Le Panier

Laurent Kretz | Orso Media
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Feb 9, 2021 • 41min

#78 Catch-up Livementor : Devenir un media de référence sur sa verticale produit

“Notre vision est de créer un endroit où tu peux trouver de l’aide, de l’inspiration et des conseils concrets à n’importe quel moment de ta création d’entreprise.”Dans ce nouveau Catch-Up, Laurent Kretz, revient avec un invité du Panier sur sa croissance et le chemin qu’il a parcouru depuis son 1er passage dans le podcast.En juillet 2019, dans l’épisode 8, Alexandre Dana, le fondateur de Livementor, m’expliquait les 3 challenges auxquels la plateforme de formation en ligne était confrontée. Alexandre me livrait aussi son ambition de publier un livre pour faire connaître Livementor et ses valeurs. Aujourd’hui, Laurent l’a reçu pour faire le point et comprendre pourquoi, désormais, ils ont créé un média en parallèle de leurs activités.Un an et demi après son premier passage sur Le Panier, Alexandre nous raconte pourquoi ils ont créé Odyssées d’entrepreneurs, un magazine pour compléter leur activité de formation en ligne. En parallèle, Alexandre a publié son premier livre et pense déjà aux suivants. Et le résultat est au rendez-vous ! Son livre a réuni plus de 8000 lecteurs et son magazine compte plus de 3500 abonnés en accord avec leurs valeurs.Pour nous, il prend le temps de revenir sur les clefs de ce succès et tous les enseignements qu’il a tirés depuis le début. A savoir : # Même si un magazine n’est pas toujours rentable, c’est un bon moyen d’inspirer des futurs clients bien avant qu’ils ne s’inscrivent sur la plateforme de formation en ligne. # Écrire un livre peut avoir plus d’impact que de diffuser une publicité à la télévision. Les lecteurs seront forcément en accord avec les valeurs de la marque, les téléspectateurs pas toujours. # Pour rester maître de son destin, il faut parfois éviter de réaliser autant de levées de fond que possible. # Il faut toujours rester un obsessionnel de la qualité, même des années après le lancement de sa marque.Ils ont également parlé d’un ancien épisode du Panier :#64 - Les Impertinentes : Digitalisation et accélération pour un retailer indépendantPour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous à la newsletter. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Feb 5, 2021 • 1h 15min

#77 - Japhy : Séduire les Pet Parents et faire 10M€ de CA en 3 ans

“Aujourd’hui on identifie 3 facteurs qui poussent les clients à venir chez Japhy : la qualité de croquettes saines et naturelles, la personnalisation et enfin le made in France qui est très attrayant.”François Puigsarbé, le nouvel invité du Panier, est le cofondateur de Japhy, une marque de croquettes 100% naturelles, saines et personnalisées selon les besoins de votre chien. Lancé en 2018 avec Thomas Chabrier, son associé de toujours, Japhy ne cesse de séduire de plus en plus de pet parents. Seulement 3 ans après le lancement ils sont parvenus à réaliser 6 millions d’euros de chiffre d’affaires en année 3, livrer presque 5 millions de repas et lever 8 millions d’euros pour continuer à développer leur projet. Et ce n’est pas prêt de s’arrêter ! L’objectif de 2021 ? Continuer à se développer très vite en proposant toujours plus de références produits.“Il vaut mieux aller trop tard que trop tôt sur le marché international pour ne pas se de-focus de son business national.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur ce qui a amené François et Thomas à créer Japhy alors qu’ils étaient encore sur les bancs d’HEC et d’Audencia. François Puigsarbé explique comment ils ont analysé le marché et leurs cibles pour proposer des produits très spécifiques et bon pour la santé de nos petits compagnons à quatre pattes. Ils abordent ensuite la question de la vente offline qui demandera d’adapter les produits avant de les commercialiser en magasins. Enfin, François se livre sur leurs enjeux à venir : proposer la vente à l’international, acquérir toujours plus de clients grâce aux réseaux sociaux etc. et peut-être, un jour, le développement de croquettes pour chats. Affaire à suivre.Ils ont également parlé d’anciens épisodes du Panier :#74 - Feed : L’enjeu d’une scale-up – Donner du sens pour accélérer à l’international#76 - Petit Cube : Peut-on encore tout gérer en interne ?Catch-up #3 – Wopilo – Patience, RP et TV : la méthode de Wopilo pour construire sa marque dans le temps Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Jan 29, 2021 • 1h 11min

#76 - Petit Cube : Peut-on encore tout gérer en interne ?

