
Conversations
Artistes, écrivains, chanteurs, chanteuses ou actrices, ils nous racontent leurs souvenirs et nous confient leur histoire. Toutes les semaines, Joseph Ghosn, rédacteur en chef adjoint de Madame Figaro, part à la rencontre d’une personnalité issue du monde du cinéma, de la culture, de la mode et lui propose de rebondir sur ses actualités. Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV.
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Latest episodes

Jul 9, 2025 • 29min
Vincent Delerm : « Mettre tout le monde d’accord, c’est un talent que je n’ai pas »
Après six années d’absence discographique depuis Panorama, Vincent Delerm est de retour avec un huitième album intitulé La Fresque. Un nom évocateur, lié à la multitude de figures — allant de ses proches à des peintres, artistes, cinéastes, personnages — ayant forgé son inspiration, à l’image de la pochette de l’album où apparaissent de nombreuses silhouettes. Une manière, selon lui, de « célébrer toutes ces personnes ensemble ». « L’image mentale que j’avais sur ce disque était une sorte de grande fête dans un champ avant l’été, où on voyait tous les gens arriver d’un peu partout. Une fête qui réunissait tous les gens d’une vie. J’imaginais la personne qui m’a appris à jouer du piano en train de discuter avec Colombo, et ainsi de suite », confie-t-il à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro, sur le canapé de l’émission « Conversations ».Il se confie sur son évolution depuis ses débuts en 2002, et son travail « pour transmettre quelque chose d’intime et émotionnel ». « L’enjeu c’est d’être réglo, aligné sur qui on est, de ne pas inventer une vie qu’on n’a pas », détaille-t-il. Sans être consensuel non plus : « Mettre tout le monde d’accord, c’est un talent que je n’ai pas », avoue-t-il.Le chanteur qui avait écrit la pièce Le Fait d’habiter Bagnolet raconte également son goût pour la scène, qui représente ce qu’il « préfère au-delà de tout » : « Pendant longtemps, quand j’ai commencé, je me disais que je pourrais faire des spectacles sans sortir d’album, mais qui contiendraient des chansons. L’idée d’être du côté du théâtre me plaisait ». Un attrait pour la représentation qu’il s’apprête à retrouver, puisqu’il prépare un nouveau spectacle.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Jul 2, 2025 • 28min
Styleto : « Plusieurs chansons sont inspirées de discussions avec des amis »
Elle a repris des titres de Dalida, Ben Mazué ou encore Orelsan dans son EP Caroussel. C’est aujourd’hui pour les compositions de son premier album Fille lacrymale que Styleto est invitée de l’émission « Conversations ». Celle qui organisait des concerts pour sa famille à « chaque repas de Noël » lorsqu’elle était enfant a commencé sa carrière de chanteuse en publiant ses reprises sur les réseaux sociaux, où elle dévoilait déjà des vidéos de sa vie quotidienne. « Quand j’ai commencé la chanson, j’ai fait le choix de ne pas supprimer tout ce que j’avais fait avant parce que je n’ai pas du tout honte de mon parcours. C’est une manière très chouette de garder un lien avec les gens » raconte-t-elle à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro.Alors qu’elle « adore les reprises », l’auteure et interprète a pourtant éprouvé l’envie de se livrer à travers ses propres compositions. Sa chanson Fier de ta mère, évoque par exemple son hésitation à avoir des enfants, un sujet qu’elle aborde souvent avec ses proches : « J’ai souvent cette discussion avec mes amis, filles ou garçons. Je ne connais pas d’autres chansons qui en parlent ».Après un concert à l’Olympia complet, Styleto poursuit sa tournée en France et se produira le 5 décembre au Zénith de Paris. Écrivant actuellement de nouveaux titres, elle dit avoir « hâte de faire un autre album pour encore plus apprendre à se connaître ». Une carrière prometteuse se dessine.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Jun 25, 2025 • 28min
