L'œil de Philippe Caverivière

Chaque dimanche, découvrez une archive de Philippe Caverivière. Arrivé à RTL Soir en 2019, l'humoriste tenait une chronique tous les mercredi, au micro de Thomas Sotto.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans cette compilation, l'humoriste aborde des sujets captivants avec des experts. Il lance un blind test hilarant sur les réformes militaires avec le général Desportes. Les discussions sur l'espionnage révèlent des chroniques étonnantes, comme celle d'un ambassadeur français charmé par une danseuse. Philippe émet des réflexions ironiques sur la médiatisation de la guerre et évoque les relations tumultueuses entre Trump et Poutine. Il rappelle également les invasions historiques de la France, tout en dressant un portrait amusant des enjeux géopolitiques actuels.

Dans cet épisode, Philippe Caverivière et Sébastien Chenu plongent dans l'ambiance sarcastique de l'Assemblée nationale, moquant les députés et leurs situations cocasses. Chenu critique les mesures hésitantes du Premier ministre Sébastien Lecornu. Ils discutent également des problèmes judiciaires touchant le Rassemblement National, notamment concernant un maire. Enfin, Philippe aborde avec humour l'attribution de plus de 8000 visas étudiants à des Algériens, ajoutant une note ironique à la politique actuelle.

Philippe Caverivière se lance dans une série de blagues sur Yom Kippour, tout en partageant des anecdotes autobiographiques. Il évoque avec humour le rajeunissement et les subtilités de la 'prime rénov'. La garde à vue de Gérard Miller est abordée avec un ton provocateur, soulevant une réflexion sur la fréquence des affaires d'hommes portant le même prénom. En parlant du procès Jubilard, il manie ironie et légèreté sur les témoignages. Caverivière clôt son intervention par des remarques spirituelles empreintes de comédie.

Philippe Caverivière accueille Michel Picon pour discuter de l'U2P et son rôle face au MEDEF. Ils explorent l'importance des commerces de proximité et les multiples fonctions des artisans. Avec humour, Philippe partage des anecdotes sur les petites entreprises, y compris des salons de massage. Il s'amuse aussi à critiquer les noms de lieux publics en utilisant des exemples cocasses. Enfin, un jeu interactif teste les connaissances des auditeurs sur des phrases médiatiques récentes.

Philippe aborde octobre avec humour noir, le décrivant comme un mois morose. La Fashion Week devient le sujet de plaisanteries sur l'exclusion sociale, tandis qu'il commente le plan de paix de Donald Trump avec ironie. Il évoque les excuses d'Israël avec une comparaison comique et critique le refus de Trump d'accepter un Nobel en se moquant de son attitude. La tendance des jeunes à manger seuls au restaurant suscite des rires, tout comme ses anecdotes sur des photos et messages privés indésirables. Un mélange savoureux de satire et de légèreté!

Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 30 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 30 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Philippe Caverivière accueille Jean-François Bonner pour une discussion captivante sur le parquet national financier et ses efforts contre la corruption. Ils révèlent des chiffres impressionnants, mentionnant la récupération de 12 milliards en dix ans. La condamnation de Nicolas Sarkozy suscite des échanges piquants, avec des réflexions satiriques sur l'idée d'un président derrière les barreaux. La conversation s'étend aux financements de campagne et à leurs implications politiques, tout en questionnant l'équilibre entre justice et pouvoir.

Philippe Caverivière démarre avec une revue d'actualité matinale pleine d'humour. Il taquine Nicolas Sarkozy sur ses mésaventures au Parc des Princes, tandis que l'affaire Carla Bruni suscite des rires avec ses conséquences inattendues. Le ton humoristique se poursuit avec la lenteur de la formation du gouvernement de Sébastien Lecornu et la nomination de Jean Castex à la SNCF, où son image populaire est mise en question. Pour conclure, il annonce un concert au profit de l'Institut du cerveau, promettant une soirée mémorable.