Nota Bene

Mes chers camarades, bien le bonjour ! On continue notre série sur le voyage au Moyen Âge : je vous conseille d’écouter d’abord les deux épisodes abordant la route et ses dangers. Vous découvrirez toutes les difficultés qu’on rencontrait à l’époque lorsqu’on décidait de partir loin de chez soi. Car “veiage” vient du mot viaticum : c’est de la bouffe. Plus exactement : la provision de route. Le “veiage” c’est pas du loisir, mais un truc sérieux et organisé dans lequel on se lance avec précaution. D’ailleurs, le marcheur par excellence est le soldat ou le pillard qui part en raid très loin de chez lui. Guerre et marche à pied sont idées : le latin versus, “partir, aller vers, aller contre”, a donné le vieux-francique werra, l’allemand wehr et le français…guerre. Le gaulois cingo, “marcher” désigne à la fois le marcheur… et le fantassin. On le retrouve dans l’expression Vercingetorix : “le grand chef des guerriers”. Cette idée antique irrigue tout le Moyen Âge. Au 15e siècle, l’écrivain Alain Chartier le dit encore : “Les marchans gagnoient, nobles voyageoient”. Les nobles sont l’aristocratie combattante : s’ils voyageoient, c’est qu’ils guerroient ! Mais heureusement, il y a de nombreuses autres raisons de prendre la route ! Mais pourquoi prendre de tels risques ? C’est ce que nous allons découvrir dès maintenant, en parlant des motivations qui poussaient les gens d’autrefois à partir à l’aventure : car il n’y avait pas que la guerre !Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Mes chers camarades, bien le bonjour ! Dans cette mini-série, nous explorons tous ces dragons qui, dans les mythologies grecque, japonaise, babylonienne et scandinave, crachaient du sang noir, du venin, de l’eau ou des vapeurs fétides. Eh oui, le dragon était parfois une créature de l’eau et de la terre des profondeurs : il ne crachait pas de feu, et n’avait pas d’ailes pour voler dans les airs ! On ne naît pas dragon. On le devient. C’est en tout cas ce qui est arrivé une fois à Fafnir, pris dans une malédiction qui le dépassait largement !Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Mes chers camarades, bien le bonjour !Bienvenue dans ce nouvel entretien historique en partenariat avec la Nuit Européenne des Chercheurs ! Mais la Nuit Européenne des Chercheurs, qu’est-ce que c’est ? C’est un événement ayant lieu chaque année en septembre dans une quinzaine de villes, et qui a pour but de créer des rencontres directes entre les chercheurs - toutes disciplines confondues - et le grand public, grâce à des animations diverses et variées ! L’édition 2023 se déroulera le 29 septembre et a pour thème “Nos Futurs”, alors quoi de mieux que de profiter de cette occasion pour parler de la conception du futur, et plus généralement du temps dans l’Antiquité grecque ? Vous êtes vous déjà demandés si dans l’Antiquité, les Grecs avaient le même rapport au temps que nous ? Comme le mesuraient-ils, avec quels outils ? Avaient-ils des calendriers ? Et comme la Grèce était composée d’une multitude de cités, était-ce la même chose partout ? Et du côté de la mythologie ? Eh bien pour répondre à toutes ces questions et à bien d’autres encore, j’ai eu le plaisir de recevoir William Pillot, un historien spécialiste de l’histoire de la cité d’Ilion et du rapport des Grecs à la nature.Ne tardons pas plus, je vous souhaite une bonne écoute sur Nota Bene !Un grand merci à la Nuit Européenne des Chercheurs qui a été notre partenaire pour cet entretien ! L'édition 2023 a pour thème "Nos Futurs" et a lieu le 29 septembre dans 16 villes françaises. Pour en savoir plus, c'est par ici : https://bit.ly/nuiteuropeennedeschercheurs_NB Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Mes chers camarades, bien le bonjour !Le temps dans la Grèce ancienne, c’est un vaste sujet que l’on n’abordera pas aujourd’hui, mais seulement dans quelques jours quand le prochain entretien historique complet sera disponible. J’aurai le plaisir d’y recevoir William Pillot, un maître de conférences en histoire et archéologie du monde grec antique à l’Université d’Angers, ayant d’ailleurs déjà participé à la Nuit Européenne des Chercheurs, qui est notre partenaire pour cet entretien. Mais comme je vous le disais, ça, ce sera pour dans quelques jours. En attendant, je vous propose de nous intéresser aux dates : il est assez facile aujourd’hui de dater un événement. Mais chez les Grecs de l’Antiquité, comment cela se passait-il ? Comment fonctionnait leur système de datation ? Avaient-ils une date repère de référence, comme notre “an 0” ? Et justement, la datation d’un événement lointain pouvait-elle poser débat parmi les historiens de l’Antiquité ? C’est ce que je vous propose de découvrir maintenant.Bonne écoute !Un grand merci à