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La Matrescence

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Sep 15, 2023 • 1h 5min

EP137 - Le pouvoir de la méditation pour guérir

Il y a 6 mois je suis tombée sur un article qui évoquait les résultats bluffants d’une étude sur la méditation et son pouvoir pour aider les troubles anxieux. Je m’étais dit qu’encore une fois cela devait être des américains qui avaient conduit cette étude. Et surprise ! Parmi les chercheurs se trouvait, le Professeur Eric Bui de l’université d’Harvard qui est aujourd’hui chercheur à l’Université de Caen et le président de la Société internationale d’étude du stress post-traumatique. Dans cet épisode, Eric Bui nous explique la genèse de l’étude, les bienfaits de la méditation mais aussi du yoga. La différence entre stress, anxiété et syndrome anxieux. Il vous éclaire pour arriver à mieux gérer votre quotidien de parents. Et petit bonus de fin, vous trouverez une mini méditation pour vous initier si vous n’en n’avez jamais faite ! Je vous souhaite une très bonne écoute. Merci à HelloFresh de soutenir La Matrescence ! Profitez de réductions allant jusqu’à 100€ sur vos 5 premières commandes, soit le prix du repas à partir de 2,50€, avec le code MATRESCENCE100 ou en cliquant sur ce lien : www.hellofresh.fr/matrescenceDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Sep 8, 2023 • 31min

EP136 - 5 raisons de se déconnecter en tant que parents !

