40 nuances de Next - les champions de la French Tech

FeuilleBlanche Studio
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Jun 21, 2022 • 56min

:61 [NEXT40] Part 1 - Vincent Huguet - Malt : un marché à 42 milliards en France

Se lancer sur un marché très ambitieux et presque trop gros, convaincre des investisseurs, s’inspirer d’Airbnb, se différencier de ses concurrents et transformer ledit marché avec humilité : découvrez le succès de Malt et de son cofondateur Vincent Huguet.       Malt, c’est une plateforme qui adresse la question du marché du travail à travers l’offre des freelances.💵 Le marché des freelances, ça vous parle ? C'est 42 milliards d'euros en France, 355 milliards d'euros en Europe et plus de 600 milliards d'euros aux Etats-Unis.Si la plateforme réussit là où d’autres ont échoué, c’est grâce au travail de terrain qu’effectuent Vincent et son associé Hugo Lassiège. « On a juste raconté notre histoire, où on voulait aller, quelle était justement la différenciation par rapport aux plateformes qui existaient déjà, en rencontrant énormément de freelances. On l’a fait très progressivement. Puis ces personnes ont parlé de nous, etc. donc ça a été vraiment un travail de terrain de convaincre au départ. »Deux étapes phares influent sur la création et la prospérité de l’entreprise :Naissance du statut d’auto-entrepreneur en 2009 en France et dans beaucoup de pays européens ;Hausse du télétravail en 2020, avec l’arrivée du coronavirus, et explosion incroyable des inscriptions sur la plateforme.« En 2021, il y a deux fois plus de nouveaux inscrits par mois et des fonctions qu'on ne voyait pas en freelance arrivent en freelance parce que les gens pensent autrement.»Leur vision hybride séduit aussi bien les freelances, les TPE, les PME que les grands groupes du CAC 40. « Avant, il nous voyait comme un épiphénomène et aujourd’hui, ils nous voient différemment, on est une vraie alternative. 20 à 30% des gens, en particulier dans la tech en Europe, sont en freelance, alors ces grandes boîtes ont compris qu'elles devaient se structurer. Et on fait partie des fournisseurs référencés. »🦄 Devenir licorne ou centaure ? « Centaure, et c’est un gros objectif pour nous », la réponse est sans appel. « Des licornes, il y en 1000 dans le monde, et des centaures, je crois qu’il y en a 150, ça fait six fois moins. C’est plus rare. Et je pense que tu n'es pas forcément centaure, si tu es licorne. En revanche, si tu es centaure, c'est à peu près sûr d'être licorne. »Vincent est proche de sa communauté et est sensible à la thématique de l’isolement. C’est pourquoi Malt organise plus de 300 événements par an, soit eux-mêmes, soit via des ambassadeurs de la communauté. Fédérer leur communauté est essentiel pour les deux fondateurs, « et je pense que ça a été une grande partie du succès aussi de faire se rencontrer les gens entre eux. C'est aussi une manière pour eux de se connecter, de se créer un réseau et de s'apporter mutuellement des leads. »⚖️ L’enjeu pour Vincent : pouvoir accompagner au mieux, quelqu’un qui fait le choix de devenir freelance, pour qu’il réussisse et qu’il n’ait besoin que de se concentrer sur son métier. Avoir le choix est une notion clé de sa façon de manager et de voir la vie.Comment réussir l’internationalisation de son entreprise et créer de la confiance auprès de ses clients, sa position vis-à-vis du remote, sa vision de work-life balance et ce qu’il prônerait en tant que président… Écoutez, dans cette première partie, le fonctionnement de ce futur centaure. Avant de découvrir l’homme derrière l’entrepreneur dans la deuxième partie.À vos écouteurs 🎧Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Jun 21, 2022 • 33min

