opposant politique de Vladimir Poutine qui reste la pierre d'achoppement entre les deux leaders. Rappelons que Biden a évoqué des conséquences «dévastatrices» pour la Russie si Alexeï Navalny, emprisonné, venait à mourir.Qui sort vainqueur de cette rencontre? Joe Biden, qui a réaffirmé son attachement à la question des droits humains, ou Vladimir Poutine, qui se voit conforté comme une pièce essentielle des relations internationales? Pourquoi la Chine est le fil rouge de ces échanges? Comment se recomposent les équilibres internationaux dans une géopolitique marquée par une nouvelle multipolarité? Et quelle place pour la France d'Emmanuel Macron dans le concert actuel des nations?Réponses dans Le monde devant soi, le podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron, avec Jean-Marie Colombani, directeur de la publication de Slate.fr, et Alain Frachon, éditorialiste au Monde spécialisé dans les questions internationales.Réalisation et montage: Aurélie RodriguesSi vous aimez Le monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram. Musique: «Believer (Saeptem LMDS MiniEdit)», Silent Partner Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.

Jun 14, 2021 • 26min
Cyberguerre: des conflits invisibles aux conséquences bien réelles
Aucun coup n'est tiré, mais les dégâts peuvent être considérables et les conséquences, dramatiques. Souvent silencieuses, parfois spectaculaires, les cyberattaques se multiplient –qu'elles soient le fait de simples criminels, d'États souverains ou d'une collaboration des deux. Dernier exemple en date, cette offensive contre le Colonial Pipeline, un oléoduc américain, mené par un gang de cybercriminels nommé DarkSide. Citons aussi l'affaire SolarWinds, du nom de cet outil informatique utilisé par de nombreuses administrations américaines, vérolé par un logiciel espion –une attaque attribuée à la Russie, découverte en décembre 2020. On compte encore l'offensive contre l'Agence européenne du médicament; le hacking, encore par les Russes, du réseau électrique ukrainien en décembre 2015; l'intrusion dans les mails de responsables démocrates en 2015.Côté français, on a dénombré près de 192 cyberattaques l'an dernier. Évoquons à titre d'exemples celles menées contre l'hôpital de Dax, dans les Landes, en pleine crise du Covid, contre le CNED, ou contre le quotidien Ouest-France.Il semble clairement que le nombre d’attaques numériques soit en croissance exponentielle, et ce dans le monde entier. Comment remonter aux auteurs des cyberattaques? Quels sont les États impliqués? Comment réguler ces conflits invisibles?Réponses dans Le monde devant soi, le podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron, avec Jean-Marie Colombani, directeur de la publication de Slate.fr, et Alain Frachon, éditorialiste au Monde spécialisé dans les questions internationales, rejoints cette semaine par Nicolas Mazzuchi, chercheur à la Fondation pour la recherche stratégique.Si vous aimez Le monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram.Musique: «Believer (Saeptem LMDS MiniEdit)», Silent Partner Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.

Jun 4, 2021 • 26min
L'inquiétante soumission du Parti républicain à la théorie du grand mensonge de Donald Trump
Souvenez-vous du 6 janvier 2021. Vous étiez peut-être devant votre télé en train de regarder, incrédule, l'assaut du Capitole par les partisans de Donald Trump. Des partisans bien résolus à empêcher la certification des résultats de l'élection présidentielle, plaçant Joe Biden à la Maison-Blanche. Un assaut qui résultait de l'intoxication des esprits par le milliardaire vaincu, qui répétait à loisir que l'élection lui avait été volée.On aurait pu se dire qu'avec le temps, cette frange extrême se serait calmée et que cet événement, dans l'histoire de la démocratie américaine, n'était qu'un accident de parcours dans un contexte un brin chaotique. Mais il n'en est rien. Trump et son discours comptent encore de nombreux soutiens, et on ne parle pas là d'une minorité de militants extrémistes. Car même au sein du Parti républicain, et parmi ses membres les plus influents, il se trouve quantité d'élus pour protéger l'ancien président.Ainsi le 28 mai, une majorité d'élus du GOP se sont opposés à l'ouverture d'une enquête bipartisane sur l'assaut du Capitole. Qu'est ce qu'une enquête bipartisane et pourquoi en mener une sur cet événement ? Que dit du Parti républicain ce refus de se prononcer en faveur d'une enquête? Quelle est l'influence réelle de Trump sur le mouvement? Comment et pourquoi séduit-il?Réponses dans Le monde devant soi, le podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron, avec Jean-Marie Colombani, directeur de la publication de Slate.fr, et Alain Frachon, éditorialiste au Monde spécialisé dans les questions internationales.Réalisation et montage: Aurélie RodriguesSi vous aimez Le monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram. Musique: «Believer (Saeptem LMDS MiniEdit)», Silent Partner Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.