Bérénice Bejo : « Je n’en reviens pas d’être déjà à la moitié de ma vie »
Invitée de l’émission «Conversations», Bérénice Bejo est à l’affiche d’Another End de Piero Messina. Ancré dans une réalité futuriste où la conscience des morts peut brièvement habiter d’autres corps, le film met en scène un homme qui ne réussit pas à faire le deuil de sa bien-aimée décédée dans un accident. Il se tourne alors vers cette technologie qui lui permet de retrouver l’âme de son amour dans une autre femme. Bérénice Bejo interprète la sœur du héros, celle qui lui conseille l’usage de ce procédé. «J’avais envie de faire du cinéma de genre», explique-t-elle à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro. «Quand Piero Messina m’a proposé ce film, je le trouvais poétique, plein d’amour, plein de mélancolie aussi. C’est un film qui parle de deuil, de secrets, de souvenirs, de ce dont on se souvient des gens qui sont partis».Au cours de cet entretien, celle qui avait obtenu le César de la meilleure actrice pour The Artist a évoqué ses futurs projets : une série «qui (lui) tient vraiment à cœur», la reprise de son rôle dans Sous la Seine 2, et sur le plan personnel, «des vacances en famille». Interrogée sur sa façon d’accueillir le passage des ans, elle confie avoir eu un peu de mal à passer le cap des 40 ans, mais se dit plus sereine à l’approche de la cinquantaine. «Je n’en reviens pas d’être déjà à la moitié de ma vie», fait-elle mine de réaliser en direct. Et affirme être prête à écrire un nouveau chapitre avec son époux, Michel Hazanavicius, dans un avenir proche quand les enfants auront quitté le nid familial.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Jun 18, 2025 • 27min
Harilay Rabenjamina est l’invité de Conversations Madame Figaro spécial Art
Harilay Rabenjamina, est l’invité de «Conversations Art» au micro de Joseph Ghosn à l’occasion de l’exposition collective « Férocité à domicile » à la Fondation Pernod Ricard. Il a créé, pour l’événement, une installation qui représente un sujet qu’il étudie beaucoup dans son travail : le lien avec l’espace domestique. Et plus particulièrement la relation spécifique que chacun entretien avec sa mère. Il ne s’agit pas ici de maternité, c’est-à-dire des sentiments d’une mère à l’égard de son enfant, mais bien des sentiments d’un enfant, y compris adulte, à l’égard de sa mère.L’exposition présente les œuvres de sept artistes – Chantal Akerman, Tolia Astakhishvili (avec Zurab Astakhishvili, Simon Lässig et Maka Sanadze, Cudelice Brazelton IV, Rosa Joly, Rosemarie Trockel, Harilay Rabenjamina et explore l’ambivalence du lien maternel. Avec des approches sensibles et contrastés, ces artistes appréhendent intimement la manière dont cette relation complexe construit notre présence au monde.Harilay nous parle de son désir premier : le cinéma. «Je travaille à la post-production d’un court métrage que je viens de réaliser, c’est un scénario que j’ai écrit et que j’ai développé avec des financements cinéma ». Parmi les actrices nous retrouverons Joana Preiss et Elodie Frégé et toujours dans son univers créatif «Ça se passe dans une maison, principalement donc un intérieur domestique la encore ».L’exposition «Férocité à domicile» est à découvrir à la Fondation Pernod Ricard jusqu’au 19 juillet 2025. https://www.fondation-pernod-ricard.com/fr/expo/ferocite-domicileConversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Jun 11, 2025 • 28min
Anamaria Vartolomei : «J’ai eu un syndrome de l’imposteur pour ce projet»
