Les rencontres de la MRL

MRL
undefined
Sep 29, 2021 • 19min

Mon Ami, le vieux, Les nouvelles choisies – Luis Sepúlveda

Livre audio Lu par Guillaume Pidancet Musique Michael Borcard Sortie le 16 septembre 2021 Avec ce deuxième livre audio, la MRL poursuit son hommage à l’immense écrivain Luis Sepúlveda, décédé le 16 avril 2020. Guillaume Pidancet lit un choix de nouvelles issues de Histoires d’ici et d’ailleurs, dans une atmosphère musicale signée par Michael Borcard. Après Le vieux qui lisait des romans d’amour, nous retrouvons ici des sujets de prédilection de Luis Sepúlveda. Entre contes, fictions et tranches vie autobiographiques, ces nouvelles nous transportent de l’Amérique latine à l’Europe. Elles nous immergent dans une réalité à la fois âpre, cruelle et tendre. Même quand tout va mal, on ne baisse pas les bras chez Sepúlveda. Sa force narrative et son art de raconter des histoires véhiculent des convictions et des engagements humains inaliénables chez cet écrivain qui a fui la dictature de Pinochet. Ces textes sont autant de déclarations d’amour à la vie et à la dignité, portées par la volonté de réenchanter notre époque. Les nouvelles choisies (Histoires d’ici et d’ailleurs, éd. Métailié 2011) : Plateforme Larsen B. La dure et tendre fragilité des héros Attaque à main bénite Mon ami, le vieux Observations sur l'intellectualité Le jour où Indiana Jones n'est pas arrivé à la gare Montparnasse Un chien nommé Edward A (ré)écouter : https://m-r-l.ch/archives/les-livres-audio-de-la-mrl-luis-seplveda Le vieil homme qui lisait des romans d’amour Voix Guillaume Pidancet Musique Michael Borcard
undefined
Sep 29, 2021 • 6min

Attaque à main bénite, Les nouvelles choisies – Luis Sepúlveda

Livre audio Lu par Guillaume Pidancet Musique Michael Borcard Sortie le 16 septembre 2021 Avec ce deuxième livre audio, la MRL poursuit son hommage à l’immense écrivain Luis Sepúlveda, décédé le 16 avril 2020. Guillaume Pidancet lit un choix de nouvelles issues de Histoires d’ici et d’ailleurs, dans une atmosphère musicale signée par Michael Borcard. Après Le vieux qui lisait des romans d’amour, nous retrouvons ici des sujets de prédilection de Luis Sepúlveda. Entre contes, fictions et tranches vie autobiographiques, ces nouvelles nous transportent de l’Amérique latine à l’Europe. Elles nous immergent dans une réalité à la fois âpre, cruelle et tendre. Même quand tout va mal, on ne baisse pas les bras chez Sepúlveda. Sa force narrative et son art de raconter des histoires véhiculent des convictions et des engagements humains inaliénables chez cet écrivain qui a fui la dictature de Pinochet. Ces textes sont autant de déclarations d’amour à la vie et à la dignité, portées par la volonté de réenchanter notre époque. Les nouvelles choisies (Histoires d’ici et d’ailleurs, éd. Métailié 2011) : Plateforme Larsen B. La dure et tendre fragilité des héros Attaque à main bénite Mon ami, le vieux Observations sur l'intellectualité Le jour où Indiana Jones n'est pas arrivé à la gare Montparnasse Un chien nommé Edward A (ré)écouter : https://m-r-l.ch/archives/les-livres-audio-de-la-mrl-luis-seplveda Le vieil homme qui lisait des romans d’amour Voix Guillaume Pidancet Musique Michael Borcard
undefined
Sep 29, 2021 • 6min