:61 [NEXT40] Part 2 - Vincent Huguet - Malt : L’humilité, un gage de réussite

Entrepreneur délégant et très humble, Vincent n’a aucun problème d’égo et aime s’entourer de personnes qui savent mieux faire : imprégnez-vous de la philosophie professionnelle et personnelle de Vincent Huguet.Homme à tout faire à ses débuts, malgré lui, Vincent est un entrepreneur qui délègue facilement, il n’arrête pas de recruter meilleur que lui, sur toutes les fonctions et bien souvent, cela surprend. « Je pense qu'il ne faut pas hésiter à faire que les gens se lancent. Je suis quelqu'un qui fait confiance aux gens, qui délègue et qui essaye de recruter des très bons et meilleurs que moi. Je pense que les boîtes qui n’arrivent pas à dépasser un certain niveau parce qu'ils ne font pas cet effort, par question d'ego, de prendre des gens qui vont être très bons en dessous d’eux. »Le fait de déléguer lui permet de se concentrer, d’avoir du temps pour réfléchir. Lui, il n’a pas peur du vide, « le vide est nécessaire, cela permet de se créer des moments de réflexion. » Vincent est ambitieux et pour être avant-gardiste, il a besoin de ces moments. 🗽Autre point important, il prône ardemment la liberté. Il veut que les 450 personnes qui travaillent pour Malt, « se sentent libres. » Quelque part, il doit accepter une certaine forme de chaos au bénéfice de la vitesse. Pour ce faire, il s’inspire des entreprises américaines de la tech qui sont « souvent organisées comme ça. Ils ont plein de petites équipes, qui vont avancer sur des projets un peu concurrentiels, mais au bénéfice de la vitesse globale. »Son rôle évolue chaque année et c’est ça qui le passionne. Il n’hésite pas non plus à faire appel à une coach, avec qui il échange au moins une fois par mois et un peu tout le temps via WhatsApp. 🤔 Le saviez-vous ? Malt n’a pas toujours été Malt. Vous ne le saviez peut-être pas, mais avant novembre 2017, Malt s’appelait Hopwork. Homonyme d’une entreprise américaine, qui évolue aussi autour du freelancing, les deux entreprises sont confondus quotidiennement. « On s’est donc rencontrés, on a beaucoup discuté et on s’est mis d’accord. »Ce changement est finalement très positif. Une belle occasion de communiquer, de se poser, de se demander « on est quoi ? » et de se lâcher !Son énergie positive, il la trouve auprès de sa famille, ses trois enfants et sa femme mexicaine, elle-même entrepreneure. Il l’avoue, devenir papa l’a rendu encore plus humble, « tu te dis que le boulot d’entrepreneur est simple par avoir au boulot de père. C’est une logistique incroyable et quelque part, c’est mon équilibre. »Ultra connecté et addict aux réseaux sociaux, Vincent s’intéresse à de nombreux sujets et qualifie sa façon de s’informer de « chaotique. » Il suit les personnes qu’il trouve inspirantes et auprès de qui il trouve les bonnes informations, et accepte ensuite que « ces informations arrivent de façons déstructurées et de les restructurer derrière dans sa tête. C’est un flux d’informations permanent. »Dès qu’il peut (et surtout dès qu’il a pu), ses weekends sont dédiés à sa famille, « ça te remet les pieds sur terre ». Et ensemble, ils s’évadent dans les montagnes ou les lacs autour de Munich. « Ma femme me pousse à déconnecter le week-end. »Sa carte blanche autour de la créativité, de l’innovation et de l’intuition, les claques de ses investisseurs et sa sélection pour 40 Nuances de Sista… Vous allez trouver l’épisode trop court avec le CEO de Malt.À vos écouteurs 🎧Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Jun 20, 2022 • 2min

[CARTE BLANCHE] Benjamin Gaignault - Ornikar : Que font les boards members ?

