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ARTE Radio
Bienvenue sur ARTE Radio, les podcasts d’ARTE !
Pionnière du podcast depuis 2002, ARTE Radio est une boîte de bonbons : on choisit (fictions, docus, séries), on picore (intimité, société, musiques), on se laisse surprendre (playlists thématiques, écoute au hasard). Avec plus de 2 millions d'écoutes mensuelles en 2024, ARTE Radio propose chaque semaine des nouveautés qui portent un regard neuf sur le monde et les vies qu'on y mène : histoires d'amour, voyages sans paroles, rencontres avec des personnages inoubliables, séries documentaires et témoignages qui font rimer émotion et stimulation.
Pour plus de contenu et de folie, vous pouvez aussi écouter ARTE Radio sur notre site et plus fourni ou notre application gratuite.
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Episodes
Mentioned books

Oct 10, 2025 • 7min
La Chute de Lapinville EP335 : Ça fait un bien fou
Pour remonter le moral de Nader, Bérénice a une idée qui va provoquer des remous au sein de l'Ordre.
La Chute de Lapinville
Lapin, pervers narcissique en fin de droits, raconte son retour à Lapinville et sa décision de faire un podcast pour se venger de ses anciens camarades d’école. Il est bientôt rejoint par Chloé Bloomington, star de cinéma qu’une énorme shitstorm oblige à revenir dans sa ville natale pour jouer dans une fiction quotidienne à la con. Puis, on suit l’enquête de Spiruline, astucieuse stagiaire à la mairie, qui dévoilera des scandales insoupçonnés dans les plus hautes sphères de Lapinville… Tour à tour, les Lapinvillois témoignent pour essayer de comprendre comment, une chose en entraînant une autre, ils ont fini par provoquer la destruction de la Terre. Leurs destins entremêlés forment une pelote visible de l’espace dont cette série, cinq minutes par jour, va dérouler le fil. Fresque épique et palpitante, chronique de la catastrophe en cours et de ses ramifications les plus inattendues, La Chute de Lapinville a pu être décrite comme une variante des Simpson à la sauce rond-point ou un jumeau maléfique de Plus belle la vie.
Enregistrements
décembre 2023-2024
Scénario et dialogues
Benjamin Abitan, Wladimir Anselme, Laura Fredducci
Direction artistique
Benjamin Abitan
Conseillère littéraire
Noémie Landreau
Réalisation
Cédric Aussir
Assistante réalisation
Anissa Zidna
Musique originale
Samuel Hirsch
Comédiens
Anne-Lise Heimburger (Bérénice Legroin d'Armentière de Lapinville)
Saeed Mirzaei (Nader)
Bernadette Le Saché (Grande Prêtresse)
Myren Astrée (Brume de l'Aube)
Lisa Toromanian (Chantal)
Comédiens silhouettes
Myren Astrée, Bénédicte Bosc, Anne Broussard, Bernadette Le Saché, Julia Samaün, Sophie Troise (Femmes de l'Ordre)
Voix générique
Myren Astrée
Production
ARTE Radio
ARTE Studio
Virginie Lacoste
Sahar Pirouz
Jacques Falgous
Illustration
Roxane Lumeret

Oct 9, 2025 • 5min
La Chute de Lapinville EP334 : L’abstinence n’a jamais fait de mal à personne
Nader est victime d'effets secondaires après avoir fait partie des premiers cobayes humains du projet Vol-au-vent.
La Chute de Lapinville
Lapin, pervers narcissique en fin de droits, raconte son retour à Lapinville et sa décision de faire un podcast pour se venger de ses anciens camarades d’école. Il est bientôt rejoint par Chloé Bloomington, star de cinéma qu’une énorme shitstorm oblige à revenir dans sa ville natale pour jouer dans une fiction quotidienne à la con. Puis, on suit l’enquête de Spiruline, astucieuse stagiaire à la mairie, qui dévoilera des scandales insoupçonnés dans les plus hautes sphères de Lapinville… Tour à tour, les Lapinvillois témoignent pour essayer de comprendre comment, une chose en entraînant une autre, ils ont fini par provoquer la destruction de la Terre. Leurs destins entremêlés forment une pelote visible de l’espace dont cette série, cinq minutes par jour, va dérouler le fil. Fresque épique et palpitante, chronique de la catastrophe en cours et de ses ramifications les plus inattendues, La Chute de Lapinville a pu être décrite comme une variante des Simpson à la sauce rond-point ou un jumeau maléfique de Plus belle la vie.