“On fait quasiment tout en interne. C’est la meilleure façon pour nous de porter le projet, parce que ça permet de gérer au mieux la qualité, le suivi et c’est un mode de fonctionnement qui assure une marge plus intéressante.” Cyril Valtat est le nouvel invité du Panier. En juin 2017, il a cofondé avec son ami Benjamin Jubé le Petit Cube, une entreprise qui propose d’offrir des cadeaux personnalisés qui ont pour objectif d’émouvoir les heureux bénéficiaires. Le pari de Petit Cube, c’est de miser sur l’ultra personnalisation : le cadeau à l’intérieur, la forme spéciale du cube qui dévoile photos et textes choisies pour l’occasion, tout est pensé pour toucher son destinataire. Et ça marche ! Sur les 12 derniers mois Petit Cube, c’est 1,8 millions de chiffres d’affaires et pas moins de 66 000 commandes passées.  “Un de nos défauts dont on s’est rendus compte assez tardivement, c’est d’avoir opté pour une stratégie qui mettait plus l’accent sur l’attraction de nouveaux clients et qui délaissait parfois la pérennisation des relations avec les clients déjà existants " Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur la création de la boîte qui s’est faite en un temps record, et sur ce choix du 100% interne pour lequel les fondateurs ont opté depuis le début de l’aventure, jusqu’à construire eux-mêmes leur plateforme de marque. Cyril aborde le sujet de la diversification des canaux d’acquisition et fait part des différents axes d’amélioration sur lesquels Petit Cube travaille en ce moment-même, notamment la gestion de la relation client. Il évoque également les ambitions d’internationalisation de l’entreprise et les différents critères sur lesquels ils s’appuient pour décider des pays vers lesquels ils souhaitent s’orienter. Enfin, Cyril se livre sur les objectifs de l'entreprise pour les années à venir mais aussi, de manière plus personnelle, sur la vision du travail chez Petit Cube. Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Jan 22, 2021 • 1h 12min

#75 - D+ For Care : Suivre ses convictions et “make it happen”

“L’objectif de D+ For Care est d’accompagner les clients sur des problématiques globales du quotidien (beauté, stress, sommeil, règles ).”Claire Despagne, la nouvelle invitée du Panier, est la fondatrice de D+ For Care, une marque de compléments alimentaires 100% naturels et made in France. Lorsqu’elle s’est lancée en avril 2018, Claire ne proposait qu’un seul produit, le Day+. Aujourd’hui, elle en propose sept, tous sous des formes différentes pour s’adapter à tous les besoins. Et ça plaît ! Lorsque de D+ For Care a sorti son deuxième produit, en mai 2020, les compteurs ont explosé : sur les 10 premières heures, une commande était réalisée toutes les 30 secondes. Preuve que la clientèle est rapidement devenue adepte de ces compléments alimentaires naturels.“Si tu as une conviction, que tu sais à quoi tu veux que ton produit ressemble, essaie de t’y tenir et va au bout de ton idée.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur le parcours de Claire et toute la genèse de D+ For Care ; elle raconte notamment comment elle a décidé de lancer sa propre marque de compléments alimentaires. Elle explique comment sont pensés tous les produits, leur efficacité à leur galénique (c’est-à-dire l’aspect du produit : poudre, spray, etc.) et revient sur l’importance d’avoir des points de vente physiques. Claire délivre de précieux conseils lorsque l’on souhaite lancer son propre produit. Se tenir à ses convictions, se concentrer sur le produit en lui-même et se faire confiance, sont les plus mots d’ordre que Claire s’était fixés. Et ça a payé !Et comme si ça ne suffisait pas, Claire Despagne nous livre ses chiffres et les outils qu’elle utilise au quotidien comme Shopify, Recharge ou Klaviyo. Ils ont également parlé d’anciens épisodes du Panier :#39 – Respire : Bonnes pratiques et croissance organique pour séduire 50 000 clients en 1 anCatch-up #3 – Wopilo – Patience, RP et TV : la méthode de Wopilo pour construire sa marque dans le temps Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Jan 15, 2021 • 44min

