La dernière

Féris Barkat, militant passionné et cofondateur de Banlieues Climat, partage son expérience transformative depuis Strasbourg jusqu'à son engagement pour l'écologie sociale. Il critique l'écologie bourgeoise et l'importance de la représentation des plus vulnérables. Barkat parle de son expérience à la COP30, des défis de la récupération politique et de ses méthodes innovantes pour mobiliser les jeunes autour de l'écologie. Il aborde également les tensions autour de la violence structurelle et l'importance de la formation locale pour une autonomie durable.

Aymeric Lompret commence avec humour, abordant des sujets d'actualité de la semaine. Il enchaîne avec des blagues sur Brigitte Macron et partage ses préoccupations personnelles. En dénonçant les bas salaires des métiers sociaux, il souligne l'injustice salariale en énumérant les professions pénibles. Sa lettre au Père Noël propose des souhaits satiriques, comme renverser les rémunérations des métiers difficiles et formuler des vœux absurdes contre des politiciens, le tout avec une touche d'ironie et d'imagination.

Doully partage son expérience en EMDR et reste perplexe. Elle explique son aversion pour les bilans psychologiques et les conseils de voir un psy. Lors de sa séance, la praticienne lui révèle que sa vie est 'costaud', ce qui la surprend. Doully évoque des souvenirs poignants de son adolescence, ce qui choque son interlocutrice. De plus, elle découvre que la praticienne a changé de carrière, ce qui met en doute son professionnalisme. En conclusion, Doully préfère des cadeaux utiles à des séances surprises.

Juliette Arnaud explore la tragédie d'Amine Kessassi, touchée par la perte de son frère. Elle compare son ressenti à la détermination d'Agatha Wiggs dans 'The Beast in Me', où la colère et la soif de vengeance sont palpables. Le mythe de Clytemnestre et le double crime qu'elle commetisonnent des éclairages sur la fatalité et le jugement. Avec une analyse percutante de la psychologie des personnages, chaque récit met en lumière les choix déchirants face à la souffrance.

Pierre-Emmanuel Barré mêle ventriloquie et satire dans un dialogue audacieux avec ses marionnettes. Il aborde des thèmes de non-lieu et cancel culture avec humour percutant. Les débats sur l'artiste et son œuvre révèlent des dilemmes moraux fascinants. La critique acérée du privilège bourgeois, spécialement en visant Brigitte Macron, ne laisse personne indifférent. Barré termine avec un appel à la révolution, tout en conjuguant rires et réflexions profondes.

Alice de Rochechouart explore la question de la honte, s'interrogeant sur le manque de celle-ci chez des figures politiques comme Jean-Michel Blanquer et Nicolas Sarkozy. Elle évoque le mélange singulier de paroles de Rimbaud et de musique IA dans une chanson de Blanquer, qualifiant cette démarche de honteuse. À travers une lecture sartrienne, elle analyse le jugement d'autrui et défend la honte comme élément moral. Elle appelle à transformer cette honte en action politique, concluant avec une parodie humoristique.

Dans ce podcast, GiedRé se livre à une observation humoristique des comportements humains avec une touche de provocation. Elle aborde sans détour le sujet sensible des abus sur enfants, mêlant autodérision et imagination. Entre statistiques étonnantes et énumérations satiriques d'endroits absurdes pour 'ne pas mettre sa bite', l'humour noir est au rendez-vous. Une conversation décalée et percutante qui suscite réflexion tout en divertissant.

Aymeric Lompret plonge dans l'univers insolite de Féris Barkat avec humour. Il évoque une anagramme cocasse, 'Barakafrit', tout en jouant sur la difficulté de trouver des informations. L'invention originale du gland de lacet est mise en avant, générant des rires autour de son utilité. Des citations fictives dans des magazines ajoutent à la satire. Les discussions absurdes sur le nombre de lacets et les couleurs possibles sont savoureuses, clôturées par un remerciement humoristique et une promesse de vacances.

Plongez dans l'univers tragique du journal fictif de Nicolas Sarkozy, avec une lecture satirique qui fait sourire. Guillaume Meurice se moque de l'invitation d'Emmanuel Macron à l'Élysée, questionnant la séparation des pouvoirs. Il dresse un portrait ironique du personnage, jonglant entre douceur et brutalité. En reliant le journal à l'histoire française, il offre une réflexion piquante sur le pouvoir et la politique. Un appel poignant à soutenir les victimes clôt cette chronique audacieuse.

Dans un échange plein d'humour, Juliette aide Clémentine à gérer les blagues sur son prénom. Guillaume explique son suivi de Louis Sarkozy sur Instagram, tandis qu'une discussion sur les stéréotypes des comédies romantiques soulève des critiques intéressantes. La question de la réincorporation de Guillaume à France Inter fait débat, tout comme l'idée de supprimer un poste à Nova. Enfin, des réflexions amusantes sur les anomalies saisonnières et le choix des invités viennent conclure ce moment divertissant.