Mansplaining

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Sep 2, 2020 • 15min

Les hommes méritent-ils qu'on les déteste?

«Moi, les hommes, je les déteste»: dans son livre paru fin août, Pauline Harmange n'y va pas par quatre chemins, assumant pleinement une misandrie qui ne vient pas de nulle part. Mais que cache cette haine ou ce mépris des hommes? Les femmes veulent-elles éradiquer tous les mâles à grands coups de sécateur? Pour démarrer cette saison 3, laissons la parole aux misandres.Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d'actualité. Parce que la parole masculine est dominante, sauf lorsqu'il s'agit d'interroger les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l'exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram (retrouvez-y aussi le compte de Mansplaining). Références:Pauline Harmange, Moi, les hommes, je les déteste, Monstrograph, 2020Rey-Robert, Le sexisme, une affaire d’hommes, Libertalia, 2020Valerie Solanas, SCUM Manifesto, Mille et une nuits, 1967 (réédition 2005)SOS Fantômes (Paul Feig, 2016)The Misandrists (Bruce LaBruce, 2017)Musique: «Warm Sea», Savvier Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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Aug 12, 2020 • 14min

Hors-série d'été: faut-il du courage pour être un homme?

Ce second épisode hors-série estival de Mansplaining est l'occasion de célébrer le vingtième anniversaire d'un formidable thriller psychologique, doublé d'une étude remarquable sur la masculinité hégémonique : Harry, un ami qui vous veut du bien, le film de Dominik Moll. Un épisode garanti sans spoilers.Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d'actualité. Parce que la parole masculine est dominante, sauf lorsqu'il s'agit d'interroger les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l'exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram (retrouvez-y aussi le compte de Mansplaining). Références:«Masculinités, colonialité et néolibéralisme. Entretien avec Raewyn Connell», Contretemps, 10 septembre 2013«Les nouveaux pères ne sont pas des gens fabuleux», Slate.fr, 14 juin 2014 «De journaliste à skipper, il raconte son changement de vie», Brut/FranceTV info, 31 octobre 2019Harry, un ami qui vous veut du bien (Dominik Moll, 2000) Musique: «Warm Sea», Savvier Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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Jul 15, 2020 • 11min

Hors-sérié d’été: trois sorties ciné qui explorent d'autres masculinités

Pour ce premier épisode hors-série, Thomas Messias vous conseille trois films sortis dans les salles début juillet. Des longs métrages qui se penchent sur des masculinités insuffisamment explorées au cinéma. De François Ozon à Jean-Pascal Zadi en passant par Marco Berger, profitez de Mansplaining pour reprendre goût aux salles obscures… si ce n'est pas déjà fait.Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d'actualité. Parce que la parole masculine est dominante, sauf lorsqu'il s'agit d'interroger les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l'exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram (retrouvez-y aussi le compte de Mansplaining). Références:Été 85 (François Ozon, 2020)Le Colocataire (Marco Berger, 2020) Tout simplement noir (Jean-Pascal Zadi & John Wax, 2020)Une nouvelle amie (François Ozon, 2014) Call me by your name (Luca Guadagino, 2017)Les Chansons d’amour (Christophe Honoré, 2007)Plaire, aimer et courir vite (Christophe Honoré, 2018) «Macron proclame l'égalité homme-femme, grande cause du quinquennat», Agnès Leclair, Le Figaro.fr, 24 novembre 2017Musique: «Warm Sea», Savvier Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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Jun 24, 2020 • 15min

Petit pénis, le gros complexe des hommes cis

Rocco Siffredi et Dirk Diggler étant souvent érigés en héros, les personnes moins bien membrées ont parfois tendance à complexer, à se penser inaptes pour l'amour et le sexe, à être l'objet de moqueries diverses et variées. Pour clore cette deuxième saison de Mansplaining, partons au pays des petits pénis pour observer quelle peut être l'influence de mensurations modestes sur les existences des personnes concernées.Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d'actualité. Parce que la parole masculine est dominante, sauf lorsqu'il s'agit d'interroger les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l'exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram (retrouvez-y aussi le compte de Mansplaining). Pour échanger et découvrir de nouveaux podcasts, rejoignez le Slate Podcast Club sur Facebook.Références:Unhung Hero (Brian Spitz, 2013), disponible en DVD Zone 1Very bad trip (Todd Phillips, 2009)Maïa Mazaurette, «Pour atteindre l'orgasme féminin, arrêtez la pénétration», Le Monde.frMaïa Mazaurette, «Faire jouir une femme: une science… presque exacte», Le Monde.frLitenpenis (Stian Hafstad, 2010)Martin Page, Au-delà de la pénétration, Le Nouvel Attila, 2019Endiablé (Harold Ramis, 2000) en DVD Zone 110 bonnes raisons de te larguer (Gil Junger, 1999)Bowfinger, roi d'Hollywood (Frank Oz, 1999), disponible en DVD Zone 2Le Austin Powers (Jay Roach, 1997) The Adam Carolla Show, ép. 93, Ken JeongLinh Pham, Pénis : allez, on agrandit!, Le Journal de mon corpsFrédérique Deschamps, Pour quelques centimètres de plus, Liberation.frLa blague du jour de Jean-Marie Bigard, Les Grosses Têtes, 25 janvier 2017Musique: «Warm Sea», Savvier Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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Jun 10, 2020 • 21min

Bedos, Dabadie… les hommes des années 1970 iront-ils «tous au paradis»?

