
C dans l'air
Caroline Roux, du lundi au jeudi et Axel de Tarlé les vendredis et samedis rendent compte en direct, en compagnie d’experts, de ce qui fait l’actualité et donnent aux téléspectateurs les clés nécessaires pour la comprendre et l’appréhender dans sa globalité. En fin d’émission, ils répondent aux questions posées par les téléspectateurs par SMS, Internet ou via les réseaux sociaux.Retrouvez C dans l’air en replay sur france·tv : http://bit.ly/c-dans-l-air-podcast🎙️ Et en podcast sur toutes les plateformes : https://audmns.com/EUDBMdsDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Latest episodes

May 31, 2025 • 1h 6min
Musk : les milliardaires peuvent-ils réussir en politique ? - L'intégrale -
Philippe Dessertine, directeur de l’Institut de Haute Finance, et Raphaëlle Bacqué, grand reporter au Monde, entre autres intervenants, analysent le parcours tumultueux d'Elon Musk en politique. Ils examinent les défis de l'entrepreneuriat face aux exigences politiques, ainsi que ses relations complexes avec Donald Trump. Les discussions portent sur l'influence croissante des milliardaires dans le paysage politique, les enjeux d'héritage et d'inégalités, et une réflexion sur les dérives de l'eugénisme et des idéologies contemporaines dans le secteur technologique.

May 31, 2025 • 10min
Bernadette Moreau - Insultes, rixes: ce volant qui nous rend fous!
Bernadette Moreau, déléguée générale de la Fondation Vinci Autoroutes, présente les résultats du baromètre de la conduite responsable. Elle révèle qu'une majorité de conducteurs admet des comportements agressifs, dont 63 % ont insulté d'autres automobilistes. Le smartphone reste un fléau sur la route, avec 61 % des conducteurs qui téléphonent en conduisant. Bien que des progrès soient notés, des défis subsistent, notamment dans la cohabitation entre automobilistes, cyclistes et piétons en milieu urbain.

May 30, 2025 • 7min
"Trump se dégonfle toujours": la blague qui énerve la maison blanche - Vos questions sms -
C dans l’air du 30 mai 2025 : Guerre commerciale : et si les juges bloquaient TrumpLES EXPERTS :- LAURIC HENNETON - Historien, spécialiste des États-Unis, maître de conférences à l’Université Versailles-Saint Quentin - PIERRE HASKI - Chroniqueur international - France Inter et Le Nouvel Obs - MARIE-CÉCILE NAVES - Politologue, directrice de recherche - IRIS, spécialiste des États-Unis- ANNE TOULOUSE - Journaliste franco-américaine, auteure de L’art de trumper🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

May 30, 2025 • 1h 4min
"Trump se dégonfle toujours": la blague qui énerve la maison blanche - L'intégrale -
C dans l’air du 30 mai 2025 : Guerre commerciale : et si les juges bloquaient TrumpUn nouveau camouflet judiciaire pour Donald Trump. Mercredi, un tribunal américain a suspendu la plupart des droits de douane instaurés par le milliardaire républicain depuis son retour à la Maison-Blanche : les 10 % imposés sur tous les produits entrant sur le sol américain mais aussi ceux plus importants imposés au Mexique, au Canada et à la Chine. Une décision qui touche en plein cœur l’un des chevaux de bataille du président américain : la guerre commerciale.Les juges de l’ITC (International Trade Commission) ont estimé que Donald Trump avait outrepassé ses pouvoirs en appliquant des surtaxes non ciblées, une prérogative qui revient normalement au Congrès. "Cela constituerait un renoncement du pouvoir législatif au profit d’une autre branche du gouvernement", ont écrit les magistrats dans leur décision. Une violation de la Constitution américaine, selon eux.De quoi déclencher la fureur de la Maison-Blanche. Donald Trump a conspué une décision "horrible", à l’initiative, selon lui, de "juges gauchistes" non élus. Dans la foulée, le gouvernement a déposé une requête, annonçant être prêt à se tourner vers la Cour suprême pour obtenir, dès vendredi, la levée de cette suspension temporaire. Mais une cour d’appel a accédé à sa demande jeudi, le temps de se prononcer sur le fond.Ce nouvel épisode judiciaire illustre la guerre menée par Donald Trump contre les pouvoirs législatif et judiciaire. Une bataille dans les tribunaux qui touche au fondement même de la démocratie américaine et de l’État de droit. Vigies de la Constitution, les juges fédéraux tentent de faire respecter l’équilibre des pouvoirs, alors que, des droits de douane à l’immigration, le milliardaire ne cesse d’enfreindre le périmètre qui revient normalement aux élus du Congrès et d’attaquer tous les contre-pouvoirs. Parmi eux se trouvent également les médias, les facultés — en particulier la prestigieuse université de Harvard — et les organes de recherche. Depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, les purges se multiplient : des départements sont supprimés, des postdoctorants sont éjectés, des pontes envoyés en retraite anticipée… et de nombreux chercheurs vivent désormais dans l’angoisse et l’incertitude. Certains font le choix de rejoindre la France, qui se pose en terre d’accueil pour les scientifiques en exil. Nous avons rencontré des chercheurs qui ont quitté les États-Unis pour venir travailler à Aix-en-Provence.LES EXPERTS :- LAURIC HENNETON - Historien, spécialiste des États-Unis, maître de conférences à l’Université Versailles-Saint Quentin - PIERRE HASKI - Chroniqueur international - France Inter et Le Nouvel Obs - MARIE-CÉCILE NAVES - Politologue, directrice de recherche - IRIS, spécialiste des États-Unis- ANNE TOULOUSE - Journaliste franco-américaine, auteure de L’art de trumper🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