Invitée de l’émission «Conversations», Anamaria Vartolomei est au casting du film de science-fiction Mickey 17 avec Robert Pattinson, sorti en salles en mars dernier. Elle confie à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction Madame Figaro, qu’elle a été choisie pour ce rôle sans passer les castings. «J’ai eu un syndrome de l’imposteur, je doutais de ma légitimité sur le projet», explique-t-elle. Et elle complète : «C’est la première fois que je tournais en anglais, et Bong Joon-ho, le réalisateur, est un génie du cinéma. J’avais peur de le décevoir». Puis, à propos du tournage, voilà deux ans, aux côtés de Robert Pattinson, elle affirme avoir été «impressionnée» par l’acteur : «C’est un bosseur, quelqu’un de très créatif et en même temps assez introverti».L’actrice qui a obtenu le César de la révélation féminine en 2022 pour le rôle d’Anne Duchesne dans l’adaptation de L’Événement d’Annie Ernaux par Audrey Diwan, revient également sur ce moment «joyeux» de sa carrière. «L’Événement a été un point de bascule très important pour moi. Ça a été mon premier rôle fort après My Little Princess», explique-t-elle. «Je me sens très privilégiée d’avoir eu ce César. J’ai ressenti une petite pression après parce que je voulais montrer aux gens qui ont voté pour moi que je peux être encore meilleure à la suite de L’Événement ».Après ses rôles dans Maria et Le Comte de Monte-Cristo en 2024 puis dans Mickey 17 en mars 2025, Anamaria Vartolomei sera bientôt à l’affiche de la série Merteuil de Jessica Palud et du film L’Intérêt d’Adam de Laura Wandel. Elle conclut : «Ma plus grande crainte est que ça s’arrête, alors j’ai envie qu’on me souhaite que ça continue».Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Jun 4, 2025 • 28min
Adrien Bosc : «J’essaie de faire durer au maximum le présent véritable»
Invité de «Conversations», l’auteur et éditeur Adrien Bosc, fondateur des Éditions du sous-sol, a sorti un nouveau roman L’Invention de Tristan, publié chez Stock. «On est à ce moment précis de schizophrénie éditoriale, où on présente une rentrée littéraire à des libraires alors qu’on est en mai pour des livres qui paraîtront en août, et où je parle de mon propre livre qui vient de sortir dans des librairies. (...) Je me retrouve aussi fragile et à l’écoute de mon éditeur que mes auteurs le sont», explique-t-il à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro. À la fois enquête, roman et essai , son livre raconte l’histoire de l’écrivain américain Tristan Egolf, à travers les yeux d’un journaliste du New Yorker souhaitant dresser son portrait. La lecture du Seigneur des porcheries, l’un des trois livres d’Egolf, a provoqué une «déflagration» chez Adrien Bosc. «Plus que la fascination pour un personnage trouble, un peu génial, un peu maudit (...) sa vie se situe à un endroit dont la frontière entre les faits et la vérité est complètement effacée (...)», raconte-t-il.«Tester ce qu’il y a d’inventif dans le réel»Au cours de cet entretien, Adrien Bosc est également revenu sur sa carrière d’écrivain, et le succès de son premier roman Constellation, qui «parlait de ce vol tragique en 1949 en direction des États-Unis et de New York (...)» : l’avion s’était écrasé sur une île. Et l’auteur de dresser un parallèle entre cet ouvrage récompensé du Grand Prix du roman de l’Académie française et son nouveau roman qui lui ont permis de «tester ce qu’il y a d’inventif dans le réel». Celui qui a grandi dans les Alpilles parle aussi de cette solitude du métier d’écrivain : «Quand on écrit, on manque le présent aux autres, (...) alors j’essaie de faire durer au maximum le présent véritable.»Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

May 28, 2025 • 28min
Calypso Valois : «Parfois, j’ai l’impression que je ne suis pas née à la bonne époque»
