Le monde devant soi

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Mar 15, 2024 • 32min

Pourquoi Emmanuel Macron durcit le ton face à Vladimir Poutine

«Une guerre existentielle, pour la France, et pour l'Europe», une guerre que «la Russie ne peut pas et ne doit pas gagner». Ce jeudi 14 mars, le président français Emmanuel Macron a précisé ses intentions quant à l'implication de Paris dans la guerre menée par Moscou en Ukraine. Celui qui en 2022 appelait à «ne pas humilier la Russie» semble avoir tourné casaque et l'assure: pour que la paix règne, il ne faut pas faiblir face à Vladimir Poutine.Quand, dans l'opposition, on accuse le président français de choisir une posture guerrière à des fins électoralistes en vue des européennes de juin prochain, celui-ci cite Churchill: «Aujourd'hui, il faut le nerf de la paix.» Il ajoute que la «sécurité de l'Europe» et celle des Français se joue «là-bas» et enfin, que la paix, ce n'est ni la capitulation ni l'amputation de l'Ukraine. Rien n'est à exclure, donc, pour protéger l'Ukraine –en tout cas pour l'exécutif.Car deux jours auparavant, un Parlement divisé se prononçait en faveur des accords bilatéraux de sécurité avec Kiev lors d'un vote non contraignant. 372 voix pour, 99 contre –La France insoumise, communistes et un écologiste– et 101 abstentions, dont la majorité furent le fait du Rassemblent national. Des lignes de fracture qui ne font que confirmer le clivage politique par rapport à Moscou, et les penchants pro-russes de l'extrême droite et de l'extrême gauche.Comment expliquer cette volte-face présidentielle? D'où vient cette indulgence d'une partie de la classe politique française à l'endroit de Vladimir Poutine? On en parle aujourd'hui avec Elsa Vidal, rédactrice en chef de la rédaction en langue russe de RFI et autrice de l'essai La Fascination russe (Robert Laffont).Le monde devant soi est un podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron, avec Jean-Marie Colombani, directeur de la publication de Slate.fr, et Alain Frachon, éditorialiste au Monde spécialisé dans les questions internationales.Direction et production éditoriale: Christophe CarronPrise de son, montage et réalisation: Aurélie RodriguesPrésentation: Christophe CarronMusique: «Sinister», Anno Domini BeatsSi vous aimez Le monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur votre plateforme de podcast préférée, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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Mar 12, 2024 • 15min

[Hors-série] En Inde, planter des arbres pour améliorer la vie des jeunes filles

À Piplantri, petit village de l'État du Rajasthan, dans le nord-ouest de l'Inde, il existe une étonnante tradition. À chaque naissance de fille, 111 arbres sont plantés. En parallèle, de l'argent est versé sur un compte bancaire qui ne peut être débloqué qu'aux 18 ans de la nouvelle venue au monde et uniquement si ses parents ne l'ont pas mariée entre-temps.Il y a quelques années, naître puis grandir en étant une fille dans cet État, l'un des pires du pays pour les femmes et l'un de ceux au taux de fœticides féminins parmi les plus élevés au monde, était presque contre-nature. Les laisser aller à l'école n'était même pas envisagé. L'idée de l'ancien chef du village Shyam Sundar Paliwal de planter des arbres aux naissances des filles a révolutionné les choses.Dans ce sixième épisode du Chemin des écolières, vous entendrez Shyam Sundar Paliwal, Perm, la mère d'une bénéficiaire, Castelli, une enseignante, Kala Paliwal, la fille de Shyam, et Priya, une adolescente du village.Le Chemin des écolières est un podcast Slate Podcasts, dont une version écrite accompagnée de photographies réalisées par Robin Tutenges est disponible sur le site de Slate.fr.L'ensemble de ce projet a reçu le financement du Centre européen du journalisme, par l'intermédiaire de l'accélérateur de journalisme de solutions. Ce financement est soutenu par la Fondation Bill & Melinda Gates.Direction éditoriale: Christophe CarronProduction éditoriale, écriture et présentation: Nina ParejaReportages, interviews et prise de son: Robin TutengesMontage et réalisation: Aurélie Rodrigues Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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Mar 8, 2024 • 30min