May 29, 2025 • 7min
ZFE, A69, pesticides : l’écologie, c’est fini ? - Vos questions sms -
C dans l’air du 29 mai 2025 : ZFE, A69, pesticides : l’écologie, c’est fini ?Les députés ont voté mercredi soir la suppression des zones à faibles émissions (ZFE), ces périmètres mis en place pour interdire l’accès aux véhicules les plus polluants dans les centres-villes. Cet amendement, porté par les groupes Les Républicains (LR) et le Rassemblement national (RN), a été soutenu par les insoumis et certains députés macronistes.En ligne de mire : l’impact social des ZFE, accusées de pénaliser les ménages modestes, qui n’ont pas les moyens d’acheter un véhicule moins polluant. Malgré les alertes des défenseurs de la santé publique, le texte a été adopté, au grand dam des partisans du dispositif, qui dénoncent un vote " grave" aux "lourdes conséquences sanitaires" à quelques mois des élections municipales. Ils regrettent également l’absence d’un accompagnement du dispositif pour permettre la transition (aide aux plus modestes, dérogations).Présentes dans une quarantaine d’agglomérations, les ZFE ont été lancées en 2019 pour limiter les émissions de particules fines, responsables de maladies respiratoires et de 40 000 décès par an selon Santé publique France. Mais leur mise en œuvre a varié d’un territoire à l’autre, créant confusion et tensions. Ces derniers mois, les contestations locales s’étaient multipliées.Ce vote ne signifie toutefois pas la fin immédiate des ZFE. Le projet de loi de "simplification", auquel est rattaché cet amendement, doit encore être adopté dans son ensemble. Il passera ensuite en commission mixte paritaire. Le Conseil constitutionnel pourrait également censurer cette mesure, jugée trop éloignée de l’objet initial du texte.Autre dossier brûlant : l'autoroute A69, entre Toulouse et Castres. Mercredi, la cour administrative de Toulouse a autorisé la reprise du chantier, stoppé depuis février. Elle a répondu favorablement à un recours en urgence déposé par l’État, malgré l’absence de "raison impérative d’intérêt public majeur" invoquée par la justice pour suspendre les travaux en février dernier.Le fond du dossier sera examiné lors d’un procès en appel prévu dans plusieurs mois. Mais les opposants craignent que les travaux soient terminés avant. Ils dénoncent un passage en force et prévoient de nouvelles mobilisations, alors qu’un texte controversé, reconnaissant un "intérêt public majeur" au projet, doit être examiné la semaine prochaine à l’Assemblée nationale, après son adoption par le Sénat.La suppression des ZFE et la relance de l’A69 s’inscrivent dans un contexte plus large de remises en cause des politiques environnementales. Ces derniers jours, les parlementaires ont aussi voté des mesures détricotant le principe de "zéro artificialisation nette", qui vise à lutter contre la bétonisation des sols, ou encore décidé de réintroduire un pesticide jusqu’alors interdit.Face à cette dynamique, de nombreuses voix s’élèvent. François Gemenne, professeur à HEC, membre du GIEC et spécialiste des migrations climatiques, alerte depuis plusieurs mois sur la montée d’un "populisme anti-écolo" en France et en Europe. Il déplore une tendance à faire de l’écologie un bouc émissaire et appelle à un changement de ton chez les écologistes eux-mêmes. Selon lui, leur discours moralisateur aurait contribué à braquer une partie de l’opinion publique.LES EXPERTS :- Soazig QUÉMÉNER, rédactrice en chef - La Tribune Dimanche - Nathalie SAINT-CRICQ, éditorialiste politique - France Télévisions - Frédéric DENHEZ, journaliste spécialiste des questions environnementales - Marianne - Caroline BRUNEAU, journaliste Industrie - Aerospatium 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