May 28, 2021 • 28min
Alexandre Loukachenko, le dictateur qui embarrasse Poutine et agresse l'Europe
Ce dimanche 23 mai, le vol Athène-Vilnius de la compagnie aérienne Ryanair a été intercepté par un Mig 29 biélorusses alors qu'il survolait le pays. Après un atterrissage dit pudiquement «d'urgence», le journaliste et opposant Roman Protassevitch a été arrêté par les services de sécurité.Cette interception d'un vol civil est une première, justifiée, officiellement, par «une alerte à la bombe». Bombe dont il a évidemment été trouvé aucune trace. Le président biélorusse Alexandre Loukachenko a affirmé cette semaine avoir agi «légalement» et a rejeté l'accusation d'avoir détourné le Boeing en question pour arrêter l’opposant.L'Union européenne, elle, a pris immédiatement des sanctions: depuis le lundi 24 mai, son espace aérien est fermé à la Biélorussie et plus aucun avion européen ne survole le pays. Quant à la communauté internationale, elle condamne globalement Minsk. Les membres européens du conseil de sécurité de l'ONU et Washington ont demandé la libération immédiate de Protassevitch ainsi qu'une enquête de l'organisation de l'aviation civile internationale (OACI).Si l'acte en lui-même est inédit, il n'est pas franchement surprenant dans la mesure où le régime de Loukachenko semble se raidir ces dernières semaines.Quelle est la situation actuelle à Minsk? Qu'est-ce qui est reproché exactement à Roman Protassevitch? Y a-t-il un espace possible pour l'opposition à Lokachenko? Faut-il voir la main de la Russie derrière Loukachenko? Et que peut vraiment faire l'Europe?Réponses dans Le monde devant soi, le podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron, avec Jean-Marie Colombani, directeur de la publication de Slate.fr, et Alain Frachon, éditorialiste au Monde spécialisé dans les questions internationales.Réalisation et montage: Aurélie RodriguesSi vous aimez Le monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram. Musique: «Believer (Saeptem LMDS MiniEdit)», Silent Partner Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.

May 21, 2021 • 30min
Israël-Palestine, après 11 jours de conflit, la victoire des extrémistes des deux camps
Si le calme semble être revenu après le cessez-le-feu accepté par Israël et le Hamas, la trêve reste fragile. Si fragile qu'il est bien possible qu'il ait été rompu quand vous écouterez cet épisode du Monde devant soi. Cette trêve intervient après onze jours d'un conflit lourdement armé entre Tsahal et le mouvement islamiste palestinien, qui se solde pour l'instant par la mort de 232 personnes côté palestinien et 12 côtés israélien.Ce conflit, on ne l'avait pas vraiment vu venir. La situation semblait s'être relativement stabilisée et la cause palestinienne paraissait ne plus être une priorité des relations diplomatiques de la région. Et pourtant, le 10 mai, le Hamas a ouvert les hostilités en tirant des salves de roquettes vers Israël, en «solidarité», avec les Palestiniens blessés lors d'affrontements avec la police israélienne sur l'esplanade des Mosquées de Jérusalem, le 7 mai. Un retour de la violence qui fait aussi suite aux tensions dans le quartier de Cheikh Jarrah à Jérusalem-Est, où des familles palestiniennes ont été menacées d'expulsion par des colons juifs.Comment ces deux événements ont-ils entraîné un regain des violences entre les deux parties? Pourquoi des tensions inédites sont-elles apparues entre les arabes et les juifs au sein même de Jérusalem? Comment l'extrême droitisation de la politique israélienne a-t-elle envenimé la situation? Et comment le Hamas est-il perçu par la population palestinienne?Réponses dans Le monde devant soi, le podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron, avec Jean-Marie Colombani, directeur de la publication de Slate.fr, et Alain Frachon, éditorialiste au Monde spécialisé dans les questions internationales.Réalisation et montage: Aurélie RodriguesSi vous aimez Le monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram. Musique: «Believer (Saeptem LMDS MiniEdit)», Silent Partner Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.

