Le débat de midi Faut-il désobéir pour sauver la planète ?
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Aug 6, 2025 Lumir Lapré, militante pour l'écologie et la justice sociale, discute de la désobéissance civile face à l'urgence climatique. Elle aborde les tensions entre l'activisme écologiste et la répression gouvernementale, en soulignant que la véritable violence provient souvent de l'État. Le dialogue s'engage sur la légitimité des actions spectaculaires et leur impact sur l'opinion publique. Lapré appelle à une mobilisation citoyenne diversifiée pour contrer l'inaction face aux crises environnementales, tout en questionnant les dilemmes éthiques qui en découlent.
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Désobéissance et répression accrues
- La désobéissance civile est de plus en plus considérée comme légitime face à l'urgence climatique.
- La répression étatique et la criminalisation des militants écologistes augmentent malgré la non-violence de leurs actions.
Violence : militants vs répression
- Le mouvement écologiste pratique la non-violence et rejette toute violence envers les personnes.
- La violence réelle est majoritairement du côté de la répression policière et étatique des manifestations écologiques.
Légitimation politique de la répression
- La violence étatique envers les militants écologistes est de plus en plus légitimée par les discours politiques.
- Cette légitimation de la répression accroît la colère des militants et pousse à des actions plus radicales.