Enregistrements
décembre 2023-2024
Scénario et dialogues
Benjamin Abitan, Wladimir Anselme, Laura Fredducci
Direction artistique
Benjamin Abitan
Conseillère littéraire
Noémie Landreau
Réalisation
Cédric Aussir
Assistante réalisation
Anissa Zidna
Musique originale
Samuel Hirsch
Comédiens
Anne-Lise Heimburger (Bérénice Legroin d'Armentière de Lapinville)
Saeed Mirzaei (Nader)
Bernard Gabay (Georges Legroin)
Ivan Cori (Sergi Mollins)
Alexandra Garcia-Vila (Alexandra)
Denis Lavant (Sergi Mollins)
Voix générique
Arnaud Simon
Production
ARTE Radio
ARTE Studio
Virginie Lacoste
Sahar Pirouz
Jacques Falgous
Illustration
Roxane Lumeret

Oct 8, 2025 • 20min
Beatmakers : Jeez Suave pour "Kongolese sous BBL" de Théodora [Saison 3 - 6/10]
Le producteur Jeez Suave offre le tube de l’année dernière à sa sœur Théodora, en détournant une folle rythmique de bouillon caribéen. Ou comment inventer l’hyper-afro-pop, avec des cuivres en plastique, des plugs abusés, et surtout une envie contagieuse de danser et de kiffer en famille ?
Beatmakers, le podcast
Les plus grands producteurs racontent, pistes par pistes, la création en studio des tubes d’aujourd’hui. Pour sa troisième saison, la série montre comment les méthodes de production du rap et de l’éléctro ont désormais infiltré toutes les musiques pop et populaires.

Oct 8, 2025 • 5min
La Chute de Lapinville EP333 : J’ai fait un rêve
Les époux Legroin partagent tant bien que mal les souterrains qui relient le manoir au cratère de la météorite.
La Chute de Lapinville
Lapin, pervers narcissique en fin de droits, raconte son retour à Lapinville et sa décision de faire un podcast pour se venger de ses anciens camarades d’école. Il est bientôt rejoint par Chloé Bloomington, star de cinéma qu’une énorme shitstorm oblige à revenir dans sa ville natale pour jouer dans une fiction quotidienne à la con. Puis, on suit l’enquête de Spiruline, astucieuse stagiaire à la mairie, qui dévoilera des scandales insoupçonnés dans les plus hautes sphères de Lapinville… Tour à tour, les Lapinvillois témoignent pour essayer de comprendre comment, une chose en entraînant une autre, ils ont fini par provoquer la destruction de la Terre. Leurs destins entremêlés forment une pelote visible de l’espace dont cette série, cinq minutes par jour, va dérouler le fil. Fresque épique et palpitante, chronique de la catastrophe en cours et de ses ramifications les plus inattendues, La Chute de Lapinville a pu être décrite comme une variante des Simpson à la sauce rond-point ou un jumeau maléfique de Plus belle la vie.
Enregistrements
décembre 2023-2024
Scénario et dialogues
Benjamin Abitan, Wladimir Anselme, Laura Fredducci
Direction artistique
Benjamin Abitan
Conseillère littéraire
Noémie Landreau
Réalisation
Cédric Aussir
Assistante réalisation
Anissa Zidna
Musique originale
Samuel Hirsch
Comédiens
Anne-Lise Heimburger (Bérénice Legroin d'Armentière de Lapinville)
Bernard Gabay (Georges Legroin)
Abel Aboualiten (Kamel)
Denis Lavant (Sergi Mollins)
Kengo Saito (Kuroda)
Irma Rose (Interprète)
Ivan Cori (Sergi Mollins)
Arnaud Simon (Avocat)
Alexandra Garcia-Vila (Alexandra)
Comédiens silhouettes
Myren Astrée, Bénédicte Bosc, Anne Broussard, Bernadette Le Saché, Julia Samaün, Sophie Troise (Femmes de l'Ordre)
Voix générique
Sophie Troise
Julia Salaün
Production
ARTE Radio
ARTE Studio
Virginie Lacoste
Sahar Pirouz
Jacques Falgous
Illustration
Roxane Lumeret

Oct 7, 2025 • 54min
Bookmakers : Murielle Joudet (3/3)
Murielle Joudet le répète à l’envi : « Il faut prendre les actrices au sérieux, restituer avec justice et justesse leur importance dans nos vies, prendre en compte comment certaines ont su manœuvrer pour continuer d’apparaître telles qu’en elles-mêmes, y compris dans des films où le regard masculin est apparemment tout-puissant. Sans pour autant tomber dans l’illusion de leur liberté absolue car, bien sûr, l’industrie est là, souveraine. » Dans son troisième livre plein d’esprit, La seconde femme, elle dresse huit portraits de comédiennes qu’elle observe « jusqu’à plus soif » pour comprendre ce que Nicole Kidman, Meryl Streep, Brigitte Bardot ou son idole Bette Davis réussirent à imposer au système dans le deuxième acte de leur carrière – à force de travail, de bâtons de dynamite ou de simple désertion.