La dure et tendre fragilité des héros, Les nouvelles choisies – Luis Sepúlveda

Livre audio Lu par Guillaume Pidancet Musique Michael Borcard Sortie le 16 septembre 2021 Avec ce deuxième livre audio, la MRL poursuit son hommage à l’immense écrivain Luis Sepúlveda, décédé le 16 avril 2020. Guillaume Pidancet lit un choix de nouvelles issues de Histoires d’ici et d’ailleurs, dans une atmosphère musicale signée par Michael Borcard. Après Le vieux qui lisait des romans d’amour, nous retrouvons ici des sujets de prédilection de Luis Sepúlveda. Entre contes, fictions et tranches vie autobiographiques, ces nouvelles nous transportent de l’Amérique latine à l’Europe. Elles nous immergent dans une réalité à la fois âpre, cruelle et tendre. Même quand tout va mal, on ne baisse pas les bras chez Sepúlveda. Sa force narrative et son art de raconter des histoires véhiculent des convictions et des engagements humains inaliénables chez cet écrivain qui a fui la dictature de Pinochet. Ces textes sont autant de déclarations d’amour à la vie et à la dignité, portées par la volonté de réenchanter notre époque. Les nouvelles choisies (Histoires d’ici et d’ailleurs, éd. Métailié 2011) : Plateforme Larsen B. La dure et tendre fragilité des héros Attaque à main bénite Mon ami, le vieux Observations sur l'intellectualité Le jour où Indiana Jones n'est pas arrivé à la gare Montparnasse Un chien nommé Edward A (ré)écouter : https://m-r-l.ch/archives/les-livres-audio-de-la-mrl-luis-seplveda Le vieil homme qui lisait des romans d’amour Voix Guillaume Pidancet Musique Michael Borcard
undefined
Sep 29, 2021 • 8min

Plateforme Larsen B, Les nouvelles choisies – Luis Sepúlveda

Livre audio Lu par Guillaume Pidancet Musique Michael Borcard Sortie le 16 septembre 2021 Avec ce deuxième livre audio, la MRL poursuit son hommage à l’immense écrivain Luis Sepúlveda, décédé le 16 avril 2020. Guillaume Pidancet lit un choix de nouvelles issues de Histoires d’ici et d’ailleurs, dans une atmosphère musicale signée par Michael Borcard. Après Le vieux qui lisait des romans d’amour, nous retrouvons ici des sujets de prédilection de Luis Sepúlveda. Entre contes, fictions et tranches vie autobiographiques, ces nouvelles nous transportent de l’Amérique latine à l’Europe. Elles nous immergent dans une réalité à la fois âpre, cruelle et tendre. Même quand tout va mal, on ne baisse pas les bras chez Sepúlveda. Sa force narrative et son art de raconter des histoires véhiculent des convictions et des engagements humains inaliénables chez cet écrivain qui a fui la dictature de Pinochet. Ces textes sont autant de déclarations d’amour à la vie et à la dignité, portées par la volonté de réenchanter notre époque. Les nouvelles choisies (Histoires d’ici et d’ailleurs, éd. Métailié 2011) : Plateforme Larsen B. La dure et tendre fragilité des héros Attaque à main bénite Mon ami, le vieux Observations sur l'intellectualité Le jour où Indiana Jones n'est pas arrivé à la gare Montparnasse Un chien nommé Edward A (ré)écouter : https://m-r-l.ch/archives/les-livres-audio-de-la-mrl-luis-seplveda Le vieil homme qui lisait des romans d’amour Voix Guillaume Pidancet Musique Michael Borcard
undefined
Aug 3, 2021 • 1h 9min

Rousseau et la ville d'aujourd'hui, Leïla el-Wakil, Luca Pattaroni, Martin Rueff et Barbara Tirone

La ville – notamment la croissance et la densification des villes importantes – suscite des débats et des controverses qui posent de véritables défis politiques: certains perçoivent la ville comme un lieu d’échanges humains, d’art et de culture, de possibles; d’autres relèvent davantage qu’elle est un espace d’aliénation et d’isolement. Son développement nécessaire pour répondre aux enjeux de société contemporains voient également ébranler notre rapport au patrimoine. Jean-Jacques Rousseau est le premier philosophe à avoir abordé la question de la ville et de son développement. Au milieu du 18e siècle, il oppose ville et campagne, et montre que la ville est le lieu des faux-semblants, qu’elle aliène la nature des hommes – bonne par essence –, et qu’elle corrompt la vertu. Selon lui, non seulement la ville génère de la solitude plutôt que de favoriser les liens entre les individus, mais elle accentue aussi les inégalités entres les hommes, en créant des fossés entre les riches et les pauvres, entre les privilégiés et les laissés-pour-compte. Dans Julie ou la nouvelle Héloïse et dans Emile ou De l’éducation, Rousseau pointe des contradictions qui sont toujours d’actualité. En éclaireur visionnaire, il a alerté sur la dimension hautement politique et anthropologique de ce sujet. Qu’en est-il aujourd’hui de cette question ? Comment le projet du « vivre ensemble » s’exprime-t-il ? Comment concilier la densification des villes et le patrimoine, l’humain et le béton, la réduction des espaces communs et la vie collective ? Faudrait-il finalement préférer la campagne à la ville pour retrouver le respect de l’autre et de soi, et être en accord avec notre nature et l’environnement ? Les invités Leïla el-Wakil, historienne de l’art et de l’architecture Luca Pattaroni, sociologue de l’urbanisme Martin Rueff, poète, critique littéraire et spécialiste de Rousseau Barbara Tirone, architecte, présidente de la Maison de l’Architecture de Genève Modération: Zelda Chauvet En partenariat avec la Société Jean-Jacques Rousseau
undefined
Aug 3, 2021 • 1h 39min

