Sur le fil

Note aux auditrices et auditeurs : cet entretien a été diffusé pour la première fois le 17 octobre.Nous vous proposons d’écouter le témoignage du photographe palestinien Mahmud Hams de l’AFP, qui a reçu le prix Bayeux des correspondants de guerre pour l’ensemble de sa couverture à Gaza depuis un an. Gazaoui de 44 ans, Mahmud Hams y travaillait pour l’AFP depuis plus de 20 ans, jusqu’à son évacuation en février 2024, avec le personnel de l’agence sur place.  C’est le troisième prix qu’il reçoit à Bayeux. Cette année, il a aussi remporté le Visa d’Or News au Festival de photojournalisme de Perpignan.Dans cet entretien, il nous transporte à Gaza, dans un quotidien semblable à celui de tous les autres habitants, auquel s’ajoute un défi de taille : documenter la guerre et surmonter les obstacles techniques en tout genre pour transmettre ses photographies, entre deux attaques depuis un territoire presque sans connexions ni électricité.Attention, certaines descriptions pourraient heurter des oreilles sensibles. Réalisation : Emmanuelle Baillon.Traductions : Stéphanie Youssef, Ezzedine Said et Roy Issa Doublage : Henry Bouvier Crédit musique: What is left par Sydney Carson via Slip.Stream. Première diffusion le 17 octobre.Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d’étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Depuis le passage du cyclone Chido, la détresse de Mayotte est sans fin. Des quartiers entiers, en particulier les nombreux bidonvilles de l’archipel, ont été rayés de la carte. Les infrastructures ont été détruites, le manque d’eau sévit... Le Président Emmanuel Macron a pu le constater sur place jeudi.Mais comment en est-on arrivé là ? Et comment reconstruire le 101e département français qui se sentait déjà abandonné par l’Etat?Sur le Fil a interrogé deux chercheurs ayant travaillé sur l'île, la sociologue Aude Sturma et le géographe Anthony Goreau-Ponceaud, ainsi que le rédacteur en chef environnement et climat de l’AFP, Ivan Couronne.Dans cet épisode, vous entendrez aussi Joris Fioriti, l’un des envoyés spéciaux de l’AFP à Mayotte.Réalisation : Michaëla Cancela-Kieffer et Maxime MametSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d’étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

L’année 2024 s’achève, avec son cortège de conflits et de tensions internationales. Mais que nous réserve 2025 ?Le retour de Donald Trump à la Maison blanche va peser sur les affaires du monde, en particulier en Ukraine et au Proche Orient.Mais aussi, les alliances entre régimes autoritaires. Le rapprochement entre la Russie et la Corée du Nord, sur le front en Ukraine, inquiète grandement l’OTAN et l’Asie.Pour parler de ces points de tension qui vont faire l’actualité, Sur Le Fil a invité Cécile Feuillatre, journaliste au service international de l’AFP à Paris et Bertrand Badie, politiste, professeur émérite à Sciences Po, auteur de L’art de la paix (Editions Flammarion).Réalisation : Emmanuelle Baillon avec Michaëla Cancela-KiefferSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d’étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