Ces derniers temps, Murielle Joudet a aimé Monte-Cristo version Pierre Niney, Max Mad : Furiosa, Joker 2, Bridget Jones 4, France de Bruno Dumont, The Substance de Coralie Fargeat, Anora de Sean Baker ou Spring breakers d’Harmony Korine. Des coups de cœur éclectiques, qui se comptent chaque année sur les doigts d’une main. « Habituellement, confie-t-elle, on peut écrire le texte dans sa tête pendant la projo, on sait exactement ce qu’on pense du film à la sortie et la plupart des œuvres font de moi une critique snob et blasée. Mais une ou deux fois par an, un film me désarme complètement. »
En conséquence, cette spectatrice exigeante préférera toujours « voir cinquante fois un chef-d’œuvre plutôt qu’une fois une œuvre plaisante », selon la formule de la cinéaste et écrivaine Catherine Breillat, femme « scandale » à laquelle Joudet consacre en 2023 un recueil d’entretiens, Je ne crois qu’en moi, sacré meilleur ouvrage français sur le cinéma par le Syndicat de la critique.
Dans ce troisième et dernier épisode, Murielle Joudet réaffirme ses envies d’enquêtes sur la fabrique des images, en « calmant ses envies de style, sans chercher l’éclat à tout prix ». Tout en rappelant l’existence d’un collectif qui ne manquera pas de fédérer des vocations : « Pigistes en pyjama ».
L’autrice du mois : Murielle Joudet
Née en 1991 à Paris, Murielle Joudet est critique de cinéma dans la presse (Le Monde), à la radio (sur France Inter pour Le masque et la plume), en ligne (dans le podcast Sortie de secours ou via l’émission Dans le film sur le site Hors-Série) ou pour la Cinémathèque française. Elle a publié quatre ouvrages qui documentent avec rigueur des façons de défier les conventions, en tant que femme, dans l’industrie du 7e art : Isabelle Huppert – vivre ne nous regarde pas (Capricci, 2018), Gena Rowlands – on aurait dû dormir (Capricci, 2021), La seconde femme – ce que les actrices font à la vieillesse (Premier Parallèle, 2022) et un recueil d’entretiens avec la cinéaste Catherine Breillat, Je ne crois qu’en moi (Capricci, 2023). Elle vit et travaille à Paris.
Enregistrement : juillet 2025
Mise en ligne : 7 octobre 2025
Entretien, découpage : Richard Gaitet
Prise de son : Mathilde Guermonprez
Montage : Étienne Bottini
Réalisation, mixage : Charlie Marcelet
Musiques originales : Samuel Hirsch
Harpe, flûte, clarinette, cor, basson, xylophone, timbales et gong : Xavier Thiry
Illustration : Sylvain Cabot

Oct 7, 2025 • 51min
Bookmakers : Murielle Joudet (2/3)
Elle a détesté Barbie de Greta Gerwig pour son « fétichisme de la marchandise gonflé aux dimensions d’un blockbuster estival », son « auteurisme définitivement dévoré par l’hégémonie des franchises, l’ironie permanente et la postmodernité comme impasses narratives » ou « et c’est sans doute le plus pénible », écrivit-elle dans Le Monde, « la défense d’un féminisme néolibéral infantilisant devenu la façade respectable d’un capitalisme décomplexé ».