«Quand je l’ai composé, je me disais que j’avais envie de danser», explique Calypso Valois à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction Madame Figaro, à propos de son album «Apocalypso». Dans «Conversations», elle évoque son état d’esprit lorsqu’elle a écrit ses nouvelles chansons. «Un peu volontairement, j’ai fait beaucoup de morceaux assez dansants. Après, il est vrai qu’au niveau de l’écriture, j’ai une part plus mélancolique, plus sombre. Donc je me dis que ça contrebalance bien». L’auteure-compositrice-interprète confie avoir puisé son inspiration dans «les années 70», mais aussi «les années 80» et dans «certaines choses des années 90». «Parfois, j’ai l’impression que je ne suis pas née à la bonne époque» affirme-t-elle. «Artistiquement, je trouve qu’il y avait une grande liberté et une esthétique très forte.»À propos de ce décalage qu’elle ressent, Calypso Valois parle de «penchant nostalgique» à l’égard «d’époques qu’elle n’a pas connues», comme le XIXe siècle, qui réunit ses auteurs et compositeurs favoris. «J’aurais aimé vivre au XIXe siècle pour être contemporaine de Chopin, Barbey d’Aurevilly, toutes les personnes que j’admire au plus haut point», développe-t-elle.Au cours de cet entretien, Calypso Valois a également évoqué sa prochaine actualité : elle a composé la bande originale du second long-métrage de Caroline Deruas. «C’était une expérience incroyable (...) J’ai exploré plein de façons différentes sur un même film de faire de la musique» raconte-t-elle.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

May 21, 2025 • 29min
Claire Berest : « L’affaire Mazan est un fait divers qui a éclaté un peu de sa structure pour devenir un fait de société »
Invitée de l’émission «Conversations», l’écrivaine revient sur l’affaire des viols de Mazan dans La Chair des autres, publié aux éditions Albin Michel.Dans l’émission « Conversations », elle explique à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro, le point de départ accidentel de l’écriture de ce nouveau livre. « C’était à l’origine pour écrire des articles pour Paris Match. (...) Et c’est une fois que le procès s’est terminé que je me suis aperçue, un peu comme un second accident, que je ne pouvais pas m’arrêter là, qu’il fallait que j’écrive plus. (...) Et là, l’urgence de ce livre s’est invitée. » Rédiger un texte de non-fiction sur un fait de société n’est pas chose nouvelle pour l’auteure qui avait déjà publié Enfants perdus, une enquête immersive à la brigade des mineurs de Paris. « J’avais de lointains souvenirs de cette urgence de la non-fiction, de faire corps avec un sujet qui nous ébranle et dont on a la sensation qu’il faut essayer de l’encercler, d’y rentrer, de le pénétrer. »Inspirée par le traitement du fait divers effectué par Emmanuel Carrère dans L’Adversaire et citant le Rapport sur la banalité du mal d’Hannah Arendt, l’auteure analyse dans ce nouveau texte la manière dont ce «fait divers a éclaté un peu de sa structure pour devenir un fait de société ». Celle qui dit avoir une « fascination bonne ou problématique pour les faits divers depuis l’enfance », examine alors cette affaire à travers sa propre histoire, en mêlant à son enquête des anecdotes personnelles. « Une manière de faire corps avec cette affaire, de faire corps aussi avec, parce que ça s’appelle La Chair des autres, ce que cette femme nous a donné à tous. » Au cours de cette émission, celle qui avait reçu le Grand Prix de l’Héroïne Madame Figaro pour Gabriële, a également évoqué son rapport à la langue. « Dans un mot il y a mille mondes. Il y a ce qu’il nous dit immédiatement, parfois on se trompe, mais c’est beau de penser qu’il puisse dire autre chose. (...) Un mot est aussi une présence physique, comme une petite œuvre d’art ».Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Apr 16, 2025 • 29min
Camélia Jordana : «Je suis une amoureuse de l’amour»