Gaza, Trump, avortement: Joe Biden passe à l'attaque

C'est un discours sur l'État de l'union offensif, quasiment une allocution d'entrée en campagne, que Joe Biden a prononcé ce jeudi 7 mars devant le Congrès américain.Normalement prévu pour présenter le programme de l'année aux élus des deux camps politiques, il fut l'occasion pour Joe Biden de faire mentir celles et ceux qui s'inquiètent de sa capacité à enchaîner un second mandat, et de dresser le bilan de sa politique.Il faut dire que sur le plan économique, le bilan est bon, avec une inflation maîtrisée, un chômage bas et une augmentation des salaires réels. Mais un bon bilan ne suffit pas forcément à gagner une élection, surtout quand on se présente face à un Donald Trump aussi peu soucieux des faits que de la vérité.Ainsi, Joe Biden s'est montré particulièrement combatif à l'encore de Trump et de ses partisans, soulignant son attitude envers Vladimir Poutine, son âge, pas si éloigné du sien (77 ans pour Trump, 81 pour Biden), et les dangers qu'il fait peser sur la démocratie. L'actuel président l'a compris, il y a un espace à occuper dans le marché des idées. 2024 sera la campagne de la défense des libertés civiques et, surtout, du droit à l'avortement remis en cause par la Cour suprême, sans ignorer la question de l'immigration, ciment du camp républicain. Sur le plan international, Biden a réaffirmé son soutien à l'Ukraine tout en prenant ses distances avec le président français Emmanuel Macron, et a envoyé des signaux en faveur de Gaza.Le monde devant soi est un podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron, avec Jean-Marie Colombani, directeur de la publication de Slate.fr, et Alain Frachon, éditorialiste au Monde spécialisé dans les questions internationales.Direction et production éditoriale: Christophe CarronPrise de son, montage et réalisation: Aurélie RodriguesPrésentation: Christophe CarronMusique: «Sinister», Anno Domini BeatsSi vous aimez Le monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur votre plateforme de podcast préférée, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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Mar 1, 2024 • 23min

Troupes au sol en Ukraine: Emmanuel Macron est-il allé trop loin?

«Nous ferons tout ce qu'il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner cette guerre.» Tout, même envoyer des troupes occidentale sur le sol ukrainien? C'est ce que semblait dire le président français Emmanuel Macron durant une conférence internationale visant à renforcer le soutien occidental à l'Ukraine, à l'Élysée, ce lundi 26 février. Une piste confirmée le lendemain par Paris, qui avance vouloir établir «une ambiguïté stratégique» face à la Russie, sans toutefois qu'on ne comprenne bien la position de la France.Mais plus qu'une ambiguïté stratégique, c'est toute l'ambiguïté des alliés de l'Ukraine qui s'est révélée dans le camp occidental. D'un côté, États-Unis, Allemagne, Finlande ont manifesté leur opposition à une telle initiative, tout comme le groupe de Visegrád –Hongrie, Pologne, Tchéquie et Slovaquie–, quand les États baltes s'y sont montrés favorables.Ce jeudi 29 février, quand Emmanuel Macron assurait que «chacun des mots que je prononce sur cette matière est pesé, pensé et mesuré, ce sont des sujets suffisamment graves», Vladimir Poutine brandissait la menace du recours à l'arme nucléaire lors de son discours annuel à la nation: «Les conséquences de l'envoi en Ukraine des contingents militaires occidentaux seraient vraiment plus tragiques… Nous aussi avons des armes capables d'atteindre des cibles sur leur territoire. Tout ce qu'ils inventent en ce moment, en plus d'effrayer le monde entier, est une menace réelle de conflit avec utilisation de l'arme nucléaire et donc de destruction de la civilisation.»Le monde devant soi est un podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron, avec Jean-Marie Colombani, directeur de la publication de Slate.fr, et Alain Frachon, éditorialiste au Monde spécialisé dans les questions internationales.Direction et production éditoriale: Christophe CarronPrise de son, montage et réalisation: Aurélie RodriguesPrésentation: Christophe CarronMusique: «Sinister», Anno Domini BeatsSi vous aimez Le monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur votre plateforme de podcast préférée, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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Feb 23, 2024 • 31min