Pour Murielle Joudet, un·e critique doit être « une sorte d’enfant obèse et ingrat, comme les post-humains imaginés par le studio Pixar dans Wall-E. Il ou elle ne doit rien à personne, parce qu’il ou elle n’a rien à revendiquer, rien à vendre et que personne ne l’aime. J’ai vu des critiques arrondir les angles d’une interview, couper ce qui pouvait être (un peu) choquant et ça m’a servi de leçon. J’écris des livres pour parler en mon nom, pour y aller à fond. »
Après 21 pages sur Coppola en 2016 (dans un bouquin où elle était la seule femme parmi neuf auteurs), et entre les dizaines d’articles du monumental Hitchcock la totale en 2019 (co-signé avec trois complices de la Cinémathèque française), Murielle Joudet se donne enfin le premier rôle via deux ouvrages consacrés à deux actrices majuscules. D’abord Isabelle Huppert, avec Vivre ne nous regarde pas en 2018, puis Gena Rowlands en 2021, avec On aurait dû dormir, récompensé par le Centre National de la Cinématographie.
Ce deuxième épisode dissèque ce remarquable diptyque contre l’ennui, pensé pour honorer des performances qui « tournent autour de la folie en s’aventurant très loin dans l’idée de se rendre incompréhensibles ». En montrant par exemple comment Gena Rowlands, égérie du cinéma de son compagnon John Cassavetes, parvient à traduire physiquement le « flux de conscience » cher à Virginia Woolf. « Son corps s’infléchit à la moindre pensée : elle ne ravale aucun état d’âme, les laisse infuser, fait du montage d’humeurs à même son corps, traversée par une violence inouïe. On peut avoir des éclats dépressifs ou des élans d’euphorie, dissimulés en général sous un masque de neutralité. Son masque glisse tout le temps. » Bas les masques, tout pour la plume.
L’autrice du mois : Murielle Joudet
Née en 1991 à Paris, Murielle Joudet est critique de cinéma dans la presse (Le Monde), à la radio (sur France Inter pour Le masque et la plume), en ligne (dans le podcast Sortie de secours ou via l’émission Dans le film sur le site Hors-Série) ou pour la Cinémathèque française. Elle a publié quatre ouvrages qui documentent avec rigueur des façons de défier les conventions, en tant que femme, dans l’industrie du 7e art : Isabelle Huppert – vivre ne nous regarde pas (Capricci, 2018), Gena Rowlands – on aurait dû dormir (Capricci, 2021), La seconde femme – ce que les actrices font à la vieillesse (Premier Parallèle, 2022) et un recueil d’entretiens avec la cinéaste Catherine Breillat, Je ne crois qu’en moi (Capricci, 2023). Elle vit et travaille à Paris.
Enregistrement : juillet 2025
Mise en ligne : 7 octobre 2025
Entretien, découpage : Richard Gaitet
Prise de son : Mathilde Guermonprez
Montage : Étienne Bottini
Réalisation, mixage : Charlie Marcelet
Musiques originales : Samuel Hirsch
Harpe, flûte, clarinette, cor, basson, xylophone, timbales et gong : Xavier Thiry
Illustration : Sylvain Cabot

Oct 7, 2025 • 44min
Bookmakers : Murielle Joudet (1/3)
Dans la catégorie critiquée et redoutée de la critique ciné, au sein de ce métier malmené par la concurrence des algorithmes publicitaires, Murielle Joudet fait figure de rempart, de meilleur espoir. Signature cinglante du journal Le Monde depuis 2017, mousquetaire sur France Inter du nouveau Masque et la plume depuis 2024, la journaliste et autrice parisienne est la jeune première qui monte, acerbe et bien renseignée, incollable (ou presque) sur l’âge d’or d’Hollywood. À 34 ans, l’ex-chroniqueuse au lance-flammes du magazine Chronicart, vue dans l’émission Le Cercle sur Canal+, semble déjà reconnue comme la « bad cop » du milieu, sa mauvaise conscience, à la recherche du « grand » cinéma.
Mais comment cette stakhanoviste autodidacte a-t-elle formé son goût et ses dégoûts ? « Entre 17 et 24 ans, on attend que la vie commence et le cinéma est une sorte de teaser. Mais le décalage est toujours un peu décevant », dit cette lectrice de Sylvia Plath et de Pierre Michon, fan d’Éric Rohmer ou d’Abdellatif Kechiche, qui passa « religieusement » sept ans dans les salles obscures en marge de ses études de philo. « Les cinéphiles peuvent faire l’économie du dehors, comme si tous les films vus recouvraient la surface du monde, pour ne plus avoir à le voir – j’ai été comme ça, je le suis encore un peu. »
Qu’a-t-elle retenu de son exposition aux princesses et sorcières de Walt Disney ? Ou de ses nuits à zapper pour tomber sur le cinéma queer de Paul Morrissey ou Les hommes préfèrent les blondes avec Marilyn Monroe, dont la pluie de couleurs et de diamants lui donna l’idée « de travailler sur les images » ? Comment cette blogueuse graphomane a-t-elle professionnalisée sa « vie intérieure hyper-trophiée » ? Ces questions sont à l’affiche de ce premier épisode, à écouter les yeux grands ouverts.
