Nota Bene

Mes chers camarades, bien le bonjour ! J’ai reçu il y a quelque temps en entretien l’historienne Judith Rainhorn, qui est une spécialiste de la santé au travail aux XIXe et XXe siècles. On a abordé ensemble l’histoire de la révolution industrielle, de l’installation de l’industrie en ville, et des conséquences que cela a eu sur l’environnement urbain et sur la santé des travailleurs. Mais avant d’aller plus loin quand l’entretien intégral sera disponible dans quelques jours, je vous propose de nous attarder maintenant sur un point majeur : concrètement, à quoi ressemblaient les conditions de travail dans les usines à cette époque ? Étaient-elles fort différentes de celles que l’on connaît actuellement, et si oui en quoi ? Comment ont-elles évolué tout au long du XIXe siècle ? C’est ce que je vous propose de découvrir aujourd’hui, en nous attardant sur un exemple bien précis : celui des enfants ! Alors bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Mes chers bougres, ribauds, paillards, mécréants, bien le bonjour ! Ah, c’est vrai que ça sonne un peu plus insultant que “camarades”... mais surtout, ça sonne très médiéval ! Le Moyen Âge, beaucoup se le représentent comme dans le film “Les Visiteurs”, avec des Godefroy et des Jacquouille sales et violents. Souvent on pense guerre, massacre, viol… et donc, logiquement, insulte. Et de fait, l'ancien français permet des créations lexicales très imagées, qui sonnent presque comme une langue étrangère à nos oreilles. Du coup, au-delà du cliché, c’était quoi les vraies insultes médiévales ? Déjà faut reconnaître un truc : en la matière, le Moyen Âge a été très, très créatif !Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Mes chers camarades, bien le bonjour ! Je vous propose de partir à la découverte des origines des expressions anciennes : aujourd’hui on découvre pourquoi l’argent n’a pas d’odeur, et qu’est-ce qu’on veut dire quand on parle d’une “autre paire de manche” !Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Mes chers camarades, bien le bonjour, et bienvenue dans ce nouvel entretien historique ! Il y a quelques temps, on a fait un entretien sur l’histoire de l’Empire hittite, son fonctionnement, la religion, les écritures utilisées… Mais toutes les choses ont une fin, et l’empire a fini par disparaître. Mais qu’est-ce qui a bien pu causer sa chute, et surtout que s’est-il passé après ? Est-ce que tout a changé, ou retrouve t-on une certaine continuité ? Pour le découvrir, j’ai reçu Vincent Blanchard, conservateur des collections de l’Anatolie et de l’Antiquité tardive du département des Antiquités Orientales du Louvre, et spécialiste en hittitologie, et plus particulièrement des royaumes néo-hittites et araméens, qui ont succédé à l’Empire hittite, et dont on va parler aujourd’hui. Je vous propose donc sans plus attendre de partir à la découverte de leur histoire, de leur fonctionnement, des écritures qui y étaient utilisées, ou encore de leur religion. Bref, un voyage qui s’annonce passionnant, je vous souhaite donc une bonne écoute sur Nota Bene ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Mes chers camarades, bien le bonjour ! Il y a quelques temps sur le podcast, on découvrait avec Alice Mouton les Hittites, qui étaient une civilisation majeure de l’Antiquité, rivalisant avec l’Égypte des Ramsès, et pourtant que l’on connaît assez peu en France. Et si on connaît assez peu l’Empire hittite, je ne vous cache pas que pour les royaumes qui lui ont succédé, les royaumes néo-hittites et araméens, c’est pire ! Alors pour tenter d’inverser un petit peu la tendance, j’ai reçu dans un nouvel entretien historique Vincent Blanchard, un spécialiste de ces royaumes. On reviendra ensemble dans quelques jours sur leur histoire, quand l’entretien complet sera disponible sur le podcast. Mais en attendant, je vous propose d’écouter Vincent, pour qu’il nous explique pourquoi on les connaît aussi peu. Et d’ailleurs, grâce à