#74 - Feed : L’enjeu d’une scale-up - Donner du sens pour accélérer à l’international

“La mission de Feed est d’aider les gens à dépasser leurs objectifs grâce à la nutrition.”Anthony Bourbon, le nouvel invité du Panier, est le fondateur de Feed, une marque de nutrition qui veut aider les consommateurs à atteindre leurs objectifs personnels. La particularité de Feed ? Tous leurs repas tiennent dans une bouteille. En trois mots, Feed c’est : équilibré, pratique et nomade. Une grande première. Et ça plaît aux plus pressés d’entre nous ! Créé en 2017, Feed est aujourd’hui distribué dans plus de 5000 points de vente. En bonus ? Feed a lancé sa propre fondation, Feedback, pour aider les petits entrepreneurs à se lancer.“Aujourd’hui, on se rend compte que la GMS est compliquée à exécuter contrairement au online qui permet d’envoyer des ads à 400 000 personnes instantanément.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur le parcours d’Anthony et les raisons qui l’ont amenées à lancer Feed. Anthony explique également toute l’évolution de la communication de Feed qui, aujourd’hui, propose “d’aider les gens  à atteindre leurs objectifs personnels” en leur offrant plus de temps, en leur proposant des repas complets, etc. Anthony met également en lumière le projet de sa fondation Feedback qui veut aider ceux qui, comme lui, ne sont partis de rien et à qui on ferme trop souvent les portes. Il revient aussi sur leur choix de distribuer en GMS et ce qu’ils en retiennent 3 ans plus tard. Si les GMS leur ont permis de bien faire connaître leurs produits, le online reste aujourd’hui beaucoup plus simple est moins chronophage à utiliser. Enfin, Anthony expose toutes les valeurs qu’il veut transmettre avec Feed en aidant chacun à réaliser son rêve. Ils ont également parlé d’un ancien épisode de Génération Do It Yourself :#101 Anthony Bourbon – FEED – L’avenir de la nourriture est-il liquide ou en barre ? Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Jan 12, 2021 • 40min

#73 Catch-up Wopilo - Patience, RP et TV : la méthode de Wopilo pour construire sa marque dans le temps

“L’expérience client se joue avant, pendant et jusqu’à deux ou trois ans après l’achat. Donc il faut toujours conserver une proximité avec ses clients.”Dans ce nouveau Catch-Up, Laurent Kretz, revient avec un invité du Panier sur sa croissance et le chemin qu’il a parcouru depuis son 1er passage dans le podcast il y a plus d’un an.En juillet 2019, dans l’épisode 7 du Panier, Florian Deveaux, Chief Marketing Officer de Wopilo, expliquait toutes les ambitions de cette marque française d’oreiller innovant. Aujourd’hui, j’ai reçu Thomas Hervet, le fondateur de Wopilo, pour faire le point sur la croissance de cette jolie marque. Surtout depuis l’épisode du confinement qui a eu un impact extrêmement positif sur leur business. Plus d’un an après, Wopilo a été élu “Produit de l’année” deux années consécutives, a lancé du linge de lit écoconçu, une couette, une gamme enfant, et a profité de la baisse des prix de la publicité télévisuelle pour assoir sa notoriété. Et ça marche ! Avec presque 4 000 avis clients, ils ont vendu plus de 50 000 produits et ont multiplié leur chiffre d’affaires par trois en 1 an. Rien que ça.Pour nous, il prend le temps de revenir sur les clefs de ce succès et tous les enseignements qu’il a tirés depuis le début. A savoir : # Leurs publicités télé leur ont permis de compenser tout le CA qu’il y avait investi et d’augmenter leur CA durablement de 15 à 20 points. Un vrai bon point pour assoir son image de marque donc. # L’objectif des DNVB n’est plus de se livrer à une course à la croissance mais à une course à la rentabilité. Et pour ça, un élément majeur : répondre à ses clients et améliorer leur expérience avant, pendant et après leur achat. # Les relations-presse demandent du temps mais sont un véritable atout pour acquérir de nouveaux clients.Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous à la newsletter. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Jan 8, 2021 • 1h 12min

#72 - Colizey : Comment relever le challenge complexe des marketplaces spécialisées ?