L’autrice du mois : Murielle Joudet
Née en 1991 à Paris, Murielle Joudet est critique de cinéma dans la presse (Le Monde), à la radio (sur France Inter pour Le masque et la plume), en ligne (dans le podcast Sortie de secours ou via l’émission Dans le film sur le site Hors-Série) ou pour la Cinémathèque française. Elle a publié quatre ouvrages qui documentent avec rigueur des façons de défier les conventions, en tant que femme, dans l’industrie du 7e art : Isabelle Huppert – vivre ne nous regarde pas (Capricci, 2018), Gena Rowlands – on aurait dû dormir (Capricci, 2021), La seconde femme – ce que les actrices font à la vieillesse (Premier Parallèle, 2022) et un recueil d’entretiens avec la cinéaste Catherine Breillat, Je ne crois qu’en moi (Capricci, 2023). Elle vit et travaille à Paris.
Enregistrement : juillet 2025
Mise en ligne : 7 octobre 2025
Entretien, découpage : Richard Gaitet
Prise de son : Mathilde Guermonprez
Montage : Étienne Bottini
Réalisation, mixage : Charlie Marcelet
Musiques originales : Samuel Hirsch
Harpe, flûte, clarinette, cor, basson, xylophone, timbales et gong : Xavier Thiry
Illustration : Sylvain Cabot

Oct 7, 2025 • 6min
La Chute de Lapinville EP332 : Top moumoute
Chantal raconte comment elle a surveillé de près les enfants de la météorite, notamment un certain Lapin.
La Chute de Lapinville
Lapin, pervers narcissique en fin de droits, raconte son retour à Lapinville et sa décision de faire un podcast pour se venger de ses anciens camarades d’école. Il est bientôt rejoint par Chloé Bloomington, star de cinéma qu’une énorme shitstorm oblige à revenir dans sa ville natale pour jouer dans une fiction quotidienne à la con. Puis, on suit l’enquête de Spiruline, astucieuse stagiaire à la mairie, qui dévoilera des scandales insoupçonnés dans les plus hautes sphères de Lapinville… Tour à tour, les Lapinvillois témoignent pour essayer de comprendre comment, une chose en entraînant une autre, ils ont fini par provoquer la destruction de la Terre. Leurs destins entremêlés forment une pelote visible de l’espace dont cette série, cinq minutes par jour, va dérouler le fil. Fresque épique et palpitante, chronique de la catastrophe en cours et de ses ramifications les plus inattendues, La Chute de Lapinville a pu être décrite comme une variante des Simpson à la sauce rond-point ou un jumeau maléfique de Plus belle la vie.
Enregistrements
décembre 2023-2024
Scénario et dialogues
Benjamin Abitan, Wladimir Anselme, Laura Fredducci
Direction artistique
Benjamin Abitan
Conseillère littéraire
Noémie Landreau
Réalisation
Cédric Aussir
Assistante réalisation
Anissa Zidna
Musique originale
Samuel Hirsch
Comédiens
Anne-Lise Heimburger (Bérénice Legroin d'Armentière de Lapinville)
Lisa Toromanian (Chantal)
Aurélien Gabrielli (Lapin)
Saadia Bensaïd (Christiane)
Philippe Vieux (Christian)
Camille Blouet (Instit)
Joseph Cerutti (Lapin enfant)
Caroline Loeb (Chantal)
Voix générique
Anne de Peufeilhoux
Production
ARTE Radio
ARTE Studio
Virginie Lacoste
Sahar Pirouz
Jacques Falgous
Illustration
Roxane Lumeret

Oct 6, 2025 • 5min
La Chute de Lapinville EP331 : Nous y voilà
Bérénice et Chantal élèvent leurs enfants selon des méthodes bien différentes et s'opposent dans des discussions théologiques.