 LIEN MEME PAS CAP https://www.memepascap.fr/bilan-competences-mpc?source=MATRESCENCEPODCAST C’est la rentrée et ça fait du bien de vous retrouver et de lancer une nouvelle saison du podcast ! Aujourd’hui débute la 6e saison, je sais qu’elle va vous plaire! Dans l’épisode du jour on va parler déconnexion et pourquoi c’est intéressant en tant que parent. Mi-juillet j’ai blagué en disant à ma sœur que c’était sympa de discuter avec elle, à table, vu qu’elle était sur son téléphone. Elle m’a renvoyé direct bouler, et elle a eu raison, en me disant que c’était plutôt moi qui étais tout le temps dessus… Elle n’avait pas tort… ça faisait plusieurs jours que je me sentais mal, un peu prise dans une spirale où je scrollais indéfiniment sans m’arrêter. Je me suis dit allez, stop! Tu désinstalles et tu verras plus tard quand tu reprendras. Je ne me suis fixée aucune date les premiers temps, je voulais voir la sensation que ça me procurait. Il faut quand même plusieurs jours avant que nos doigts oublient d’aller instinctivement sur le petit carré d’Insta. La détox a été progressive et a entraîné d’autres envies de se déconnecter. Au total je suis restée près de 6 semaines sans avoir accès à aucun réseau social et en coupant tous mes mails. Je précise qu’Instagram est en partie mon travail, donc couper pendant les vacances c’est aussi m’offrir une pause loin de mon travail. Je vous raconte en 5 étapes les effets que ça a eu sur moi et pourquoi j’ai trouvé qu’observer des périodes de déconnexion presque totale est bénéfique pour nous en tant que parents 1.Detox réseaux J’ai donc désinstallé Instagram en juillet. Il faut vraiment le faire pour arriver à ne plus y aller. Sinon la tentation reste malheureusement trop forte et trop présente. Et pourtant je fais partie de celles qui ont instauré une limite de temps pour mon utilisation des réseaux. Temps limité à 2h par jour. Mais 2h c’est toujours trop pour le cerveau. Donc plus de insta, qu’est ce que fait mon cerveau d'addict… il en redemande, parce que la première sensation qui émerge, c'est le manque. Et ça fait mal de le réaliser. Le manque d’un monde virtuel, le manque d’être abreuvé d’infos en tout genre. D’un coup on est privé d’un brouhaha permanent et on se sent perdu. Notre cerveau est malin, il veut sa dose, et pour l’avoir il m’oblige à aller passer beaucoup trop de temps sur Facebook. Parce qu’au final tu te rends compte que ce n’est pas tant l’objet du réseau social le problème mais bien les stratégies employées par ces derniers pour te faire rester le plus longtemps possible sur l’application… Il a donc fallu, au bout d’une semaine, que je me résigne à supprimer également Facebook!! Si on m’avait dit ça un jour, que j’allais être à nouveau addict à Facebook! Une fois ces deux applis supprimées, tu te sens à nouveau perdue… Mais arrive vite la sensation d’apaisement et de sérénité. Ca parait fou de se dire qu’on oublie à quoi peut ressembler une vie sans sur stimulation, sans infos anxiogènes ou sans angoisses liées à un mauvais commentaires, dans mon cas. On réalise assez rapidement que c’est de la folie de suivre la vie d’autant de gens qu’on ne connaît pas, que notre cerveau est en surchauffe de traiter autant d'informations en même temps. Et puis on se dit, mais comment je peux perdre 2h par jour de mon temps sur cette application, qu’est-ce que ça m’apporte ? C’est là que ça devient complexe et nuancé. Parce que pendant ma déconnexion je profite à fond de savourer ma sérénité retrouvée mais je suis aussi capable de reconnaître que les réseaux sociaux m’ont permis d’apprendre à mieux me connaître, à me dé-construire, à fonder une communauté autour de ce podcast, à me sentir moins seule et à m’éduquer sur un grand panel de sujets. Sauf que l’autre versant des réseaux sociaux c’est aussi beaucoup d’anxiété pour ma part. Je n’apprends à personne si je dis que les réseaux sociaux peuvent aggraver l’anxiété et générer beaucoup de frustrations et de culpabilité. Ça peut, en fonction de qui on est, et de l’usage qu’on en fait. Je fais donc partie de la catégorie de personnes pour qui ça peut aggraver mon anxiété. Je vous partage un extrait d’une étude francophone réalisée sur le sujet Si consulter Facebook est le premier geste du matin pour 48 % des 18-34 ans, l’usage des RSN, censés apporter divertissements et satisfaction, semble être l’objet d’un étonnant paradoxe. Plus les gens sont actifs sur Facebook, sans forcément en être « addicts », et plus leur humeur est négative après les usages du RSN (Sagioglou, Greitemeyer, 2014). La genèse de ces affects négatifs est bien liée à Facebook car ils n’apparaissent pas lors d’activités de durée similaire effectuées sur Internet en dehors de ce RSN. Cette constatation n’est pas uniquement liée à Facebook puisque des résultats similaires ont également été remarqués avec Instagram (Lup et al., 2015). Plus grave, une association positive a même été mise en évidence entre l’usage de ce RSN et des symptômes de dépression. Les préadolescents et adolescents semblent particulièrement sensibles. Marie-Pierre Fourquet-Courbet et Didier Courbet Ces études datent d’il y a plusieurs années déjà, avant la pandémie. Depuis 2020, l’utilisation des réseaux sociaux a augmenté chez beaucoup de personnes. Déconnecter devenait donc vital pour retrouver un équilibre durant l’été, j’avais besoin de tester pour mieux me retrouver et vivre loin des likes, des commentaires et des vues. Sortir des réseaux sociaux pendant quelques temps c’est aussi apprendre à nouveau à vivre dans le moment présent, à apprécier ce que l’on a et qui l’on est 2. Présente pour ses enfants La première conséquence visible quand on déconnecte c’est la présence que l’on a pour ses enfants. Pour ma part, je me suis sentie bien plus en lien avec elles en retirant les réseaux sociaux de mon quotidien. Plus aucune distraction liée à mon téléphone et donc toute mon attention dirigée