La carte blanche c'est l'occasion pour nos invités de partager un coup de gueule, un coup de cœur, un coup de projecteur ou simplement l'exposé de 3ème en sciences naturelles qu'il/elle a toujours voulu partager au plus grand nombre :)Aujourd’hui, on (re)découvre la carte blanche de Benjamin Gaignault qui partage ses interrogations sur la place des boards members.Pour retrouver l’épisode complet de Benjamin c’est par ici 👇Part 1 : Benjamin Gaignault - Ornikar : Du shitstorm des 3 premières années à la scale-up d’aujourd’hui : https://smartlink.ausha.co/40-nuances-de-next/38-part-1-benjamin-gaignault-ornikar-du-shitstorm-des-3-premieres-annees-a-la-scaleup-d-aujourd-hui Part 2 : Benjamin Gaignault - Ornikar : Hacker sa carrière pour réussir vite, et toujours prioriser sa famille :https://smartlink.ausha.co/40-nuances-de-next/38-part-2-benjamin-gaignault-ornikar-hacker-sa-carriere-pour-reussir-vite-et-toujours-prioriser-sa-familleA vos écouteurs 🎧Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Jun 16, 2022 • 1h 45min

:60 [HORS-SERIE] De la création à la licorne : le MBA audio de Frédéric Mazzella - Blablacar

Vous avez la startup et lui a la méthode.La méthode pour scaler, la méthode pour durer, la méthode pour atteindre le fameux statut de licorne.Lui, c’est Frédéric Mazzella le fondateur et Président de Blablacar et l’un de nos tout premiers invités sur 40 nuances de Next.En plein confinement, le tournage s’était réalisé à distance. L’occasion pour nous de faire la connaissance imprévue de son fils, fan d’Asterix, de découvrir ses talents de musicien.Et surtout de découvrir les coulisses de son aventure.Aujourd’hui à Vivatech aux côtés de mes compères Olivier Mathiot et Valérie Spies , on le retrouve non pas pour une redit mais pour un hors-série à l’occasion de la sortie de son livre "Mission Blablacar".Et pour cet hors-série on a une promesse : celle d’aller chercher des conseils ultra-actionnables pour vos business :Se focaliser, convaincre, planifier, la marque, le prix, la confiance, recruter, accélérer, la culture, l'innovation, l'humain, la vue d'ensemble. Vaste programme, la suite vous appartient !A vos écouteurs 🎧Retrouvez son épisode à notre micro 👉 Humaniste cherche co-voitureurs pour parcourir le monde d’aprèsSon livre "Mission Blablacar" ▬▬▬▬▬▬▬▬▬ YOUTUBE ▬▬▬▬▬▬▬▬▬https://www.youtube.com/@feuilleblanchemedia▬▬▬▬▬▬▬▬▬ COMMUNAUTÉ ▬▬▬▬▬▬▬▬▬Pour échanger avec nos invités, participer à nos diners, contactez nous sur uncafe@feuilleblanche.comVous souhaitez devenir partenaire du format ? Laissez nous un message ici https://bit.ly/3Rvri20▬▬▬▬▬▬▬▬▬ LIENS PODCASTS ▬▬▬▬▬▬▬▬▬CASH OUT : https://linktr.ee/cashoutlepodcast40 NUANCES DE NEXT : https://linktr.ee/40nuancesdenext▬▬▬▬▬▬▬▬▬ FEUILLEBLANCHE ▬▬▬▬▬▬▬▬▬AGENCE : https://www.feuilleblanche.com/PRODUCTION DE PODCAST : https://offre.feuilleblanche.com/▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ LINKEDIN ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬FeuilleBlanche : https://www.linkedin.com/company/feuilleblanche▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ PARTENAIRES ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬La French Tech, France Digitale, La Tribune, Maddyness, Le Village by CA.Vous souhaitez devenir partenaire du format ? ⇒ https://bit.ly/3Rvri20Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Jun 14, 2022 • 2min