La Chute de Lapinville
Lapin, pervers narcissique en fin de droits, raconte son retour à Lapinville et sa décision de faire un podcast pour se venger de ses anciens camarades d’école. Il est bientôt rejoint par Chloé Bloomington, star de cinéma qu’une énorme shitstorm oblige à revenir dans sa ville natale pour jouer dans une fiction quotidienne à la con. Puis, on suit l’enquête de Spiruline, astucieuse stagiaire à la mairie, qui dévoilera des scandales insoupçonnés dans les plus hautes sphères de Lapinville… Tour à tour, les Lapinvillois témoignent pour essayer de comprendre comment, une chose en entraînant une autre, ils ont fini par provoquer la destruction de la Terre. Leurs destins entremêlés forment une pelote visible de l’espace dont cette série, cinq minutes par jour, va dérouler le fil. Fresque épique et palpitante, chronique de la catastrophe en cours et de ses ramifications les plus inattendues, La Chute de Lapinville a pu être décrite comme une variante des Simpson à la sauce rond-point ou un jumeau maléfique de Plus belle la vie.
Enregistrements
décembre 2023-2024
Scénario et dialogues
Benjamin Abitan, Wladimir Anselme, Laura Fredducci
Direction artistique
Benjamin Abitan
Conseillère littéraire
Noémie Landreau
Réalisation
Cédric Aussir
Assistante réalisation
Anissa Zidna
Musique originale
Samuel Hirsch
Comédiens
Anne-Lise Heimburger (Bérénice Legroin d'Armentière de Lapinville)
Lisa Toromanian (Chantal)
Bernadette Le Saché (Grande Prêtresse)
Sophie Troise (Femme pas gentille)
Comédiens silhouettes
Myren Astrée, Bénédicte Bosc, Anne Broussard, Bernadette Le Saché, Julia Samaün, Sophie Troise (Femmes de l'Ordre)
Voix générique
Caroline Loeb
Production
ARTE Radio
ARTE Studio
Virginie Lacoste
Sahar Pirouz
Jacques Falgous
Illustration
Roxane Lumeret

Oct 3, 2025 • 6min
La Chute de Lapinville EP330 : Une sorte de super-héros
Sous l'influence d'Alexandra, Sergi va prendre une décision lourde de conséquences.
La Chute de Lapinville
Lapin, pervers narcissique en fin de droits, raconte son retour à Lapinville et sa décision de faire un podcast pour se venger de ses anciens camarades d’école. Il est bientôt rejoint par Chloé Bloomington, star de cinéma qu’une énorme shitstorm oblige à revenir dans sa ville natale pour jouer dans une fiction quotidienne à la con. Puis, on suit l’enquête de Spiruline, astucieuse stagiaire à la mairie, qui dévoilera des scandales insoupçonnés dans les plus hautes sphères de Lapinville… Tour à tour, les Lapinvillois témoignent pour essayer de comprendre comment, une chose en entraînant une autre, ils ont fini par provoquer la destruction de la Terre. Leurs destins entremêlés forment une pelote visible de l’espace dont cette série, cinq minutes par jour, va dérouler le fil. Fresque épique et palpitante, chronique de la catastrophe en cours et de ses ramifications les plus inattendues, La Chute de Lapinville a pu être décrite comme une variante des Simpson à la sauce rond-point ou un jumeau maléfique de Plus belle la vie.
Enregistrements
décembre 2023-2024
Scénario et dialogues
Benjamin Abitan, Wladimir Anselme, Laura Fredducci
Direction artistique
Benjamin Abitan
Conseillère littéraire
Noémie Landreau
Réalisation
Clémence Bucher
Assistante réalisation
Alexandra Garcia-Vilà
Musique originale
Samuel Hirsch
Comédiens
Denis Lavant (Sergi Mollins)
Ivan Cori (Sergi Mollins)
Alexandra Garcia-Vila (Alexandra)
Bernard Gabay (Georges Legroin)
Saeed Mirzaei (Nader)
Abel Aboualiten (Kamel)
Anne-Lise Heimburger (Bérénice Legroin d'Armentière de Lapinville)
Lisa Toromanian (Chantal)
Comédiens silhouettes
Laure Egoroff, Daphné Lafitte, Daphné Lanne, Bernadette Le Saché, Françoise Loreau, Jeanne Mousel (Femmes de l'Ordre)
Voix générique
Colette Marie
Yann Jamet
Production
ARTE Radio
ARTE Studio
Virginie Lacoste
Sahar Pirouz
Jacques Falgous
Illustration
Roxane Lumeret