En quelques jours, on a appris les disparitions de Jean-Loup Dabadie et Guy Bedos. Auteur polyvalent, le premier avait notamment écrit les scénarios de Un éléphant ça trompe énormément et Nous irons tous au paradis, comédies célébrant l'amitié masculine dans lesquelles jouaient le second. L'occasion de leur rendre hommage en se penchant sur la façon dont les hommes étaient dépeints ces succès des années 1970.Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d'actualité. Parce que la parole masculine est dominante, sauf lorsqu'il s'agit d'interroger les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l'exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram (retrouvez-y aussi le compte de Mansplaining). Références:Un éléphant, ça trompe énormément (Yves Robert, 1976)Nous irons tous au paradis (Yves Robert, 1977)Courage, fuyons (Yves Robert, 1979)Le Mari de la coiffeuse (Patrice Leconte, 1990)«Les femmes de plus en plus infidèles, mais toujours moins que les hommes», Le Monde«Lumière 2016: "Un éléphant ça trompe énormément", 40 ans d'une comédie culte», France TV Info«Quand Jean-Loup Dabadie nous racontait "Un éléphant ça trompe énormément"», TéléObsMusique: «Warm Sea», Savvier Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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May 27, 2020 • 13min

«Papa», laisse pleurer ton fils

Il y a tout juste 15 ans sortait Papa, road movie dans lequel un père (Alain Chabat) et son fils (Martin Combes) traversaient la France dans une Volvo vieillissante. Aujourd'hui encore, le deuxième film de Maurice Barthélémy reste l'une des observations les plus fines et les plus bouleversantes du rapport père-fils qu'il ait été donné de voir. Et bon anniversaire.Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d'actualité. Parce que la parole masculine est dominante, sauf lorsqu'il s'agit d'interroger les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l'exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram (retrouvez-y aussi le compte de Mansplaining). Références:Papa (Maurice Barthélémy, 2005)Niagara, «Soleil d’hiver»Bonhomme, Laurent Sciamma  Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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May 13, 2020 • 15min

«Manic Pixie Dream Girls», femmes extra pour hommes ordinaires

On les croise dans les comédies indépendantes américaines, mais pas seulement: les Manic Pixie Dream Girls, ce sont ces jeunes femmes qui plaisent aux hommes parce qu'elles semblent sortir de l'ordinaire. Ils s'en servent pour redorer leur égo et se sentir plus conquérants. Un stéréotype qui rencontre plus d'une résonance dans la vie réelle…Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d'actualité. Parce que la parole masculine est dominante, sauf lorsqu'il s'agit d'interroger les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l'exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram (retrouvez-y aussi le compte de Mansplaining). Références:Fast (Dante Desarthe, 1995)Le cinquième élément (Luc Besson, 1997)Presque célèbre (Cameron Crowe, 1999)Garden State (Zach Braff, 2004)Rencontres à Elizabethtown (Cameron Crowe, 2005)Première apparition du terme «Manic Pixie Dream Girl»(500) jours ensemble (Marc Webb, 2009)Perdrix (Erwan Le Duc, 2019)Musique: «Warm Sea», Savvier Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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Apr 29, 2020 • 16min

L'homme invisible, un prédateur comme les autres

Frappés par une malédiction ou désireux de tester leurs propres créations scientifiques, les hommes invisibles se transforment parfois en prédateurs de la pire espèce. L'invisibilité, c'est une façon moderne et futée de parler des différentes façons d'envisager sa masculinité et la façon dont on peut choisir d'accepter ou de rejeter la domination masculine…Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d'actualité. Parce que la parole masculine est dominante, sauf lorsqu'il s'agit d'interroger les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l'exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram (retrouvez-y aussi le compte de Mansplaining). Références:Les Aventures d'un homme invisible (John Carpenter, 1992)Mes doubles, ma femme et moi (Harold Ramis, 1996)Hollow Man, l'homme sans ombre (Paul Verhoeven, 2000)Invisible Man (Leigh Whannell, 2019)Paul Verhoeven, Total spectacle (sous la direction d'Axel Cadieux, Playlist Society, 2016)En finir avec la culture du viol (Noémie Renard, Les Petits Matins, 2018)L'Angle mort (Patrick Mario Bernard & Pierre Trividic, 2019)Musique: «Warm Sea», Savvier Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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Apr 15, 2020 • 14min

Le foot féminin peut-il s'affranchir des hommes?

D'Amel Majri à Megan Rapinoe, d'Ada Hegerberg à Lucy Bronze, les grands noms du football féminin se font enfin connaître du grand public. La médiatisation de la dernière Coupe du monde est également un indicateur fort. Mais le foot reste aujourd'hui encore un sport très marqué par des codes masculins, à l'image du regard que le cinéma porte sur lui…Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d'actualité. Parce que la parole masculine est dominante, sauf lorsqu'il s'agit d'interroger les privilèges des hommes.Si vous aimez Mansplaining, pensez à l'exprimer en lui donnant la note maximale sur iTunes et ailleurs, en en parlant autour de vous, et en laissant plein de commentaires bienveillants sur les réseaux sociaux.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram (retrouvez-y aussi le compte de Mansplaining). Références:Joue-la comme Beckham (Gurinder Chadha, 2002)Comme des garçons (Julien Hallard, 2018)Une belle équipe (Mohamed Hamidi, 2019) She’s the man (Andy Fickman, 2006)Hors-jeu (Jafar Panahi, 2005)Musique: «Warm Sea», Savvier Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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Apr 1, 2020 • 14min

Le «female gaze» doit réinventer le cinéma

Le podcast explore le concept du female gaze, soulignant son importance dans la représentation féminine au cinéma. Les intervenants critiquent l'objectivation des femmes et encouragent une narration diversifiée. Il est question de l'initiative Gaze, visant à promouvoir des récits féminins variés, ainsi que de la nécessité d'intégrer des perspectives féminines dans les arts. L'urgence de renouveler les imaginaires cinématographiques est mise en avant, incitant à une réflexion critique sur les représentations dominantes.

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