May 29, 2025 • 1h 4min
ZFE, A69, pesticides : l’écologie, c’est fini ? - L'intégrale -
C dans l’air du 29 mai 2025 : ZFE, A69, pesticides : l’écologie, c’est fini ?Les députés ont voté mercredi soir la suppression des zones à faibles émissions (ZFE), ces périmètres mis en place pour interdire l’accès aux véhicules les plus polluants dans les centres-villes. Cet amendement, porté par les groupes Les Républicains (LR) et le Rassemblement national (RN), a été soutenu par les insoumis et certains députés macronistes.En ligne de mire : l’impact social des ZFE, accusées de pénaliser les ménages modestes, qui n’ont pas les moyens d’acheter un véhicule moins polluant. Malgré les alertes des défenseurs de la santé publique, le texte a été adopté, au grand dam des partisans du dispositif, qui dénoncent un vote " grave" aux "lourdes conséquences sanitaires" à quelques mois des élections municipales. Ils regrettent également l’absence d’un accompagnement du dispositif pour permettre la transition (aide aux plus modestes, dérogations).Présentes dans une quarantaine d’agglomérations, les ZFE ont été lancées en 2019 pour limiter les émissions de particules fines, responsables de maladies respiratoires et de 40 000 décès par an selon Santé publique France. Mais leur mise en œuvre a varié d’un territoire à l’autre, créant confusion et tensions. Ces derniers mois, les contestations locales s’étaient multipliées.Ce vote ne signifie toutefois pas la fin immédiate des ZFE. Le projet de loi de "simplification", auquel est rattaché cet amendement, doit encore être adopté dans son ensemble. Il passera ensuite en commission mixte paritaire. Le Conseil constitutionnel pourrait également censurer cette mesure, jugée trop éloignée de l’objet initial du texte.Autre dossier brûlant : l'autoroute A69, entre Toulouse et Castres. Mercredi, la cour administrative de Toulouse a autorisé la reprise du chantier, stoppé depuis février. Elle a répondu favorablement à un recours en urgence déposé par l’État, malgré l’absence de "raison impérative d’intérêt public majeur" invoquée par la justice pour suspendre les travaux en février dernier.Le fond du dossier sera examiné lors d’un procès en appel prévu dans plusieurs mois. Mais les opposants craignent que les travaux soient terminés avant. Ils dénoncent un passage en force et prévoient de nouvelles mobilisations, alors qu’un texte controversé, reconnaissant un "intérêt public majeur" au projet, doit être examiné la semaine prochaine à l’Assemblée nationale, après son adoption par le Sénat.La suppression des ZFE et la relance de l’A69 s’inscrivent dans un contexte plus large de remises en cause des politiques environnementales. Ces derniers jours, les parlementaires ont aussi voté des mesures détricotant le principe de "zéro artificialisation nette", qui vise à lutter contre la bétonisation des sols, ou encore décidé de réintroduire un pesticide jusqu’alors interdit.Face à cette dynamique, de nombreuses voix s’élèvent. François Gemenne, professeur à HEC, membre du GIEC et spécialiste des migrations climatiques, alerte depuis plusieurs mois sur la montée d’un "populisme anti-écolo" en France et en Europe. Il déplore une tendance à faire de l’écologie un bouc émissaire et appelle à un changement de ton chez les écologistes eux-mêmes. Selon lui, leur discours moralisateur aurait contribué à braquer une partie de l’opinion publique.LES EXPERTS :- Soazig QUÉMÉNER, rédactrice en chef - La Tribune Dimanche - Nathalie SAINT-CRICQ, éditorialiste politique - France Télévisions - Frédéric DENHEZ, journaliste spécialiste des questions environnementales - Marianne - Caroline BRUNEAU, journaliste Industrie - Aerospatium 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