vers mes enfants. C’est super banal ce que je raconte et pourtant on est combien à être facilement distrait parce qu’on regarde notre téléphone et que sans le vouloir on rend nos enfants transparents. Ça a créé moins de tensions pour elles aussi et moins de frustrations pour moi. En psychologie avec les enfants on parle souvent de temps précieux. Le temps précieux c’est généralement se focaliser sur un enfant pendant une période de 20 minutes où on est 100% dispo pour eux. Là, quand tu enlèves la distraction de ton téléphone, tu réussi à créer un plus grand nombre de temps précieux sans t’en rendre compte. Moi je peux me faire aspirer par le contenu de mon téléphone très rapide et vite perdre de longues minutes à scroller et à me détester de faire ça. Là pendant mes vacances, je me suis sentie sereine et en paix de manière plus régulière. Il faut aussi l’avouer, en se sortant des réseaux sociaux, il y a une dimension, surtout pour nous les mères, de relâchement de tension par rapport à ce que font les autres parents et pas nous. On existe dans notre parentalité sans toutes les injonctions qui existent sur les réseaux. Et je le dis avec la lucidité que mon podcast et mon compte ajoutent surement à ce charge éducationnelle. Donc je comprends ce que tout le monde peut ressentir un jour ou l’autre dans sa parentalité 2.0 Moi j’ai personnellement kiffé mon JOMO. Vous connaissez peut-être le FOMO, FEAR OF MISSING OUT, la peur de rater quelque chose, un évènement important, une news extraordinaire, un message…bref la peur de ne pas être au courant. Ben l’inverse de ce sentiment c’est le JOMO. JOY OF MISSING OUT. La joie de rater des choses.   Et franchement, ça fait du bien de vivre avec la joie d’être pleine présente et de s’en foutre complètement de ce qui se passe dans le monde virtuel. J’avais vraiment conscience que mon taux d’anxiété était au plus bas cet été et que pour la première fois depuis longtemps je n’ai pas subi mon été. Oui mes filles grandissent donc c’est plus simple mais ne pas aller sur les réseaux sociaux m’a empêché d’être constamment ramené au fait que je ne peux pas encore tout faire avec mes enfants parce qu’elles sont petites et parfois c’est très frustrant. Donc pas d’écran = pas de frustrations.  Le 3e point crucial c’est le sommeil 3. Le sommeil Les écrans nous font du mal au cerveau et nuisent à notre sommeil. Je crois qu’on le sait toutes et tous et pourtant on peut passer une soirée entière à scroller de manière irrépressible sans comprendre ce que l’on fait et fermer votre écran en étant énervé contre nous même d’avoir perdu ce temps précieux. Ben là, boom, pas d’écran et un champ de possibilités s’offrent à toi le soir. Genre lire un livre… Ou avoir une conversation avec un autre être humain et tout simplement se coucher plus tôt. Ca faisait très longtemps que je n’avais pas eu une aussi bonne qualité de sommeil. Si on met de côté mes enfants qui se réveillent encore pas mal la nuit, mais ça c’est une autre histoire… Le sommeil est pour le coup vraiment plus serein. On n’est plus pollué par tout le contenu que l’on a vu dans la journée ou soirée. Notre cerveau n’ a a traiter que les informations qu’il a vécu au cours des dernières heures et quel soulagement. On ne va pas se mentir, quand on dort bien on est de meilleurs parents. Pas de miracles. Testez rien que le weekend d’enlever les réseaux sociaux et vous verrez. La dernière partie dont je voulais vous parler c’est qu’en me déconnectant du virtuel j’ai eu encore plus envie de me connecter au réel et donc à la nature. 4. La connexion à la nature J’ai réussi en à peine 2 semaines à motiver 4 de mes amies, à partir en rando bivouac dans les Pyrénées pendant 3 jours…. C’était magique, beau, doux, plein de rires, de sororité, de plongeons dans les lacs froids, de montage et de démontage de tentes… bref c’était l’aventure et ça fait un bien fou. Si vous écoutez cet épisode et que ça vous a toujours trotté dans la tête de le faire, foncez. Je suis partie sans mes enfants mais ce type de rando ça peut se faire avec des kids, faut bien s’organiser. Mais là je parlais surtout de partir avec quelques copines dans un endroit isolés dans des conditions sommaires et de profiter d’elles et de leurs énergies. C’était tellement puissant comme moment. J’ai juste mesuré la chance que j’avais d’avoir des femmes incroyables autour de moi. Toutes n’étaient pas mères et on s’en fout. on était ensemble dans la galère parfois et j’en suis ressortie en étant plus en paix avec moi/. On a toutes regretté de ne pas avoir fait 3 nuits d’ailleurs. Si vous pouvez vous échapper de votre quotidien et prendre le temps d’être vous, faites le. On est tellement vite absorbé par la lourdeur d’être parents qu’on en n’oublie d’être nous. Bon après il a fallu redescendre sur terre et c’était pas évident pour moi. j’ai toujours la nostalgie de ces moments forts, comme quand je partais en colo. Après 6 semaines de diet, j’ai ré-installé les RS. Et boom l’addiction est revenue au galop. Les conséquences, maux de tête direct, mauvaise qualité de sommeil, impossibilité parfois d’arrêter de scroller et cette relation je t’aime moi non plus avec les réseaux. J’adore l’outil pour communiquer et apprendre mais je déteste encore plus après cet été de pause, l’addiction que cela génère. Je vais donc désinstaller à chaque fois que je serai en weekend et que je ne bosserai pas. Pour retrouver ces moments de sérénité avec ma famille. C’était mon partage de la déconnexion au sens large. je vous encourage vraiment à tester, on vit dans un monde qui va trop vite, même si on s’adapte, ça va quand même bien trop rapidement pour arriver à tout traiter correctement. Merci de m’avoir écouté, on reprend les entretiens dès vendredis prochains. Prenez soin de vous. Etude francophone sur l’usage des réseaux sociaux et l’anxiété.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Sep 1, 2023 • 1h 8min