Hommage à Philippe Rahmy, avec Pascale Kramer, Pierre Lepori, Cédric Leproust et Marc Berman

Le Grand Prix Ramuz – une des principales consécrations des lettres romandes – a récompensé Philippe Rahmy en 2020, à titre posthume. Pour fêter cet événement, nous recevons l’écrivaine Pascale Kramer, amie de Philippe Rahmy et fine lectrice de son œuvre. Elle s’entretient avec Pierre Lepori, metteur en scène de Corps à corps avec Shanghai. Cette lecture musicale, présentée ici en deuxième partie de soirée, s’inspire du texte phare de l’écrivain Béton armé. Elle est portée par le comédien Cédric Leproust et le musicien Marc Berman. Philippe Rahmy est né à Genève en 1965. Atteint de la maladie des os de verre, il a développé une œuvre à la fois poétique et romanesque qui questionne les liens entre le corps et le langage et explore le rapport à la douleur. Il signe des textes habités par une profonde empathie et tournés vers l’autre. Cette personnalité engagée et solaire s’est fait connaître avec Béton armé, un récit coup de poing imaginé à la suite d’une résidence à Shanghai. Paru aux éditions de la Table ronde en 2013 avec une préface de Jean-Christophe Rufin, le livre obtient plusieurs prix et est élu «meilleur récit de voyage» par le magazine Lire. Les éditions Folio-Gallimard le reprennent dès 2014. Ses deux publications suivantes, Allegra (Prix Rambert et Prix suisse de littérature 2017) et Monarques (2017), toujours à La Table ronde, assurent sa renommée. Philippe Rahmy meurt en octobre 2017. Il n’aura pas vu la publication de son dernier livre Pardon pour l’Amérique, sorti en 2018 (éd. de La Table ronde). En partenariat avec l’Association des Ami.e.s de Philippe Rahmy et la Compagnie Théâtre Tome Trois.
undefined
Jun 21, 2021 • 58min

L’opéra italien, avec Brenno Boccadoro et Francesco Biamonte

Troisième et dernière rencontre du cycle “Rousseau et la musique: l’invention de la liberté?”, imaginé avec le professeur de musicologie Brenno Boccadoro. Rousseau a été le plus ardent défenseur de l’opéra italien contre l’opéra français – promu par Rameau, son éternel adversaire. Le professeur Brenno Boccadoro nous entraîne dans ce débat esthétique au rythme d’extraits musicaux savoureusement commentés.
undefined
Jun 3, 2021 • 55min