May 29, 2025 • 10min
Thibaut Martinez-Delcayrou - Arnaque aux faux conseillers bancaires: l'épidémie
C dans l’air l’invité du 29 mai 2025 avec Thibaut Martinez-Delcayrou, journaliste et auteur de l'enquête Les Caméléons,enquête sur l'arnaque aux faux conseillers bancaires, publié aux éditions Flammarion. Dans cet ouvrage, il raconte les dessous d’une arnaque qui a déjà fait plus d’un million de victimes en France. 29 décembre 2023. Thibaut Martinez-Delcayrou, journaliste, reçoit un coup de téléphone. Au bout du fil, un certain "Dominique Bertrand", agent du "service des fraudes" de la Caisse d'Epargne. Il lui annonce que deux paiements frauduleux ont été détectés sur son compte. C'est là que débute une arnaque dont il est la victime : ça n'est pas "Dominique Bertrand de la Caisse d'Epargne" au téléphone, mais bien un escroc qui va lui voler toutes ses économies. De cette mésaventure, il a fait un livre, une enquête fouillée sur une escroquerie qui a coûté un milliard d'euros aux Français depuis 2021 : l'arnaque aux faux conseillers bancaires. Des voleurs qui connaissent tout de leurs victimes, et abusent de leur confiance, pour vider leurs comptes. Un système bien rôdé, qui n'épargne personne.Thibaut Martinez-Delcayrou, journaliste et auteur de "Les Caméléons, Enquête sur l'arnaque aux faux conseillers bancaires", nous racontera comment se déroule une telle arnaque, et quels sont les ressorts qui permettent de déjouer la vigilance des victimes. Il nous racontera le sentiment de culpabilité qu'on peut ressentir lorsqu'on se fait escroquer. Il décrira aussi l'ampleur du phénomène, et nous dira comment on peut repérer les appels frauduleux.🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

May 29, 2025 • 10min
Aude Bariéty de Lagarde - Le Scouarnec: 298 victimes, 20 ans de prison
C dans l’air l’invitée du 28 mai 2025 avec Aude Bariéty de Lagarde, grand reporter au Figaro, et auteure de "L'affaire Daval", et de "Nordahl Lelandais, du procès Noyer au procès Maëlys", aux éditions du Rocher.Aude Bariéty de Lagarde a suivi le procès Le Scouarnec, dont verdict a été rendu cet après-midi à la cour criminelle de Vannes dans le Morbihan. L'ex-chirurgien pédocriminel a été condamné à 20 ans de réclusion, dont deux tiers de peine de sûreté pour viols et agressions sexuelles.Cet homme aujourd'hui âgé de 74 ans, qualifié de "diable" par l'avocat général, est accusé d'avoir commis des viols et agressions sexuelles sur 299 personnes, dont une large majorité de patients mineurs au moment des faits, de 1989 à 2014. Il a reconnu l'ensemble des faits, endossant également la responsabilité pour la mort de deux victimes, l'une par overdose et l'autre par suicide. "À la cour, je ne sollicite aucune mansuétude. Accordez-moi simplement le droit de devenir meilleur et de reconquérir cette part d'humanité qui m'a tellement fait défaut", a demandé l'accusé, invité lundi une dernière fois à prendre la parole au terme de ce procès débuté le 24 février.Aude Bariéty de Lagarde, grand reporter au Figaro, qui a suivi le procès, reviendra avec nous sur la plus grande affaire de pédocriminalité en France. Elle nous donnera aussi son sentiment sur la portée de celui-ci. Alors que les victimes ont manifesté leur crainte d'être invisibilisées, cette affaire hors normes fera-t-elle avancer les droits des enfants, et prendre conscience de l'ampleur des faits de pédocriminalité ? 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

