108 Milliards

Je vous ai parlé dans les deux derniers épisodes de mon syndrome de la première de classe. En quoi il consistait, comment il se manifestait et comment j’ai fini par le dépasser. Je vais maintenant vous parler de son origine. Pourquoi je l’ai développé. Non seulement il a eu des répercussions profondes dans ma vie mais en plus, il était relié à cette impression de ne pas être aimée inconditionnellement pour ce que j’étais. Actuellement, je vois les choses différemment et je vous laisse découvrir pourquoi !   Ma masterclass sur la visualisation est disponible ici et avec le code PODCAST vous aurez une 10€ de remise.      Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans l’épisode précédent je vous ai expliqué comment le syndrome de la première de classe me poussait à attribuer des notes à tous les aspects de ma vie et de mes réalisations, que ce soit bien sûr mes études et ma carrière mais aussi toutes mes relations humaines et mes loisirs. Ça semble horrible dit comme ça mais je dois avouer que ça m’a bien servi pendant plusieurs années. Dans cet épisode le but est plutôt d’analyser ce fonctionnement en tant que stratégie pour se réaliser, et de comprendre comment j’ai été amenée à en identifier les ressorts et les limites pour au final le dépasser. Un clin d'oeil spécial à Linda Saïdi, ma coach de l'époque.   Ma masterclass sur la visualisation est disponible ici et avec le code PODCAST vous aurez une 10€ de remise.      Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans ce nouveau thème je vous parle d’une maladie chronique que j’ai eu jusqu’à mes 30 ans. Je n’en ai pas complètement guéri, j’ai juste appris à espacer et atténuer les poussées de symptômes. Cette maladie a une caractéristique, c’est qu’elle m’a aussi beaucoup aidée, c’est grâce à elle que j’ai accompli plein de choses dont je suis fière et qui se sont révélées géniales. D’ailleurs quitte à ne jamais en guérir complètement, je me dis que le salut pour moi consiste à savoir l’utiliser quand j’en ai besoin et ne plus la subir sans en avoir conscience. Cette maladie c’est le syndrome de la première de la classe. Durant toute ma scolarité et mes 10 premières années de carrière, je voyais la vie comme un examen permanent où il fallait s’efforcer d’avoir de bonnes notes dans toutes les matières, d’avoir un dossier nickel et exceller. Partout. Tout le temps. Grâce à ce que j’ai appris en tant que coach et maintenant que je sais tout ce que sais sur le cerveau et les processus d’apprentissage et de créativité je me dis que je suis très certainement passée à côté de pleins de choses. Mais ça, j’ai réussi à le dépasser. C’est davantage la vision du monde que je regrette : nous ne sommes pas sur cette planète pour cocher des cases et j’ai mis 30 ans à le comprendre. Mieux vaut tard que jamais !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

 Il y a des conversations qui vous touchent et vous enseignent ce que vous auriez mis peut-être 30 ans à comprendre. Certaines d’entre elles sont attendues : le contexte et l’interlocuteur vous font sentir dès le départ que ça peut-être une conversation importante dans votre cheminement. Mais certaines d’entre elles sont fugaces, inattendues, imprévisibles même… ni dans leur contenu ni dans l’effet qu’elles produisent sur nous. Comment quelques mots échangés sur un coin de table avec une personne pas forcément plus sage que soit peuvent à ce point nous éclairer ? Cela me fascine, c’est de la magie pour moi. Dans ce dernier épisode du thème 3 sur les funérailles de ma mère, je vous parle d’une conversation qui m’a aidé à adopter un autre regard sur les croyances de chacun. J’ai cité les livres de Reza Aslan, Le Miséricordieux et Le Zélote   Ma masterclass sur la visualisation est disponible ici et avec le code PODCAST vous aurez une 10€ de remise.      Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