[CARTE BLANCHE] Franck Lebouchard - Devialet : Ne pas écouter les ronchons

La carte blanche c'est l'occasion pour nos invités de partager un coup de gueule, un coup de cœur, un coup de projecteur ou simplement l'exposé de 3ème en sciences naturelles qu'il/elle a toujours voulu partager au plus grand nombre :)En cette semaine spéciale Vivatech, nous vous proposons de redécouvrir la carte blanche de Franck Lebouchard, CEO de Devialet que nous avions eu plaisir à accueillir à notre micro lors de l'édition précédente : n'écoutez pas les ronchons.Pour retrouver l’épisode complet de Franck c’est par ici 👇Le son de la French Tech qui résonne à travers le monde : https://smartlink.ausha.co/40-nuances-de-next/30-franck-lebouchard-devialet-le-son-de-la-french-tech-qui-resonne-a-travers-le-monde">https://smartlink.ausha.co/40-nuances-de-next/30-franck-lebouchard-devialet-le-son-de-la-french-tech-qui-resonne-a-travers-le-mondeA vos écouteurs 🎧 Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Jun 9, 2022 • 57min

:59 [NEXT40] Part 1 - Rodolphe Ardant - Spendesk : Passer de start-up à licorne en six ans

Passer de start-up à scale-up en six ans, devenir la 26ème licorne française en janvier 2022, lever 260 millions d’euros depuis sa création, réussir à imposer une couleur flashy sur un marché conventionnel par nature et créer soi-même la demande du client : bienvenue dans l’aventure Spendesk et de son cofondateur Rodolphe Ardant.💡 L’idée première de Spendesk ? Faciliter la gestion des paiements en entreprise, à la fois côté collaborateurs via des cartes virtuelles et côté équipes financières via des outils collaboratifs permettant de traiter tous les flux de l’entreprise.Le gros enjeu du projet : convaincre les équipes financières, qui ont l’impression de perdre le contrôle. « La première personne que tu recrutes en finance dans une start-up, la plupart du temps, qu’est-ce qu’elle fait ? Elle coupe l’ensemble des cartes ! »L’essai est transformé : de plus en plus d’utilisateurs utilisent Spendesk et les dépenses augmentent. Dès l’été suivant, leurs services deviennent payants. Vous pensez que c’est un peu trop rapide ?« 97 % de nos utilisateurs nous ont suivi quand on a levé la gratuité »Leur plus gros défi 👉 définir leur marché et créer la demande.« Quand on a commencé à réfléchir, il n’y avait pas de demande. Personne n’était satisfait de la gestion des paiements en entreprise, mais personne ne cherchait réellement de solution. »Le fossé est énorme entre la gestion financière de la vie personnelle et celle en entreprise, très bureaucratique et chronophage. Tout le monde pense « c’est comme ça, dans le contexte professionnel : j'avance de l’argent, puis je fournis un justificatif à la compta pour me faire rembourser. »Rodolphe saisit l’opportunité, puisque « personne n’est satisfait de cette expérience-là. Les entreprises cherchaient des solutions ponctuelles, mais elles n’avaient pas mis en place la décentralisation de leurs moyens de paiement. »Pour une équipe financière traditionnelle, tout est centralisé, tout est sous contrôle, au détriment de l’agilité des équipes opérationnelles car tout prend beaucoup de temps.« Nos équipes financières nous le disent, elles gagnent une semaine par mois de traitement opérationnel. »Le mauvais conseil pour un entrepreneur ? Faire une étude de marché complète et un business plan sur 5 ans. Pour Rodolphe, le focus de l’entrepreneur doit être ailleurs. « Premièrement, il faut s’assurer qu’on comprend bien le problème qu’on est en train de résoudre. Et deuxièmement, il faut construire la bonne solution pour pouvoir le faire. »🦠 Et le covid dans tout ça ? « Dans un contexte où tu ne peux plus te rendre sur ton lieu de travail, évidemment pour nous, ça a été un accélérateur. Tu obliges les entreprises à travailler de manière décentralisée pendant cette période-là. Donc oui on a été un outil fondamental dans la relation entre la finance et les équipes opérationnelles. »Un effectif cosmopolite, une culture d’entreprise basée sur la bienveillance et une ambition transatlantique… Écoutez, dans cette première partie, le fonctionnement de cette 26ème licorne française. Avant de découvrir l’humain derrière l’entrepreneur dans la deuxième partie.À vos écouteurs 🎧 !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Jun 9, 2022 • 46min