May 14, 2021 • 28min
Quel est l'héritage géopolitique de François Mitterrand, atlantiste de cœur et européen convaincu?
Il y a quarante ans, le 10 mai 1981, la gauche arrivait au pouvoir pour la première fois sous la Ve République avec l'élection de François Mitterrand à sa présidence. Jeunes trentenaires et journalistes à l'époque, Jean-Marie Colombani et Alain Frachon reviennent sur les années Mitterrand, l'union de la gauche et les rapports du président socialiste avec les dirigeants du reste du monde.Pour écouter le denier discours de François Mitterrand, cité dans cet épisode, rendez-vous sur le site de l'INA.Le monde devant soi est un podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron, avec Jean-Marie Colombani, directeur de la publication de Slate.fr, et Alain Frachon, éditorialiste au Monde spécialisé dans les questions internationales.Réalisation et montage: Aurélie RodriguesSi vous aimez Le monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram. Musique: «Believer (Saeptem LMDS MiniEdit)», Silent Partner Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.

May 7, 2021 • 29min
L'incapacité d'Israël à se doter d'un gouvernement sonne-t-elle la fin de l'ère Netanyahou?
Le 23 mars dernier, Israël votait pour élire les 120 membres de la Knesset. Une élection qui a placé le parti de Benyamin Netanyahou en tête avec 25% des voix, suivi des centristes du Yesh Atid, des ultra-religieux du Shas, des centristes de Benny Ganz, de la droite et des travaillistes. Une victoire très relative du Premier ministre, puisque son parti perd cinq points et six sièges.Le scénario post-élections de 2021 ressemble furieusement à celui de 2020. Encore une fois, il est extrêmement difficile de former un gouvernement, tâche dont Netanyahou a été chargé par le président israélien Rivlin avant d'échouer. C'est désormais au tour du leader du Yesh Atid, Yaïr Lapid, de s'y atteler, en intégrant peut-être l'extrême droite pour éviter de nouvelles élections.Cet échec marque-t-il la fin de la carrière de Netanyahou? Comment expliquer sa longévité à la tête du gouvernement israélien? Et pourquoi le pays vote-t-il aussi souvent?Réponses dans Le monde devant soi, le podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron, avec Jean-Marie Colombani, directeur de la publication de Slate.fr, et Alain Frachon, éditorialiste au Monde spécialisé dans les questions internationales.Réalisation et montage: Aurélie RodriguesSi vous aimez Le monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram. Musique: «Believer (Saeptem LMDS MiniEdit)», Silent Partner Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.

Apr 30, 2021 • 28min
Covid-19: comment l'Inde a perdu le contrôle de l'épidémie
Trois mille six cents morts pour la journée du 28 avril, 205.000 au total, plus de 18 millions de cas pour une population de près d'1,3 millions d'habitants et des courbes toujours en hausse.L'épidémie, devenue incontrôlable, serait aggravée par un variant que l'on soupçonne d'être particulièrement contagieux. Le tout dans un contexte politique tendu, d'élection au Bengale-Occidental, une région qui résiste pour l'instant à l'ascension du BJP, le parti nationaliste hindou du Premier ministre Narendra Modi.Comment le pays en est-il arrivé là? Que révèle la crise de l'État de l'Inde? Dans quelle mesure le gouvernement Modi a-t-il failli?Réponses dans Le monde devant soi, le podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron, avec Jean-Marie Colombani, directeur de la publication de Slate.fr, Alain Frachon, éditorialiste au Monde spécialisé dans les questions internationales et Robin Tutenges, photojournaliste, en direct de Calcutta.Réalisation et montage: Aurélie RodriguesSi vous aimez Le monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram. Musique: «Believer (Saeptem LMDS MiniEdit)», Silent Partner Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.