 Dans l’épisode précédent je vous ai raconté comment le fait de partager des rituels avec mes proches m’a semblé essentiel et précieux. Ce que j’ai vécu lors des funérailles de ma mère m’a énormément aidé à définir ce que je mettais derrière le métier de coach et de ritualiste, ça m’a aidé et m’aide encore tous les jours à à régler ma boussole sur une direction qui me réalise. Pour moi le bonheur, la paix, la réalisation… appelez ça comme vous voulez, c’est de pouvoir se repasser le film de sa vie et de se dire « c’était bien, j’ai fait ce que j’avais à faire, ce que je pouvais… j’ai vécu ma vie, pas celle du voisin ». J’ajouterais même, c’est aussi pouvoir avoir la même affection pour nos moments heureux que pour les expériences les plus douloureuses. Assurément que les funérailles de ma mère seront dans mon film, aux côté de la naissance de mes enfants et de leur baptêmes et de plein d’autres moments heureux et malheureux que j’ai eu la chance de vivre. Aujourd’hui ma mission est d’aider les autres à pouvoir aussi aimer leur film. Pour cela la coach que je suis les accompagne à se créer la vie qui leur correspond et la ritualiste les aide à rendre les moments clé extraordinaires. Dans cet épisode de 108 Milliards j’ai cité le livre d’André Comte Sponville, L'Esprit de l'athéisme: Introduction à une spiritualité sans Dieu   Ma masterclass sur la visualisation est disponible ici et avec le code PODCAST vous aurez une 10€ de remise.      Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans ce thème, je vais vous parler du jour où j’ai enterré ma mère. Je ne vais pas couvrir tout le sujet de la mort , c’est bien trop vaste, je vais faire un zoom sur ses funérailles. J’ai pris conscience à cette occasion de quelque chose qui me semble essentiel et je voulais le partager avec vous. J’ai pris conscience de l’importance des rituels dans notre vie d’Humains. Que peu importe notre foi, peu importe nos croyances en un dieu ou pas, ce que j’ai expérimenté lors des funérailles de ma mère est de l’ordre de la magie. Cette magie c’est plusieurs humains qui se réunissent et entrent en communion. Le fait de me relier ainsi à travers le rituel avec d’autres Humains, a été capital pour m’aider à passer ce cap. C’est ce que je vous raconte dans ce premier épisode. Au-delà de vous partager mon expérience, j’espère pouvoir vous transmettre des graines qui pourraient vous être utiles si l’un de vos proches ou vous-même êtes amenés à vivre un deuil.   Ma masterclass sur la visualisation est disponible ici et avec le code PODCAST vous aurez une 10€ de remise.      Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Avez-vous besoin de trouver du sens dans ce que vous faites pour vous réaliser ?   Cette question est loin d’être simple à répondre.   Grâce à mes expériences professionnelles précédentes et de nombreuses rencontres, j’ai pu me rapprocher petit à petit du sens de ma vie tout en étant totalement alignée au quotidien.   C’est la raison pour laquelle, dans cet épisode, je vais vous partager mes conseils concernant la façon de se sentir aligné sans pour autant chercher à trouver un sens immédiat à ce que vous faites.  Est-il nécessaire de répondre à son besoin de sens pour être heureux, pour être épanoui ?  Est-il même possible d'être à l'écoute de son besoin de sens tout au long de sa vie ?  Pas nécessairement.  En effet, comme nous l’avons vu dans l’épisode précédent, nous ne ressentons pas le besoin de donner un sens à notre vie tant que nos autres besoins ne sont pas satisfaits (besoins physiologiques, de sécurité, d’appartenance et de reconnaissance).  Pour autant, s’il est vrai qu’il y a un temps pour tout dans la vie, j’ai l’impression que plus on arrive à se connecter à son besoin de sens, plus on arrive à optimiser notre énergie pour créer de la valeur.   Bonne écoute !    Ma masterclass sur la visualisation est disponible ici et avec le code PODCAST vous aurez une 10€ de remise.      Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

 Il y a quelques années, un événement incroyable a changé radicalement ma vie professionnelle. Cet événement m’a permis de prendre conscience que mon corps connaissait déjà la réponse à mon besoin de sens.   Mon invitation pour ce nouvel épisode c’est de vous aider à prendre conscience et voir comment votre besoin de sens peut s’exprimer dans la façon que vous avez de vous relier aux autres humains.  Nous, Humains, sommes un animal social. Un animal dont le sens profond est lié à notre besoin de faire société.   C’est au travers de cet épisode et de cet événement que vous allez pouvoir apprendre de vous-même dans votre quête de sens et la façon dont vous pouvez vous en rendre compte.   J'espère que cet épisode vous inspirera sur votre chemin de recherche de sens. Bonne écoute !    Ma masterclass sur la visualisation est disponible ici et avec le code PODCAST vous aurez une 10€ de remise.      Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Écoutez-vous réellement vos besoins ? Avez-vous conscience de ce qui se passe en votre for intérieur ? Dans cet épisode sur la thématique du besoin de sens, je vous fais part d’une expérience professionnelle que j’ai vécu et qui va vous permettre d’éveiller cette sensation. Grâce à des conseils en psychologie appliquée à votre vie professionnelle et personnelle, vous allez pouvoir apprendre à plonger dans une introspection sur votre vie et vos véritables besoins. J'espère que cet épisode vous aidera à mieux vous comprendre et peut-être même à dialoguer avec votre besoin de sens. Il vaut mieux l’écouter et l'anticiper, plutôt que de ne pas le voir et qu’il trouve un moyen de s'exprimer malgré vous. Bonne écoute !   Ma masterclass sur la visualisation est disponible ici et avec le code PODCAST vous aurez une 10€ de remise.      Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

 Nous avons pu conquérir le monde grâce à notre capacité à créer et à transmettre des émotions. Tous les humains ayant vécu appartiennent à la même espèce, celle d’Homo Sapiens. Cette espèce est née et a évoluée en Afrique et c’est environ il y a 300 000 ans qu’elle a commencé à se déplacer hors d’Afrique.   Savez-vous pourquoi c’est Homo Sapiens et non d'autres espèces comme Néandertal qui a conquis la planète ?    Grâce à sa capacité à développer des relations et également grâce à sa capacité à se fédérer à plus de 50 individus. Mais pourquoi ? Si l'Homo Sapiens a réussi à conquérir la planète, c’est grâce à sa capacité à se détacher du réel et aussi en raison de son besoin viscéral de croire des histoires, de se les approprier et de les partager avec d’autres individus.  Il semblerait que notre avantage compétitif le plus décisif par rapport aux autres espèces humaines ait donc été notre capacité à penser, à imaginer, à interpréter, anticiper et créer le futur dans notre esprit.   À non seulement ressentir des émotions en fonction de nos constructions mentales, mais également à les transmettre et à les vivre.    Et c'est ce que nous continuons à faire.     Ma masterclass sur la visualisation est disponible ici et avec le code PODCAST vous aurez une 10€ de remise.      Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.