:59 [NEXT40] Part 2 - Rodolphe Ardant - Spendesk : L’aventure humaine au cœur de ses ambitions entrepreneuriales

Profil plus ingénieur qu’entrepreneur à la base, passage par une remise en question ultra bénéfique, personnalité introvertie et simplicité déconcertante : pénétrez dans l’univers de Rodolphe Ardant.Rodolphe, c’est le genre de chef d’entreprise qui fait confiance et qui travaille énormément pour mériter la confiance des autres.Il nous parle de Wozaïk, sa première expérience entrepreneuriale à la sortie de l’École Polytechnique créée avec Vincent Gire, un camarade de promo devenu ami depuis. La motivation initiale derrière Wozaïk : « on ne se voit pas prendre un boulot avec un costard, on a envie d’être les maîtres de nos actions et d’être hyper successful. »À l’époque, leur volonté entrepreneuriale est davantage une volonté d’ingénierie, ils veulent construire des « trucs » et voir s’ils peuvent les développer sur le marché.Leur plus grosse erreur ? « À ce moment-là, on adore développer notre solution technique, on s’éclate, mais on n’a pas de business derrière et ça nous a pris deux ans avant de s’en rendre compte. »À la sortie d’une école prestigieuse, le jeune entrepreneur se met une pression sociale quant à la réussite et au succès. Il fait face à une grosse remise en question : qu’est-ce qu’il est en train de faire de sa vie ?« Ça fait trois ans et demi que je ne me paye pas, que je bouffe des pâtes, que je rejoins les copains au moment du café quand on a un dîner parce que je ne peux pas payer l’addition. »Il entame alors un long travail sur lui-même. « Je me suis fixé de mauvais objectifs. Ce qui me donne de l’énergie au quotidien c’est l’aventure humaine, notamment avec Vincent à l’époque. Cette capacité à amener des solutions face à un problème. »Le cofondateur de Spendesk en a conscience, la connaissance de soi s’effectue en accéléré face aux crises, qu’elles soient personnelles ou professionnelles. « C’est une chance de vivre ça assez jeune, ça m’a donné une certaine confiance, une paix d’esprit par rapport à qui je voulais être et ce que je voulais faire. Toutes les pressions sociales et d’égo via l’environnement académique dans lequel j’ai évolué ont complètement disparu. »Quel petit garçon est-il ? Celui qui résout les problèmes des autres, qui répare les jouets cassés et qui est passionné de sciences. Avec un père qui travaille à l’échelle internationale, Rodolphe bouge régulièrement entre l’Italie et la Grèce.« Quand tu es petit, tu n’aimes pas, tu es déraciné à chaque fois. Tu crées des relations, tu détruis tout et il faut tout reconstruire. » Mais il le sait, cette capacité à s’adapter dans des nouvelles situations est une bonne qualité de l’entrepreneur.💭 Son inspiration ? Une curiosité permanente. « Je me pose beaucoup de questions et j’en pose aussi beaucoup. Je m’inspire beaucoup des autres, je suis quelqu’un qui apprend par l’exemple. »⚖️ Son équilibre ? Réussir à jongler entre toutes ses passions : sa famille, sa vie professionnelle, lire, marcher en montagne, etc. et à allouer du temps à chacune d’entre elles, à différents cycles bien entendu car « tout n’est pas possible en même temps. »Les premières fois de Rodolphe Ardant, son avis sur la charge mentale des dirigeants, sa carte blanche et sa prétendante pour les 40 Nuances de Sista… Vous n’allez pas voir le temps passé avec le CEO de Spendesk.À vos écouteurs 🎧Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Jun 2, 2022 • 57min

