durée : 00:59:04 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Initiée en 1984 par le dirigeant libyen, la Grande rivière artificielle devait "faire fleurir le désert" et approvisionner les villes en eau. Depuis la chute du régime en 2011, cette infrastructure, terminée à 60%, est régulièrement la cible de milices qui s'en servent comme moyen de pression. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Virginie Collombier Professeure à l’université Luiss Guido Carli de Rome; Sébastien Palluault géographe, il a fait sa thèse sur le développement de l'irrigation dans la Jeffara tuniso-libyenne ; Aude-Nuscia Taïbi Professeure de géographie à l’université d’Angers, membre du laboratoire Espaces et Sociétés (ESO) du CNRS, membre senior de l'Institut universitaire de France