“Les achats sportifs sont des achats émotionnels. Aujourd’hui la frontière avec la mode est de plus en plus fine.”Maxime Maffini-Scialom, le nouvel invité du Panier, est le cofondateur de Colizey, une marketplace spécialisée dans le sport. Sa particularité ? Elle offre de la visibilité aux marques hyperspécialisées tout en vendant des marques bien plus globales. Lancé en mars 2019, Colizey recense aujourd’hui plus de 120 000 références dans 27 sports différents. Et l’aventure ne fait que commencer. Prochain objectif ? Réaliser 12 millions de chiffres d’affaires annuels dès l’année prochaine.“On aurait peut-être pu comprendre plus vite qu’il est important de choisir ses batailles. Au début on essayait d’intégrer des marchands sur toutes les verticales et au fur et à mesure, on a choisi de se spécialiser un minimum.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils reviennent sur la genèse du projet de Colizey qui entend répondre à une double demande : celle des boutiques physiques qui ont besoin d’une présence digitale et celle des e-commerçants qui cherchent de nouveaux canaux d’acquisition. Maxime explique comment ils sont parvenus à acquérir le soutien de Tony Parker et ont ainsi pu bénéficier de son réseau et de ses compétences sans toutefois l’utiliser comme un “homme sandwich”. Il raconte également l’importance qu’ils donnent à leurs marchands partenaires qui forment la “famille Colisey”. Ils prennent soin de les appeler régulièrement en s’assurant qu’ils n’ont pas de besoins supplémentaires et en répondant à toutes leurs demandes. Enfin, Maxime Maffini-Scialom met en lumière l’importance de Google Shopping dans leur business et se livre sur leurs ambitions pour les années à venir.Merci à Alexis Gouraud pour l’introduction !Ils ont également parlé d’anciens épisodes du Panier :#29 – Shapeheart : Youtube, Amazon et influence : la recette pour optimiser son lancement#68 - ProBikeShop : Oser être un spécialiste et faire 100M€ de CA en 2020 Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Dec 18, 2020 • 1h 6min

#71 - OPPI : Des jouets en bois pour développer la créativité des enfants

“Dès le début, on a pensé le produit avec une équipe de spécialistes (pédopsychiatres, ergothérapeutes, professeurs d’écoles etc.) avec l’objectif d’aider les enfants au quotidien grâce au jeu.”Bastien Schloupt, le nouvel invité du Panier, est le cofondateur de OPPI, une marque qui développe des jouets éducatifs pour les enfants. Début 2018, Bastien et son frère Hansel ont l’idée de créer des jeux de construction qui favorisent la concentration des enfants. L’objectif ? Détourner les enfants des écrans tout en favorisant leur motricité. Seulement deux ans après le lancement de Piks, OPPI réalise un chiffre d’affaires de 500k euros, soit 25% de plus que ce qu’ils avaient envisagé. Une belle première ! Et l’histoire ne fait que commencer...“Participer à des salons permet de se rendre visible tout en testant son produit auprès du  consommateur final.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils racontent toute la genèse du projet : de la création des prototypes des jouets à la confection de la première production. Bastien revient ensuite sur les différents salons et concours auxquels ils ont participé dès le début, pendant leur campagne de crowdfunding. Il met en lumière l’importance des salons pour rendre sa marque visible. Sur les quarante précommandes de jouets effectuées durant leur campagne Kickstarter,  plus de la moitié est issue des salons. Peu après la sortie de leur première production, en 2019, ils participent au Concours Lépine et remportent la médaille d’Or. Bastien retrace enfin leur volonté de prendre un virage B2B qui leur permet désormais d’être distribués chez Nature&Découvertes, Cultura, la Fnac, Bonhomme de Bois ou encore Oxybul. Et pour clore cet épisode en beauté, il se confie sur leurs ambitions pour 2021 qui verra naître un tout nouveau jouet et continuera d’assoir la notoriété d’OPPI à l’international.  Merci à Jacques Masson de Sodilog d’avoir permis cette rencontre. Ils ont également parlé d’anciens épisodes du Panier :#12 – Lunii : De 0 à 20 millions d’euros en 3 ans, une belle histoire d’hyper-croissance#31 – Morphée : 500 000 € de vente dans les 2 premiers mois#33 – Les Mini Mondes : Comment vendre des jouets sur Linkedin ?#67 - Sodilog : Écueils opérationnels à éviter en scale-up pour rester maître à bord Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Dec 11, 2020 • 1h 12min

#70 - EPC : Pizza-blidas, comment désacraliser le rituel champagne ?