:58 [SISTA ORNIKAR] Li Cai - Lyanne : L’Assurtech “poil à gratter” des assureurs

Combien de fois avez-vous cliqué sur "j’accepte les conditions générales" sans les lire ?Savez-vous contre quoi vos contrats d’assurance vous couvrent vraiment ?Votre assurance a-t-elle déjà refusé de vous verser vos indemnités après un sinistre ?Parce que nous sommes trop nombreux à signer un contrat d’assurance sans vraiment savoir ce qu’il contient vraiment, Li Cai et Jeanne Depond décident de quitter leurs jobs en 2019 pour fonder Lyanne.Les défis à relever étaient alors légion. Et il a fallu être tenaces, patientes et ambitieuses pour arriver à lancer un MVP digne de ce nom !Face aux deux entrepreneures :👉 Des milliers de pages de conditions générales de nos contrats d’assurances. Jeanne les a lu. 60 000 pages pour être exact. Chapeau !👉 Un budget de départ qui ne permettait pas de s’offrir les services d’un petit génie du code. Alors Li a appris à coder pour boostraper la première version du site. “On voulait avoir les premiers retours toute suite, il fallait tester le produit.” Bien vu !👏 La traction est au rendez-vous. Lyanne ne tarde pas à faire les titres de presse. La machine est lancée, la startup se spécialise dans la couverture en cas de sinistre, devient l’intermédiaire entre les “petits assurés” et les mastodontes de l’industrie de l’assurance. “On est le poil à gratter des assureurs.”Avec Li, on parle de son parcours, son premier échec entrepreneurial à Shanghai et l’importance de faire pacte d’associés ; de lever des fonds sans réseau ; des prochains combats à mener pour les “robins des bois” du monde de l’assurance.A vos écouteurs 🎧▬▬▬▬▬▬▬▬▬ YOUTUBE ▬▬▬▬▬▬▬▬▬https://www.youtube.com/@feuilleblanchemedia▬▬▬▬▬▬▬▬▬ COMMUNAUTÉ ▬▬▬▬▬▬▬▬▬Pour échanger avec nos invités, participer à nos diners, contactez nous sur uncafe@feuilleblanche.comVous souhaitez devenir partenaire du format ? Laissez nous un message ici https://bit.ly/3Rvri20▬▬▬▬▬▬▬▬▬ LIENS PODCASTS ▬▬▬▬▬▬▬▬▬CASH OUT : https://linktr.ee/cashoutlepodcast40 NUANCES DE NEXT : https://linktr.ee/40nuancesdenext▬▬▬▬▬▬▬▬▬ FEUILLEBLANCHE ▬▬▬▬▬▬▬▬▬AGENCE : https://www.feuilleblanche.com/PRODUCTION DE PODCAST : https://offre.feuilleblanche.com/▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ LINKEDIN ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬FeuilleBlanche : https://www.linkedin.com/company/feuilleblanche▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ PARTENAIRES ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬La French Tech, France Digitale, La Tribune, Maddyness, Le Village by CA.Vous souhaitez devenir partenaire du format ? ⇒ https://bit.ly/3Rvri20Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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May 30, 2022 • 1min

[LA DÉCISION] Georges Lotigier - Vade : Suivre son instinct

“Chaque fois que vous voyez une entreprise qui réussit, dites-vous que c’est parce qu’un jour quelqu’un a pris une décision courageuse” - Peter DrukerAujourd’hui on découvre la décision courageuse de Georges Lotigier et les débuts de Vade au Japon.Pour retrouver l’épisode complet de Georges c’est par ici 👇Part 1 - Georges Lotigier - Vade : Levée de fonds avortée, procès onéreux aux US, rester debout, poursuivre ses ambitions : https://smartlink.ausha.co/40-nuances-de-next/36-part-1-georges-lotigier-vade-levee-de-fonds-avortee-proces-onereux-aux-us-rester-debout-poursuivre-ses-ambitions Part 2 - Georges Lotigier - Vade : L'entrepreneur qui murmurait à l’oreille des chevaux : https://smartlink.ausha.co/40-nuances-de-next/36-part-2-georges-lotigier-vade-l-entrepreneur-qui-murmurait-a-l-oreille-des-chevauxÀ vos écouteurs 🎧Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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May 25, 2022 • 47min