SUMMER BREAK - Comprendre son système d'attachement pour améliorer ses relations de couple, d'amitié et avec nos enfants - Catherine La Psy

SUMMER BREAKLA MATRESCENCE REPREND LE 8 SEPTEMBRE !Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 122 de la saison 5.Ces derniers temps je me suis retrouvée à faire des découvertes basiques sur la psychologie humaine qui ont éclairées ma vie personnelle mais aussi ma parentalité.Dans ce podcast on avait déjà abordé la sécurité émotionnelle et donc le lien d’attachement mais jamais en profondeur.La théorie de l’attachement est fondamentale lorsqu’il s’agit d’évoquer les relations entre être humain. En tout cas c’est mon avis.Cette théorie mise en lumière par John Bowlby, psychiatre anglais, dès les années 40 après la seconde guerre mondiale, explique l’importance de la figure d’attachement dans le bon développement de l’enfant. Le ou la caregiver, reste le repère sécure pour que l’enfant grandisse de la manière la plus sécure possible.Mais cette relation, qu’est-ce qu’elle veut dire à l’âge adulte? Et si notre attachement n’est pas sécure, il est comment ?Toutes ces questions passionnantes amènent à des réponses qui expliquent en partie certains de nos comportements une fois adulte.Catherine la Psy, c’est son pseudo sur les réseaux sociaux nous livre une master class sur notre style d’attachement et son impact sur notre vie !Pour mieux comprendre cet épisode, je vous invite, si ce n’est pas déjà fait, à écouter l’épisode 116 qui traite des petits et grands Traumas avec Noémi Benhamou.Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Catherine La Psy, psychologue et autrice du livre Bienvenue chez le PsyJe suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous, d’ailleurs d’après Spotify, La Matrescence fait partie des 1% de podcasts dans le monde, les plus partagés via whatsapp notamment, alors un grand merci!Si vous cherchez un épisode, rdv sur www.lamatrescence.frA la semaine prochainePrenez soin de vous !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Aug 25, 2023 • 1h 2min

SUMMER BREAK - Comprendre les traumas et les soigner - Noémi Benhamou psychologue

Bienvenue dans la Matrescence vous écoutez l’épisode 116 de la saison 5Qu’on le veuille ou non, notre vie est jalonnée de traumatismes plus ou moins importants. Rare sont les êtres humains à n’avoir jamais vécu une expérience traumatisante au cours de leur existence.Les traumas avec un T peuvent parfois avoir été enfouis et rejaillir en devenant parents, les traumas avec un petit t peuvent eux, causer des dégâts sur la durée sans que l’on s’en aperçoive.Comme pour une blessure physique, ces bobos du mental peuvent guérir. Pour cela il faut être accompagné par des professionnels. Et certaines techniques en psychologie peuvent permettre de reprogrammer le cerveau pour arriver à vivre avec de manière sereine. C’est le cas avec l’EMDR, eye movement desensitization and reprocessing.Noemie Benhamou est psychologue spécialiste de la perinatalité et formée en EMDR.Dans cet épisode elle détaille l’éfficacité de l’EMDR pour les enfants, les femmes en postpartum qui ont vécu un traumatisme à l’accouchement par exemple.Nous parlons de violences sexuelles dans cette conversation, si le sujet est trop sensible ou douloureux n’hésitez pas à en parler à votre médecin.Noémi explique le déroulé d’une séance et l’impact sur le cerveau. Vous comprendrez la dissociation, le syndrome post traumatique mais aussi la fenêtre de tolérance.Je vous souhaite une très bonne écoute C’était Noémie Benhamou, psychologue spécialiste en périnatalité et EMDRJe suis Clémentine Sarlat, vôtre hôte. Si vous avez aimé cet épisode n’hésitez pas à mettre 5 étoiles, vous abonnez sur votre plateforme d’écoutes ou à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescenceLe podcast vient de reprendre après une longue pause bébé, si vous cherchez un thème particulier, allez sur le site www.lamatrescence.fr pour trouver votre bonheur et le mettre dans vos oreilles. Il y a déjà + de 115 épisodes.Cet épisode a été produit par Mini MinoisPrenez soin de vousA la semaine prochaine  Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Aug 18, 2023 • 1h 4min