Il y a deux ans, la Russie envahissait l'Ukraine

Dans la nuit du 23 au 24 février 2022, la Russie envahissait l'Ukraine. Après un discours de Vladimir Poutine justifiant son «opération spéciale» pour «démilitariser» Kiev, des colonnes de blindés se sont introduites dans l'est du pays, quand le reste du territoire se réveillait au son des frappes aériennes.Cela faisait des semaines que les services occidentaux regardaient avec une certaine inquiétude le Kremlin amasser des troupes à la frontière qui le sépare de son voisin. Mais peu osaient croire au retour de la guerre sur le sol européen, peu pensaient l'impensable possible.Si, huit ans auparavant, lors de l'annexion de la Crimée, en 2014, l'Occident semblait indifférent au sort de la péninsule ukrainienne, cette fois, la réaction des chancelleries fut immédiate. Et après les condamnations internationales vint le temps de la mobilisation des États-Unis, de l'Union européenne et du Royaume-Uni.Cette invasion, que Vladimir Poutine voulait éclair, est devenue une guerre d'usure: soutenu tant bien que mal par ses alliés, le pays résiste. Voilà près d'un an que la ligne de front ne bouge plus vraiment, une ligne qui ampute l'Ukraine de près de 20% de son territoire, à l'est et au sud.Combien de temps l'Ukraine pourra-t-elle encore résister à l'agression de son voisin? Tout dépend sans doute du support des pays occidentaux.Ce lundi 26 février, le président français Emmanuel Macron invite à Paris «plusieurs chefs d'État et de gouvernement ou leurs représentants ministériels, à l'occasion d'une réunion de soutien à Kiev». Une réunion qui, selon l'Élysée, «permettra d'étudier les moyens disponibles pour renforcer la coopération des partenaires en soutien à l'Ukraine».L'occasion pour l'Europe de se mettre d'accord afin de prendre le relais des États-Unis, dont le soutien capital pour Kiev devient de plus en plus incertain.Le monde devant soi est un podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron, avec Jean-Marie Colombani, directeur de la publication de Slate.fr, et Alain Frachon, éditorialiste au Monde spécialisé dans les questions internationales.Direction et production éditoriale: Christophe CarronPrise de son, montage et réalisation: Aurélie RodriguesPrésentation: Christophe CarronMusique: «Sinister», Anno Domini BeatsSi vous aimez Le monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur votre plateforme de podcast préférée, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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Feb 22, 2024 • 24min

[Hors-série] «Les poisons de Poutine»: La menace

Peu avant son incarcération pour 19 ans de prison, l’opposant russe Alexeï Navalny, décédé le 16 février 2024, a été victime d’une tentative d’assassinat par empoisonnement : le 20 août 2020, dans l’avion qui le ramène à Moscou, Navalny se sent mal. Évacué à temps dans un hopital berlinois après avoir été placé dans le coma, il survit aux effets de l’agent neurotoxique de type novitchok qui lui a été administré. Si tous les regards se tournent vers Moscou, la Russie nie toute implication. Quand bien même le poison est une arme stratégique et diplomatique largement utilisé par le Kremlin, comme le montre la passionnante série documentaire Les poisons de Poutine.D’Alexeï Navalny à Vladimir Kara-Murza, d’Alexander Litvinenko à Sergueï Skripal, chaque empoisonnement éclaire les dessous d’une partie d’échecs et d’une volonté expansionniste, axe de la dérive qui a conduit à l’invasion de l’Ukraine.En 6 épisodes, la documentariste Jennifer Deschamps s’appuie sur le témoignage de victimes directes, de juges, d’enquêteurs, comme l’ex-directeur de la CIA Leon Panetta et de journalistes, pour retracer méthodiquement la mise en place d’un régime mafieux et autoritaire, qui mène de front répression intérieure et agression extérieure.Nous vous proposons d’écouter le premier épisode de la série, Les Poisons de Poutine, un podcast Docurama co-produit par Initial Studio et Little Big Story Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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Feb 20, 2024 • 13min

[Hors-série] L'intégralité de l'interrogatoire de Missak Manouchian par la police française en 1943

À l'occasion de son entrée au Panthéon aux côtés de sa femme Mélinée, ce mercredi 21 février, nous diffusons l'intégralité de l'interrogatoire de Missak Manouchian. Le procès-verbal lu ici est conservé aux archives de la préfecture de police de Paris. Plusieurs copies existent, mais la version originale se trouve dans le dossier Medzadourian [cote GB 138]. Elle est présentée sans commentaire ni explication dans l'exposition «Des étrangers dans la résistance en France», visible au Mémorial de la Shoah à Paris jusqu'au 20 octobre 2024. Les mentions «S.I.» et «S.N.I.», que vous entendrez, correspondent à de nouvelles auditions, ajoutées au fur et à mesure de l'interrogatoire.Une version écrite, avec des précisions et commentaires ajoutés [entre crochets, en italique] par l'historien Sylvain Boulouque permet d'assurer une meilleure compréhension.Le monde devant soi est un podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron, avec Jean-Marie Colombani, directeur de la publication de Slate.fr, et Alain Frachon, éditorialiste au Monde spécialisé dans les questions internationales.Direction et production éditoriale: Christophe CarronPrise de son: Nina ParejaMontage et réalisation: Aurélie RodriguesLecture: Christophe CarronMusique: «Sinister», Anno Domini BeatsSi vous aimez Le monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur votre plateforme de podcast préférée, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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Feb 16, 2024 • 26min