May 28, 2025 • 5min
Trump menace... Poutine "joue avec le feu" - Vos questions sms -
C dans l’air du 28 mai 2025 : Trump menace... Poutine "joue avec le feu"LES EXPERTS :- Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l’ONU, auteur de D’un monde à l’autre - Marion VAN RENTERGHEM - Grand reporter, chroniqueuse - L’Express, auteure de Le piège Nord Stream- Marie JEGO - Journaliste spécialiste de la Russie - Le Monde - Daphné BENOIT - Cheffe du pôle international – AFP 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

May 28, 2025 • 1h 4min
Trump menace... Poutine "joue avec le feu" - L'intégrale -
C dans l’air du 28 mai 2025 : Trump menace... Poutine "joue avec le feu"Alors que la Russie a indiqué avoir abattu 300 drones qui se dirigeaient cette nuit vers Moscou, le président ukrainien est ce mercredi en déplacement à Berlin. Dans la capitale allemande, Volodymyr Zelensky rencontre le nouveau chancelier, Friedrich Merz (CDU), qui vient d’annoncer que son gouvernement levait toute "limitation de la portée des armes livrées". "Cela signifie que l’Ukraine peut désormais se défendre, par exemple en attaquant des positions militaires en Russie, (…) ce qu’elle ne faisait pas il y a peu, à des exceptions près. Elle peut le faire maintenant", a expliqué lundi le dirigeant allemand sur la chaîne de télévision publique WDR.Jusqu'alors, l'Allemagne avait seulement donné des armes d'une portée supérieure à 70 kilomètres. Certains s'interrogent désormais sur les missiles longue portée Taurus, d'une portée de plus de 500 kilomètres. Friedrich Merz s'était dit favorable à leur mise à disposition de l'Ukraine avant sa prise de fonctions. Depuis, l’Allemagne ne détaille plus la liste des armes envoyées à Kiev.Moscou a immédiatement dénoncé une "décision assez dangereuse" qui va "absolument à l'encontre de nos aspirations à entrer dans un règlement politique".Cette déclaration de l’Allemagne survient alors l'Ukraine subit depuis plusieurs jours des attaques massives de drones et que des mouvements de troupes russes ont été observés dans la région de Soumy et en Biélorussie. Plus encore, le chancelier allemand a indiqué que sa décision s'inscrivait dans un contexte où, d'après lui, le maître du Kremlin considérerait les discussions pour aboutir à un cessez-le-feu comme une "faiblesse".Une attitude de la Russie qui commence également à agacer Donald Trump. Hier, sur son réseau Truth Social, le président américain a laissé éclater sa colère contre son homologue russe : "Ce que Vladimir Poutine ne réalise pas c’est que sans moi, la Russie subirait beaucoup de très mauvaises choses, et je veux dire, TRES MAUVAISES. Il joue avec le feu !", a écrit Donald Trump. Ce message arrive après celui posté dimanche dans lequel il estimait que le dirigeant russe était "devenu complètement fou !". Depuis son retour au pouvoir, le milliardaire républicain misait plutôt sur un rapprochement avec le maître du Kremlin, avec lequel il se flattait jusqu’ici d’avoir une relation privilégiée, pour mettre fin au conflit. Désormais, Donald Trump menace la Russie de sanctions. Mais ira-t-il au-delà des mots ? L’Allemagne a décidé d’armer l’Ukraine pour frapper loin. Qu’est-ce ça change ? Est-ce un tournant dans la guerre en Ukraine ? Cyberattaques, ingérences et sabotage…Le Kremlin mène des opérations discrètes, et parfois low-cost, afin de faire payer le prix fort aux alliés de l’Ukraine. Comment la France se protège-t-elle face à cette guerre hybride russe ? Enfin quelle est la situation à Gaza ? LES EXPERTS :- Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l’ONU, auteur de D’un monde à l’autre - Marion VAN RENTERGHEM - Grand reporter, chroniqueuse - L’Express, auteure de Le piège Nord Stream- Marie JEGO - Journaliste spécialiste de la Russie - Le Monde - Daphné BENOIT - Cheffe du pôle international – AFP PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L’AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.