Traces de vie avec Muriel Pic et Bruno Pellegrino

La MRL recevait en mai 2021 Muriel Pic et Bruno Pellegrino. Tous deux puisent dans les archives et les traces que laissent les vies pour créer des univers personnels, où le temps et la mémoire guident le récit. Ils ont publié récemment des livres qui offrent des expériences de lecture marquantes: l’écrivaine française, installée à Zurich, signe Affranchissements (éd. du Seuil), tandis que l’auteur lausannois écrit Dans la ville provisoire (éd. Zoé). Dans Affranchissements, tout commence avec Jim, le grand-oncle de la narratrice. Collectionneur de timbres et passionné de botanique, Jim est bossu. Et les bossus, dit-on, portent chance et apportent de l’argent. À partir de là, le récit se construit comme un cabinet des curiosités, et nous entraîne dans une déambulation poétique et savante, un brin dadaïste et expérimentale: une ode à l’imagination et à la liberté qui égratigne au passage certains fonctionnements de notre société. Le narrateur de Dans la ville provisoire est envoyé dans une ville cernée d’eau pour faire l’inventaire de l’œuvre d’une traductrice célèbre. Manuscrits et carnets, livres, tickets de supermarché, tas de vêtements sur le lit, restes d’aliments dans le réfrigérateur deviennent des indices qui révèlent le quotidien de l’absente. L’intrigue est minimaliste dans ce livre atmosphérique, fait de bruits, d’odeurs et de sensations, et pourtant on pressent qu’il s’y joue quelque chose d’essentiel: notre rapport au temps et au vivant.
undefined
May 9, 2021 • 58min

La musique de la discorde, avec Brenno Boccadoro et Nancy Rieben

Première rencontre du cycle “Rousseau et la musique: l’invention de la liberté?”, imaginé avec le musicologue et professeur Brenno Boccadoro. Cette première rencontre raconte l’histoire d’une dispute qui a traversé les siècles et a marqué la théorie musicale. Jean-Jacques Rousseau développe une réflexion qui va conditionner tout un pan de son œuvre: de la théorie proprement musicale (harmonique et esthétique) jusqu’aux doctrines socio-linguistiques qu’il expose dans son "Essai sur l’origine des langues". Voici l’histoire… De retour à Paris d’un voyage à Venise, Rousseau tente de percer sur la scène lyrique. Il réussit à faire jouer une de ses compositions – "Les muses galantes" – dans un salon coté. Dans le public se trouve le compositeur Rameau qui se moque vertement de lui, en le traitant de «petit pillard sans talent et sans goût». C’est le début de la «querelle des Bouffons»: une controverse qui oppose la musique française à la musique italienne, âprement défendue par Rousseau. Conscient de la supériorité de Rameau sur le terrain de la composition, Rousseau déplace le débat sur le plan théorique pour s’attaquer au prétendu fondement scientifique de la doctrine de son adversaire. Au terme de cette longue bataille, il apparaît clairement que Rameau a œuvré toute sa vie en vain à fonder la pratique de la composition dans la physique du son. La théorie de Rousseau est définitivement supérieure.
undefined
May 9, 2021 • 1h 39min

Nathalie Sarraute à la lettre, avec Anne Bisang et Rolande Causse

Archive : 25.09.2017 Tandis que la metteure en scène Anne Bisang monte "Elle est là" au Théâtre de l’Orangerie, la MRL la reçoit pour parler de l’œuvre d’une des toutes grandes dames de la littérature, Nathalie Sarraute. A ses côtés, Rolande Causse. Les personnes qui ont rencontré et fréquenté Nathalie Sarraute se font désormais rare. Rolande Causse en fait partie. Cette auteure, qui écrit principalement pour la jeunesse et qui vit à Paris, a tissé une longue amitié avec l’écrivaine d’origine russe. En 2016, elle a fait paraître au Seuil "Conversations avec Nathalie Sarraute". On y découvre à la fois la remarquable intellectuelle et la femme d’une immense humanité qu’était Nathalie Sarraute. Esprit visionnaire, Nathalie Sarraute (1900-1999) a produit une œuvre originale, qui donne forme aux pulsions et à la vie intérieure. La langue y est un terrain d’exploration et de jeu ; une aventure à la fois physique, captivante et génératrice de situations absurdes à en perdre la tête. Avec "Tropismes" (1939), l’écrivaine livre l’essentiel de sa démarche. Elle est consacrée avec "L’Ere du soupçon" (1956), qui pose les fondements du Nouveau Roman, et "Le Planétarium" (1959). Elle a également écrit de nombreuses pièces pour le théâtre, dont "Elle est là", "Le Silence", "Le Mensonge", "Isma"… Modération : Thierry Sartoretti Rencontre enregistrée à la Maison Rousseau et Littérature le 25 septembre 2017. Photo ©Marc Vanappelghem

The AI-powered Podcast Player

Save insights by tapping your headphones, chat with episodes, discover the best highlights - and more!
App store bannerPlay store banner
Get the app