Gaza: pourquoi Israël reste sourd aux appels de la communauté internationale

Après quatre mois de guerre intensive, Israël maintient sa pression meurtrière sur Gaza. Malgré l'insistance de la communauté internationale, Benyamin Netanyahou semble décidé à lancer une offensive à grande échelle sur Rafah, ville à la frontière de l'Égypte où sont réfugiés près d'un million et demi de Palestiniens.Ce jeudi 15 février, c'est l'hôpital Nasser, à Khan Younès, dans le sud de l'enclave, qui a été attaqué. Selon Tsahal, des activistes du Hamas y auraient trouvé refuge.Lundi 12 février, pourtant, Joe Biden assurait avancer dans les négociations «d'un accord sur les otages entre Israël et le Hamas, qui apporterait une période immédiate de paix et de calme à Gaza pendant au moins six semaines».Washington a donc de plus en plus de mal à se faire entendre par Tel-Aviv. Une impuissance qui jette une ombre sur l'avenir du candidat Joe Biden: son soutien à Israël lui vaut la désaffection de nombreuses communautés et le voit perdre en influence jusque dans les rangs démocrates. Et ce, en dépit des efforts de son administration pour travailler à un après-conflit avec, en ligne de mire, une solution à deux États. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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Feb 16, 2024 • 26min

Pourquoi Alexeï Navalny inquiète autant Vladimir Poutine (REDIFF)

À l'occasion de la disparition d'Alexeï Navalny ce 16 février 2024, nous vous proposons de réécouter cet épisode du Monde devant soi.------------Ce mardi, le nouveau président américain Joe Biden a appelé l'éternel (ou presque) président russe Vladimir Poutine. Un premier échange téléphonique dont la teneur a été publiée sur le site de la Maison-Blanche. Les deux hommes ont discuté de la prolongation du programme New Start, qui doit limiter le recours aux armes nucléaires, et ont évoqué plusieurs sujets qui fâchent. Parmi eux: le soutien de Washington à l'Ukraine, le cyberespionnage dont ont été victimes les États-Unis, le cas de l'Afghanistan, l'ingérence russe dans les élections américaines et du cas d'Alexeï Navalny, opposant numéro un, actuellement emprisonné après son retour en Russie, le 17 janvier dernier.Qui est Alexeï Navalny dont l'Occident demande la libération? Que penser de la répression des manifestations pro-Navalny en Russie? Biden a-t-il tenté de mettre la pression à Poutine? Quelles relations se profilent entre Washington et Moscou?Réponses dans Le monde devant soi, le podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron, avec Jean-Marie Colombani, directeur de la publication de Slate.fr, et Alain Frachon, éditorialiste au Monde spécialisé dans les questions internationales.Réalisation et montage: Aurélie RodriguesSi vous aimez Le monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram. Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez le Slate Podcast Club sur Facebook.Musique: «Believer (Saeptem LMDS MiniEdit)», Silent Partner Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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Feb 16, 2024 • 6min

Mort d'Alexeï Navalny, l'opposant qui effrayait Vladimir Poutine

C'est un communiqué des services pénitentiaires russes qui l'annonce: «Le 16 février 2024, dans le centre pénitentiaire n°3, le prisonnier Navalny A.A. s'est senti mal après une promenade […] Les causes de la mort sont en train d'être établies.»Alexeï Navalny, 47 ans, purgeait une peine de dix-neuf ans de prison pour «extrémisme». En décembre 2023, il avait été transféré dans une colonie pénitentiaire installée dans la région Arctique, où les conditions de vie sont particulièrement difficiles.Référence:Le monde devant soi, «Pourquoi Alexeï Navalny inquiète autant Vladimir Poutine»Le monde devant soi est un podcast hebdomadaire d'actualité internationale présenté par Christophe Carron, avec Jean-Marie Colombani, directeur de la publication de Slate.fr, et Alain Frachon, éditorialiste au Monde spécialisé dans les questions internationales.Direction et production éditoriale: Christophe CarronPrise de son, montage et réalisation: Aurélie RodriguesPrésentation: Christophe CarronMusique: «Sinister», Anno Domini BeatsSi vous aimez Le monde devant soi, pensez à l'exprimer en nous donnant la note maximale sur votre plateforme de podcast préférée, en en parlant autour de vous et en laissant vos commentaires sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.

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