Invitée de l’émission «Conversations» Camélia Jordana est à l’affiche de Reine Mère, drame social et familial de Manele Labidi sorti le 12 mars. L’actrice y interprète Amel, une mère de famille immigrée qui, vivant avec son mari et leurs deux filles, risque de perdre son appartement des beaux quartiers et d’être envoyée dans une cité dortoir. Formant, à l’écran, un couple qu’elle dit «mythique» avec Sofiane Zermani, elle profitait du film pour évoquer sa vision de l’amour au micro de Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro. «J’aime la pluralité, la grande liberté (...) Ce qui m’intéresse, c’est la légèreté (...) La vie que je mène aujourd’hui ne me donne pas envie d’enlever des choses dans lesquelles je mets beaucoup d’énergie et d’efforts, pour les investir dans en couple». Pourtant, elle révèle être une «amoureuse de l’amour», et avoir un «cœur d’artichaut». «Quand je vois les angles morts de l’histoire de la personne en face de moi, ça m’envahit de tendresse, de compassion», ajoute-t-elle. Au cours de l’émission, la chanteuse a aussi évoqué la sortie de son nouveau titre intitulé « Win Rak » et chanté en trois langues, le français, l’espagnol et l’arabe. En l’écoutant sur le plateau, elle expliquait «le chanter déjà différemment» et «(l)’interpréter un peu plus». «J’entends la version studio et comme je l’ai sortie le 10 janvier, je l’ai chantée dans plein d’endroits et de conditions différentes» raconte-t-elle. Puis, elle a décrit le lien entre solitude et exercice de la musique : «J’adore la solitude (...) L’intimité qu’on a à la musique, à cette chose invisible, ça nous traverse, nous arrête, nous immobilise, nous anime (...) nous fait penser, réagir, ça accompagne la vie ». Un entretien à retrouver sur notre site.Ana Girardot, Charlotte Cardin, Violette d’Urso, Arthur Teboul… retrouvez leurs discussions avec Joseph Ghosn dans « Conversations » un podcast de Madame Figaro écrit par Joseph Ghosn, produit par Figaro TV et disponible sur podcasts.lefigaro.fr/ et sur toutes les plateformes d’écoutes : Apple Podcasts, Spotify, Deezer et Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Apr 9, 2025 • 28min
Billie, chanteuse : «C’est une chance de pouvoir appeler mon père quand j’ai un moment de stress, car il est déjà passé par là»
Dans le nouvel épisode de «Conversations», Billie interprète à la guitare son titre Parle-moi parfois, issu de son premier EP intitulé J’avance (1).Une chanson , sur le deuil, écrite quand elle a perdu «quelqu’un d’important» : «La musique m’aide à me découvrir», explique-t-elle. De ses premiers titres qui sont «dreamy», et «flottants dans l’air», Billie dit qu’ils «résument bien l’air du temps (où) on est tous en suspension».Fille de l’auteur-compositeur guitariste et interprète Matthieu Chedid et de l’artiste Céline Bary, petite-fille du chanteur Louis Chedid, et arrière-petite-fille de la poétesse Andrée Chedid, Billie s’est aussi confiée sur sa famille d’artistes. «Jusqu’à maintenant j’étais trop jeune pour m’y plonger, mais j’ai maintenant envie de lire des poèmes de mon arrière-grand-mère», reprend-elle.À propos de son père, elle affirme que «c’est génial de partager une passion commune» parce qu’il la «préserve tout en étant très bienveillant» : «C’est une chance inouïe de pouvoir appeler mon père quand j’ai un moment de stress, car il est déjà passé par là» ajoute-t-elle. Et de conclure à propos de sa place dans cette famille : «Mes deux parents m’ont laissé faire le chemin le plus simple possible, sans me mettre jamais de pression.»(1) J’avance, de Billie. En concert à la Maroquinerie le 27 mai.Ana Girardot, Charlotte Cardin, Violette d’Urso, Arthur Teboul… retrouvez leurs discussions avec Joseph Ghosn dans « Conversations » un podcast de Madame Figaro écrit par Joseph Ghosn, produit par Figaro TV et disponible sur podcasts.lefigaro.fr/ et sur toutes les plateformes d’écoutes : Apple Podcasts, Spotify, Deezer et Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.