SUMMER BREAK - Une éducation non genrée, vraiment ? Manuela Spinelli chercheuse

Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 102 de la saison 4Cet épisode, vous me le demandez depuis longtemps ! Un épisode pour aborder la question du genre dans l’éducation.C’est un sacré morceau auquel Manuela Spinelli, chercheuse et cofondatrice de l’association Parents et Féministes, s’est attaquée.Manuela est professeure à l’Université de Rennes 2 et elle a co-écrit avec Amandine Hancewicz : Eduquer sans préjugés “pour une éducation non sexiste des filles et des garçons” paru aux éditions Latès.Le genre est un concept qui se démocratise de plus en plus. En 2021, il devient difficile de nier que cette donnée a un impact sur la façon dont on mène notre vie.Mais quand on devient parents, tout un tas de questionnements viennent se bousculer dans nos têtes.Déjà est-ce vraiment possible d’élever des enfants, en 2021, sans préjugés de genre ?Ensuite, qu’est-ce que les études nous disent sur la façon dont nos enfants perçoivent le féminin et le masculin ? Comment faire pour éduquer des garçons à prendre conscience de leur privilège et à être des alliés dès la petite enfance?Voilà entre autres les thèmes que cet épisode aborde. Mais on y évoque aussi, les jouets, les habits et l’impact que nous en tant que parents avons sur nos enfants face au monde extérieur!Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Manuela Spinelli, chercheuse en genre et autrice. Je suis Clémentine Sarlat votre hôte, si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous ou sur les réseaux sociaux @lamatrescence Vous pouvez aider financièrement ce podcast à se développer en participant sur Patreon, en échange de contreparties.Prenez soin de vous à la semaine prochaine Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Aug 11, 2023 • 57min

SUMMER BREAK - La glucose révolution pour une meilleure santé - Jessie Inschauspé Biochimiste

Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Aug 4, 2023 • 55min

SUMMER BREAK - Le cerveau des bébés - Dr Cindy Hovington

Bonjour à toutes et à tous, bienvenue dans la Matrescence. Vous écoutez l’épisode 113 de la saison 5Le développement de l’enfant continue de me fasciner, même 5 ans après l’arrivée de ma première fille.Plus j’avance dans mon expérience de mère, plus je me rends compte que comprendre mes enfants, c’est aussi et surtout me comprendre moi, en tant que parents.C’est exactement pour cette raison que Cindy Hovington, neuroscientifique canadienne a créé, Curious Neuron.Via sa plateforme et ses réseaux sociaux, Cindy, mère de 3 enfants transmet les dernières découvertes scientifiques, applicables à la parentalité, à des milliers de parents.Dans cet entretien, Cindy explore un pan peu discuté de l’éducation, les parents. Et oui, pour que nos enfants arrivent à développer,dans les meilleures conditions, leur cerveau  socio-émotionnel, c’est à nous parents, à apprendre à gérer nos émotions dans un premier temps.Pendant cette discussion, Cindy vous transmettra de nombreuses tips pour arriver à aider nos enfants à étendre leurs capacités d’auto-régulation.Ici vous apprendrez les termes de modèle tripartite, de ER et de processus interpersonnel.Cindy rappelle aussi, que c’est à travers les jeux, que nos enfants arrivent le mieux à comprendre les règles que contient notre monde !Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Cindy Hovington, neuroscientifique, créatrice de Curious NeuronJe suis Clémentine Sarlat, vôtre hôte. Si vous avez aimé cet épisode n’hésitez pas à mettre 5 étoiles ou le partager sur les réseaux sociaux @ lamatrescenceLe podcast vient de reprendre après une longue pause bébé, si vous cherchez un thème particulier, allez sur le site www.lamatrescence.fr pour trouver votre bonheur et le mettre dans vos oreilles. Il y a déjà plus de 110 épisodes.Cet épisode a été produit par Mini MinoisPrenez soin de vousA la semaine prochaine  Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Jul 28, 2023 • 48min

SUMMER BREAK - Gérer au mieux les relations entre frères et soeurs - Héloise Junier psychologue