“On a réalisé des études consommateurs avant de lancer notre marque. On s’est rendu compte qu’il y avait plusieurs barrières à l’achat de champagne aujourd’hui : le côté sacralisé, le côté poussiéreux et le fait qu’on ne sache pas de quoi est fait le champagne.”Camille Jullien et Edouard Roy, les nouveaux invités du Panier, sont deux des trois cofondateurs d’EPC, une startup de champagne qui veut dépoussiérer la tradition autour de ce vin. Lancé il y a tout juste un an, la marque fait preuve d’une communication innovante et désacralise le champagne en le buvant dans des blidas. Et ça plaît ! En à peine 5 mois après leur lancement, ils ont réalisé plus d’un million de chiffre d’affaires et devraient tripler ce chiffre cette année. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien que leur projet a séduit Xavier Niel ou Cédric Siré, fondateur de Webédia, qui ont tous deux investi dans le projet à ses débuts. Leur ambition pour les années à venir ? Assoir leur notoriété et proposer de plus en plus de produits à leurs consommateurs.“Aujourd’hui le consommateur veut savoir ce qu’il boit, d’où ça vient etc. EPC s’inscrit dans ce narratif : on a un modèle éthiquement viable qui offre une histoire et une traçabilité totale au consommateur.”Avec Laurent Kretz, fondateur de CosaVostra, ils expliquent tout le processus de création d’une marque de champagne. Des entretiens qualitatifs et quantitatifs au test du nom auprès de leurs amis en passant par l’idée d’ajouter une pastille thermosensible sur la bouteille pour indiquer le meilleur moment pour la consommer, rien n’a été laissé au hasard. Camille et Edouard reviennent également sur le choix de leur communication osée et décalée qui modernise notre vision du champagne. Bouteille gravée “Veux-tu être mon ex ?”, photo qui allie champagne et pizza… tout a pour objectif de désacraliser cette marque qui peut être bûe à toutes les occasions. Enfin, ils expliquent leur stratégie de distribution qu’ils ont voulu omnicanale dès le départ pour tester différentes stratégies.  Ils ont également parlé d’un ancien épisode du Panier :#28 – Le Petit Ballon : 1,5 millions de bouteilles vendues sans pub Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous également à la newsletter ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Dec 8, 2020 • 41min

#69 Catch-up The Bradery - Multiplier son CA par 10 en un an

“On prend ce que tout le monde fait de mieux pour en faire notre propre cocktail.”Dans ce nouveau Catch-Up, Laurent Kretz revient avec un invité du Panier sur sa croissance et le chemin qu’il a parcouru depuis son 1er passage dans le podcast il y a bientôt un an.En janvier 2020, dans l’épisode 25 du Panier, Edouard Caraco, cofondateur de The Bradery expliquait comment, alors qu’il avait réalisé un chiffre d'affaires de 1,2 million en 2019, il comptait bien le multiplier par 10 pour célébrer cette nouvelle décennie. Il était ambitieux. Un peu en mode “all in”. Et pourtant… Presqu’un an plus tard, le cofondateur de cette startup qui déstocke, lors de ventes éphémères, les plus grandes marques de luxe, devrait passer la barre des 12 millions de CA (dont 1,5 million seulement en 4h lors d’une vente récente). Et si ça ne suffisait pas, cette start-up “born and raised on Instagram” a aussi vu son nombre d’abonnés Instagram exploser de manière insolente - on parle de 200 000 followers en quelques mois ! Comme il est vraiment sympa, Édouard vous explique en 30 minutes comment lui et son associé ont réussi ce tour de force. Notamment : en se reposant entièrement sur Shopify - chez The Bradery, personne ne sait coder !en continuant d’investir massivement Instagram ;en en réussissant à saisir l’opportunité présentée par le Covid-19 qui leur a permis d’accéder plus rapidement à de plus belles marques ; en liant des contacts avec des influenceuses, dont une certaine Léna Situations (n’en déplaise à Frédéric Beigbeder). Pour découvrir tout ça, c’est par ici si vous préférez iTunes, par là si vous préférez Deezer ou encore ici si vous préférez Spotify.Abonnez-vous à la newsletter. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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