La dernière

Juliette, Guillaume et Pierre-Emmanuel répondent aux questions déjantées des auditeurs. Les déguisements d'Halloween prennent une tournure satirique, avec des suggestions audacieuses sur les costumes d'extrême droite. Ils discutent des rituels matinaux en entreprise, oscillant entre ironie et conseils pragmatiques. Juliette partage ses souvenirs hilarants de Fort Boyard. Guillaume, quant à lui, fait pleuvoir des recommandations humoristiques pour éveiller une conscience politique chez les bébés. La bonne humeur et l'esprit critique sont au rendez-vous!

Eugénie Mériot, maîtresse de conférences en droit public et constitutionnaliste, discute de la crise de la Ve République et des origines autoritaires de son régime. Elle explore les alternatives à la démocratie représentative et les enjeux de la révision constitutionnelle. En évoquant l'expérience chilienne et sa chanson engagée, elle mêle politique et art. La conversation aborde également les défis du Conseil constitutionnel et la dépossession progressive du Parlement, tout en réfléchissant à l'avenir de la République.

Alice de Rochechouart aborde la mythologie des Français·es ingouvernables avec ironie. Elle questionne le manque de gouvernance actuelle et critique les nominations politiques. En analysant les luttes sociales et la dépolitisation par l'entreprise, elle met en lumière la transformation des citoyens en consommateurs. La chronique évoque aussi le 49-3 comme une menace, ainsi que la répression des contestations. Alice appelle à une résistance active pour maintenir le rapport de force contre le pouvoir.

Aymeric Lompret dévoile des facettes surprenantes d'Eugénie Mérieau, notamment sa passion pour la taxidermie, découverte en plein confinement. Entre humorisme et absurdité, ils explorent ce qui peut être empaillé, comme une méduse ! Eugénie revient sur une première exposition à Ivry, à l'accueil mitigé, et son rebond créatif sur Instagram avec Taxidermy1098. Le ton provocateur de ses déclarations dans la presse ajoute une touche piquante, tandis qu'une nouvelle exposition est annoncée : "J'ai sauvé la paille, ne me remerciez pas".

Laurène Marx présente un ton provocateur tout en taquinant le public et le plateau. Elle utilise un humour transgressif pour aborder les transidentités, tout en critiquant la programmation des humoristes sur France Inter. La chronique est ponctuée de moqueries envers des figures médiatiques telles que David Castello-Lopez et Sophia Aram. Laurène réfléchit à la visibilité trans et aux enjeux politiques liés à l'humour contemporain, soulignant l'importance de la représentation. Un mélange d'ironie et de réflexions percutantes, finalement.

Juliette Arnaud explore la puissance et les limites du langage dans notre société. Elle partage des témoignages poignants, notamment d'un habitant de Gaza sur l'horreur ducoup qu’il ne peut exprimer. En lisant des poèmes révélateurs, elle aborde la pénurie de mots dans le dictionnaire gazawi. La résistance passive de Bartleby et son impact sur le narrateur sont aussi examinés, tout comme le lien entre le manque de mots et les cicatrices dans la série Sharp Objects. Enfin, l'épitaphe imaginaire soulève des réflexions profondes sur mémoire et violence.

Audrey Vernon présente son nouveau spectacle avec humour sur les milliardaires. Elle se moque de leur richesse et critique les marges de Bernard Arnault, comparant sa fortune à un vomissement de richesse. L'affaire Arnault contre l'économiste Zucman est au cœur de la conversation, où elle ironise sur l'opposition à la taxe Zucman. Elle relie la production de parfums aux ressources pétrolières et dénonce les conflits d'intérêts médiatiques. Finalement, elle appelle à la honte et à une redistribution responsable des richesses.

Aymeric Lompret se lance dans une chronique décalée pleine d'humour. Il évoque avec légèreté l'actualité, tout en partageant des réflexions sur la difficulté de suivre les nouvelles. Son imitation ch'ti de François Hollande et l'histoire cocasse d'une visite amoureuse à scooter sont particulièrement savoureuses. En fin de parcours, il promet de revenir la semaine prochaine, tout en s'excusant pour ces anecdotes. Un moment de comédie politique à ne pas manquer!

Pierre-Emmanuel Barré ouvre avec humorisme, partageant une victoire triviale sur un morceau de fenouil. Il interroge la reconnaissance tardive de la Palestine par la France, critiquant le discours d'Emmanuel Macron à l'ONU. Barré dénonce l'écart entre les promesses politiques et la réalité des relations de la France avec Israël. Avec un mélange d'humour et de sérieux, il souligne les incohérences des discours et des actions gouvernementales, livrant une chronique percutante et engagée.

Emmanuel Macron a reconnu l'état de Palestine, créant un tollé sur les plateaux télé. Anne Hidalgo illumine la tour Eiffel de drapeaux israélien et palestinien, un geste lourd de symboles. Le présentateur ironise sur les peurs démographiques et la soi-disant conquête musulmane, tout en se moquant des pratiques chez Renault. La discussion dérape vers le profilage des musulmans dans les aéroports, avant de critiquer, avec humour, les propositions de référendum sur l'immigration, tout en évoquant leur incompatibilité constitutionnelle.