quoi les connaît on aujourd’hui ? Je vous laisse le découvrir… Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Mes chers camarades, bien le bonjour !Du 16e au 19e siècle, l’Europe a eu un sacré coup de froid. Comme les chercheurs du 20e siècle aimaient bien s’amuser, ils l’ont surnommé : “le Petit Âge Glaciaire”. Ça fait genre les mammouths, les rhinocéros laineux, les hommes des cavernes… bref, c’est marrant ! Ils avaient pas prévu qu’au 21e siècle, certains prendraient ça au sérieux, pour nier le réchauffement climatique. Ce qui est complètement absurde, parce que 300 ans, sur un continent, c’est pas du tout à l’échelle d’une vraie ère glaciaire ! Mais bon, il a quand même vraiment fait froid, alors autant nous amuser à notre tour : on va plonger dans le passé, pour voir comment ça caillait à l’époque !Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Mes chers camarades, bien le bonjour ! Aujourd’hui nous découvrons que la Première Guerre mondiale, malgré toutes ses horreurs, a permis des progrès, notamment dans le domaine médical, avec la solution de Dakin ! Cette petite bouteille qu’on peut voir un peu partout, car on l’utilise au quotidien pour désinfecter les bobos, est un antiseptique hyper commun, mais sa recette n’a pas évolué depuis cent ans !Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Mes chers camarades, bien le bonjour ! Avez-vous déjà vu le film “Kingdom of Heaven” ? Son intrigue se déroule vers la fin du XIIe siècle, dans le Royaume de Jérusalem, autrement appelé “États latins d’Orient”. Mais dans la réalité historique, comment ces États se sont-ils formés après la première croisade ? Quelle est leur histoire, et comment des nobles venus d’Europe occidentale sont-ils parvenus à imposer leur domination sur des territoires qui leurs étaient pourtant inconnus pendant près de deux siècles ? Pour en savoir plus, j’ai reçu dans un nouvel entretien historique Florian Besson, un historien médiéviste spécialiste des États latins d’Orient et des pratiques du pouvoir de son aristocratie. Alors trêve de bavardages, c’est parti pour découvrir avec Florian tous les rouages du fonctionnement de ces États. Je vous souhaite une bonne écoute sur Nota Bene ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Mes chers camarades, bien le bonjour ! De 1095 à 1099 eut lieu la première croisade. Mais une fois celle-ci terminée, que s’est-il passé ? Eh bien une partie des croisés sont restés sur place, pour créer ce qu’on a appelé plus tard les États latins d’Orient. Et pour ce faire, ils ont utilisé des stratégies de pouvoir venant tout droit d’Europe occidentale, par exemple pour le partage des territoires avec la création de fiefs. Mais dans les faits, est-ce que tout s’est bien passé pour eux ? Pour le découvrir, je vous propose d’écouter la réponse de Florian Besson, un spécialiste des États latins d’Orient. Il est récemment venu nous parler plus globalement de l’histoire de ces États et des pratiques de pouvoir de sa noblesse dans un nouvel entretien historique. Ce sera disponible d’ici quelques jours sur le podcast, alors en attendant je vous souhaite une bonne écoute sur Nota Bene ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Mes chers camarades, bien le bonjour !L’empire colonial anglais a été gigantesque, et encore aujourd'hui, le roi d’Angleterre a 15 couronnes de royaumes autonomes, mais tous membres d’une alliance commerciale : le Commonwealth. Alors comment les Anglais ont-ils dominé la planète ? Et surtout, pourquoi fonder un état aussi grand, "l'empire où le soleil ne se couche jamais”, comme on disait à l’époque ? Je vous propose de comprendre l’empire à travers un cas particulier : l’Inde. C’est aujourd'hui une république, mais autrefois la reine d’Angleterre Victoria a été proclamée à Delhi en 1877 « impératrice des Indes ». Avec 200 ans de présence britannique là-bas, il y a toute une histoire à découvrir ! Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.