:57 [NEXT40] Part 2 : Benjamin Gaignault - Ornikar : Hacker sa carrière pour réussir vite, et toujours prioriser sa famille

Perdre son père, être ambitieux mais feignant, s’inspirer de ses propres rêves et prioriser sa famille : écoutez l’histoire de l’altruiste entrepreneur Benjamin Gaignault !Petit dernier d’une famille aristocrate de quatre enfants, Benjamin évolue dans un cadre de vie privilégié près de Châteauroux. Assimilés auxdits « bourges », assumer la richesse de sa famille n’est pas toujours confortable, c’est pourquoi il se crée un personnage rebelle : fier de ses racines et de vivre dans le château du village.À 14 ans, il perd son père. Cette disparition est un point structurant de sa vie et de la personne qu’il est aujourd’hui. « On essaye de se prendre plus en main, on grandit plus vite. On a aussi plus de responsabilités pour ne pas surcharger la vie de sa mère et être un poids pour elle. Ça m’a permis de relativiser beaucoup de choses. » Depuis, ce jeune entrepreneur n’a plus peur de dire non à énormément de choses, en toute transparence.🤔 Pourquoi l’entrepreneuriat ? L’argent et la liberté sont des drivers, et « l’entrepreneuriat est un bon moyen de hacker sa carrière, de réussir très vite et d’atteindre tel niveau de vie. » Il fait donc le choix de faire beaucoup d’efforts maintenant, pour en récolter les fruits très rapidement. « Je suis feignant dans le sens où je voulais arriver à un certain niveau de patrimoine dans un délai très court. »Vous l’aurez compris, l’impatience est son trait de personnalité le plus irrésistible : « j’ai envie de tout croquer maintenant ! »Bon il faut être honnête, Benjamin a aussi une grande force naturelle : il sait mettre les bonnes personnes non seulement au bon endroit, mais aussi au bon moment.🙅🏻‍♂️ « Mon travail ne prendra jamais (jamais, jamais) le pas sur ma vie personnelle. »❤️ Benjamin est catégorique, sa priorité c’est sa famille. Il ne travaille jamais le week-end, ni le soir car ce temps est dédié à sa famille, « et si je n’ai pas ça, ça ne vaut pas le coup. » Accumuler les euros sur son compte en banque au détriment de ses proches ne l’intéresse pas. Profiter de son succès avec les autres, c’est ça qui a du sens pour lui.Cette liberté est valable pour ses équipes également. « Il faut être cohérent du début à la fin. “À 20 h, dans les bureaux d’Ornikar, il n’y a plus personne et c’est bien normal.”💭 Son inspiration ? Mener la vie dont il rêve, tout simplement. Sans oublier un petit challenge avec ses frères, « ça, ça me fait me lever. Faire kiffer les gens, moi avec et être libre. »Benjamin s’applique à rester simple et garder les pieds sur terre. « Il y a eu beaucoup de travail, mais aussi de la chance » L’humilité et l’absence d’ego sont aussi, sans aucun doute, les clés de sa réussite.🎧 La carte blanche de Benjamin Gaignault, pourquoi « Ornikar », la claque qu’il a prise avec Henri De Castries (ancien PDG d’AXA) ou encore sa candidate pour les 40 Nuances de Sista… Vous allez adorer cet échange, aussi sincère que touchant, avec le cofondateur d’Ornikar.              Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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