La guerre, une marchandise à exploiter

La guerre est souvent perçue comme une activité motivée par des intérêts stratégiques et financiers, plutôt que par des décisions populaires. Les États utilisent des armes de façon cynique, allant jusqu'à déployer des dispositifs destructeurs massifs sans rendre compte des conséquences. Les conflits, comme ceux entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan, sont orchestrés par des dirigeants dont les motivations sont éloignées des réalités humaines. Les paradoxes se multiplient, comme le fait que des nations en lutte pour leur survie, comme l'Ukraine, participent en même temps à la vente d'armements à des pays en conflit. Cela soulève des questions éthiques et met en lumière l'indifférence générale face à une dynamique guerrière perçue comme une marchandise.