la Nuit Européenne des Chercheurs qui a été notre partenaire pour cet entretien ! L'édition 2023 a pour thème "Nos Futurs" et a lieu le 29 septembre dans 16 villes françaises. Pour en savoir plus, c'est par ici : https://bit.ly/nuiteuropeennedeschercheurs_NB Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Mes chers camarades, bien le bonjour ! Et en route ! Car nous continuons notre série sur le voyage au Moyen Âge. Si ce n’est pas déjà fait, écoutez d’abord le premier épisode sur les routes et moyens de transports de l’époque. Il est très important, car la qualité du temps, des réseaux routiers et des étapes prime pour comprendre le thème d’aujourd’hui : les dangers et les peurs associés au voyage durant tout le Moyen Âge ! Et vous allez voir que des dangers, c’est pas ce qui manque !Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Mes chers camarades, bien le bonjour !Dans cette mini-série, nous explorons tous ces dragons qui, dans les mythologies grecque, japonaise, babylonienne et scandinave, crachaient du sang noir, du venin, de l’eau ou des vapeurs fétides. Eh oui, le dragon était parfois une créature de l’eau et de la terre des profondeurs : il ne crachait pas de feu, et n’avait pas d’aile pour voler dans les airs ! Et pour aujourd'hui, on va se pencher sur le cas d'un des dragons les plus craints de la mythologie japonaise, aussi grand qu'une chaîne de montagnes : Yamata-no-Orochi !Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Mes chers camarades, bien le bonjour !Bienvenue dans ce nouvel entretien historique ! Vous êtes vous déjà demandés à quel moment s’arrête l’Histoire ? Par tradition, certains la font se terminer à la Seconde Guerre mondiale, et d’autres aux années 1990. D’autres encore ne la font pas s’arrêter et pratiquent ce qu’on appelle l’Histoire immédiate, en appliquant la méthodologie de recherche historique à des périodes récentes. Pour en savoir plus sur cette discipline, j’ai reçu en entretien Virginie Tisserant, une historienne spécialiste du monde hispanique et qui travaille sur les nouvelles expressions politiques au XXIe siècle, notamment dans les espaces francophones et hispanophones. Cet entretien a donc été l’occasion de découvrir la pratique de l’histoire du temps présent, mais aussi de rentrer dans le concret en parlant des recherches de Virginie, qui a étudié l’émergence d’un nouveau type de parti politique ces dernières années, en réponse à la crise économique de 2007 : les partis mouvements. Bonne écoute sur Nota Bene ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Mes chers camarades, bien le bonjour ! L’histoire est-elle neutre ? Dit-on ce qui est véritablement arrivé dans le passé quand on fait de l’histoire ? Est-ce la vérité absolue, ou essaie t-on simplement de s’en approcher un maximum à partir des différents indices dont on dispose, les sources ? Et finalement, quelle est la différence entre histoire, et mémoire ? C’est à ces questions que je vous propose de répondre aujourd’hui avec Virginie Tisserant, une historienne spécialisée en histoire politique contemporaine et en monde hispanique, avec qui on parlera dans quelques jours de l’histoire du temps présent et des partis mouvements, quand l’entretien complet sera disponible. Mais en attendant, je vous souhaite une bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Mes chers camarades, bien le bonjour ! Qui met un terme à l’Antiquité ? Eh bien on peut dire que c’est Odoacre : sa longue expédition militaire de 476 renverse l’Empire romain. Mille ans plus tard, en 1492, le navigateur Christophe Colomb se dirige lui aussi vers l’Ouest… mais beaucoup, beaucoup plus loin ! C’est la naissance des Temps Modernes. Entre les voyages d’Odoacre et de Colomb, il s’est passé un millénaire, un Moyen Âge pas si “moyen”, qui va toujours de l’avant, où un progrès constant fait exploser la mobilité, dynamise les routes de la soie, et lance les grandes explorations. On est loin du cliché du  paysan cloué à la terre : la civilisation médiévale, c’est beaucoup plus que ça ! D’ailleurs le sujet est si vaste que je vous propose de l’explorer en une mini série de quatre épisodes : route, danger, motivation et mentalité. Aujourd’hui, découvrons la route et les moyens de transports de l’époque.Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Mes chers camarades, bien le bonjour ! Aujourd’hui on finit notre série sur les légendes coréennes, tout droit tirées du royaume médiéval de Joseon, et inspirées de son ancêtre légendaire, le Gojoseon, où humains, dieux et créatures magiques vivaient ensemble…parfois en se dévorant les uns les autres ! Et une des principales figures de cette mythologie inspirée de la nature, c’est le tigre !Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.