SUMMER BREAK - LA FRATERIEBienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 84 de la saison 3.Devenir parents d’un enfant c’est un chamboulement pour la vie.Alors quand on prend la décision d’amener un autre être humain dans la famille, on fait face à des problématiques pas toujours simples à résoudre.Héloïse Junier est psychologue clinicienne, spécialiste de la petite enfance. Vous l’avez déjà entendu dans l’épisode 27 mais aussi dans 2 hors série. J’ai donc demandé à Héloïse qui vient de sortir une bd “Ma vie de bébé” aux éditions Dunod, de nous éclairer sur les fratries.Dans cet épisode on évoque l’annonce d’un nouvel enfant à l'aîné, les enjeux que cela provoque chez les tout-petits, l’écart d’âge idéal mais aussi les différents visages que peut prendre l’insécurité que ressent un enfant qui devient l’ainé.Héloïse vous donne des pistes pour les résolutions de conflits entre frères et sœurs.Elle vous guide sur cette corde périlleuse, de la gestion de conflits. Alors comment gérer les frustrations et la violence qui peuvent apparaître quand le besoin de sécurité émotionnelle n’est pas satisfait? Faut-il privilégier le tout petit sur le plus grand ? Quelles sont les astuces? Héloïse vous explique tout. On a aussi parlé du deuil au sein d’une fratrie. Quand un enfant perd son frère ou sa sœur, à quoi faut-il porter attention?Je vous souhaite une très bonne écoute.C’était Héloïse Junier, psychologue clinicienne et autrice de plusieurs ouvrages aux éditions Dunod.Je suis Clémentine Sarlat votre hôte, si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous ou sur les réseaux sociaux @lamatrescenceEt psiittRDV lundi pour le lancement de ma page Patreon...A la semaine prochainePrenez soin de vous  Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Jul 21, 2023 • 47min

EP135 : Comment traverser la peur ? Angelo Foley, thérapeute auteur du compte balancetapeur

Bonjour à toutes et à tous.Bienvenue dans la matrescence vous écoutez l’épisode 135 de la saison 5.La peur constitue une part normale de l’être humain.Mais que se cache t-il derrière la peur ? Comment arrive-t-on à dépasser ses peurs pour ne pas vivre tétaniser?Angelo Foley est auteur, conférencier, thérapeute mais aussi producteur de musique… il a notamment produit les albums de grand corps malade et le fondateur du compte : balance ta peur.Angelo est papa depuis près de 2 ans et l’arrivée de son fils à modifier son rapport à la peur mais pas que.Dans cet épisode, Angelo raconte ses découvertes au fil des ses apprentissages, il nous parle de la puissance de la thérapie de groupe. Au cœur de son travail, la vulnérabilité, seule possibilité pour arriver à vivre avec le plus d’authenticité.Je vous souhaite une très belle écoute.C’était Angelo Foley, auteur du livre Les 21 peurs qui empêchent d’aimer.Je suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous, d’ailleurs d’après Spotify, La Matrescence fait partie des 1% de podcasts dans le monde, les plus partagés via whatsapp notamment, alors un grand merci!Pour soutenir le podcast, rendez-vous sur Patreon www.patreon.com/clementinesarlat Si vous cherchez un épisode, rdv sur www.lamatrescence.frA la semaine prochainePrenez soin de vous ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Jul 14, 2023 • 53min

EP134 : Maman solo, l'envers du décor - Shane Love podcasteuse

Bonjour à toutes et à tous.Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 134 de la saison 5.Devenir parent solo par choix ou par défaut revêt une réalité souvent tue.Pourtant près de 2 millions de familles monoparentales composent le paysage français en 2023.Il y a un vrai changement dans la façon de faire famille aujourd’hui.Shane Love est la fondatrice du podcast le Tourbillon. Il y a quelques mois elle a créé un autre podcast, appelé Hello Solos.Un podcast qui met en avant les histoires de ces parents qui naviguent, seuls, à travers la parentalité.Shane vient aussi de sortir un livre dédié aux mères célibataires. Un ouvrage très pratique et passionnant qui retrace l’histoire des mères célibataires, malmenées depuis la nuit des temps. Il faut savoir que dans 84% des cas les enfants résident (ou résident principalement) avec leur mère. Shane se bat pour une meilleure reconnaissance des mères qui subissent de plein fouet la vie seule avec des enfants. Elle a d’ailleurs récemment rencontré des députés pour porter haut son message.Dans cet épisode, Shane, raconte son parcours perso de maman solo depuis la naissance, des forces mais aussi des difficultés qu’elle rencontre.Je vous souhaite une très bonne écouteJe suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous, d’ailleurs d’après Spotify, La Matrescence fait partie des 1% de podcasts dans le monde, les plus partagés via whatsapp notamment, alors un grand merci!Pour soutenir le podcast, rendez-vous sur Patreon www.patreon.com/clementinesarlat Si vous cherchez un épisode, rdv sur www.lamatrescence.frA la semaine prochainePrenez soin de vous ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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