"La honte a changé de camp". C’est cette phrase qui restera du procès des viols commis par une cinquantaine d’hommes à Mazan, dans le sud-est de la France, sur Gisèle Pélicot.  Elle a été prononcée par l’un des avocats de la victime, il y a tout juste trois mois et demi, pour demander que le procès soit public. Et en ouvrant grand les portes de la salle d’audience, Gisèle Pélicot a permis qu’un débat s’ouvre aussi sur l’ampleur des violences faites aux femmes, en France et au-delà.Des médias du monde entier ont donc couvert le procès de ces dizaines hommes accusés de l’avoir violée avec son mari Dominique Pelicot, qui la droguait pendant près d’une décennie. Mais comment, en tant que journaliste, on couvre un procès hors norme comme celui-ci ? A l’AFP, une dizaine de personnes ont été mobilisées, entre rédacteurs, video journalistes, photographes, dessinateur de presse  et chefs. A la veille du verdict, quatre journalistes, David Courbet, Viken Kantarci, Christophe Simon et Philippe Siuberski, ont livré leur récit de ce procès, vu de l’intérieur. Un sujet préparé avec Jessica Lopez, rédactrice en chef en charge des questions de genre à l’AFP.Réalisation : Michaëla Cancela-KiefferSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d’étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Coups de feu, rires sinistres, hurlements fantomatiques : l'île sud-coréenne de Ganghwa est bombardée de bruits, jour et nuit. C’est la Corée du Nord, distante de 2 kilomètres, qui est derrière ce tintamarre. Les habitants de la petite île sont au cœur d’une campagne de guerre psychologique.Privés de sommeil par le bruit, beaucoup voient leur santé vaciller…  Dans cet épisode, nous n’allons pas vous parler de la crise politique en Corée du Sud et de la tentative de destitution du président Yoon Suk-yeol. Sur le Fil vous propose un voyage sonore dans cette étrange campagne de déstabilisation, avec ma collègue Claire Lee, du bureau de l’AFP à Séoul. Elle s’est rendue sur l’île de Ganghwa, à deux heures au nord-ouest de Séoul, tout près de la Corée du Nord.Réalisation : Maxime Mamet Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d’étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Le Laos, le pays aux millions d’éléphants… c’était le surnom de ce petit pays d’Asie du Sud-est. Aujourd’hui la population des pachydermes s’est effondrée. Au Laos, on n’en compte seulement entre 500 et 1000 à l’état sauvage selon le WWF.Alors pour sauver et régénérer les derniers troupeaux, des scientifiques traquent l’ADN des éléphants dans leurs bouses.L’objectif est d'identifier les individus, déterminer leur sexe, pour à terme les faire se reproduire. Car l’avenir de ces mammifères est compromis : il naît deux éléphants par an quand dix meurent.Leur disparition mettrait en péril l'écosystème de la forêt qu‘ils régénèrent en transportant des graines dans leurs bouses, elles-mêmes essentielles pour d’autres animaux comme des coléoptères.Cet épisode de Sur Le Fil vous emmène au cœur de la forêt laotienne, dans le sanctuaire pour éléphants de Sainyabuli, dans le nord du pays, près de la frontière avec la Thaïlande.Sur le terrain Sarah Lay et Stuart Graham, du bureau régional de l’AFP à Bangkok.Réalisation: Emmanuelle BaillonSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d’étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Lorsqu’on ne parle pas la langue du pays où l’on vit on n’existe qu’a moitié. Comment s’intégrer si on ne peut pas échanger en profondeur ? Ça parait une évidence, et pourtant l’importance d’un enseignement de la langue aux personnes migrantes dès leur arrivée n’est pas souvent évoquée. Pour ce Sur le Fil, nous vous proposons un détour par l’Islande, un pays où la population étrangère a énormément augmenté et où des programmes sont mis en place, directement sur le lieu de travail des migrants, pour les aider à s’intégrer plus vite, alors que l'immigration est devenu un sujet clivant.Cette solution gagne du terrain aussi ailleurs en Europe. Elle est également préconisée en France où la question du niveau de langue des immigrés récemment arrivés a été posée. Pour en parler nous avons invité deux experts, Anna Cattan, doctorante en sciences de l’Education à l'Université Paris 8 qui a co-fondé Langues Plurielles, une structure de formation linguistique et Thomas Liebig, administrateur en charge de de la division des migrations internationales à l’Organisation de la coopération et du développement économique (OCDE).Réalisation : Michaëla Cancela-KiefferAvec sur le terrain, Jonathan Klein.Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d’étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme !  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Des enfants utilisés pour commettre des meurtres et des règlements de compte. La France n’est pas le seul pays à connaître ce phénomène.En Suède, les mineurs de moins de 15 ans ne sont pas responsables pénalement. Ils représentent une aubaine pour les gangs qui vivent du narcotrafic.Sur les réseaux sociaux, des influenceurs du crime ont même vu le jour pour encourager les plus jeunes à vendre leurs servicesLes pouvoirs publics s’inquiètent, mais ne parviennent pas à endiguer la tendance qui touche les banlieues pauvres de Suède, alors que le pays connaît une vague de règlements de comptes entre gangs.Dans cet épisode, Sur le Fil vous emmène à Örebro, dans les pas de Jonathan Klein et Nioucha Zakavati, du bureau de l'AFP à Stockholm.Réalisation : Maxime MametSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d’étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

L’Australie a décidé d’interdire les réseaux sociaux aux jeunes de moins de 16 ans. FiniTiktok, Instagram ou X. L’interdiction, l’une des plus strictes au monde, entrera en vigueur fin 2025.Et elle suscite un vif débat dans le pays, où les plateformes de la tech et les ados sont plutôt contre. La mesure peut-elle être efficace pour prévenir l’effet nocif des écrans et des contenus qu’ils diffusent sur les cerveaux encore en construction des ados ? Pour en parler, Sur le Fil a invité Grégoire Borst, professeur en psychologie et en neurosciences de l’enfant à l’université Paris Cité.Avec sur le terrain en Australie, Mark Heard et Laura Chung du bureau du bureau de l’AFP à Sydney.Réalisation: Emmanuelle Baillon avec Michaëla Cancela-KiefferSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d’étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Après 24 ans d’un règne violent en Syrie, Bachar Al-Assad est tombé ce week-end, emporté par l’offensive fulgurante d’une coalition rebelle. Cette coalition est menée par le groupe islamiste radical Hayat Tahrir al-Sham, souvent appelée HTS.Anciennement proche d’Al-Qaïda, ce groupe s’en est éloigné et dit vouloir ramener la paix en Syrie, secouée par 13 années d’une guerre civile qui a fait environ 500 000 mort, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme. Mais que veut l’organisation HTS?  Comment peut-elle rebattre les cartes au Moyen-Orient?Pour répondre à ses questions, Sur le Fil a invité Jérôme Drevon, spécialiste du Jihad et de la Syrie, au sein de l’International Crisis Group, et Didier Lauras, qui couvre le terrorisme au sein du service international de l’AFP à Paris. Réalisation : Maxime MametSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d’étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme !  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.