

Le 48/64 EP.12 : le rapport GFK-FIBD 2022, Astra Nova, les éditions Délirium et Grandville
Après un détour par le Québec, voilà l'équipe du 48/64 de retour pour discuter marché de la BD française et bandes dessinées de genre, le tout ponctuer d'une brève mais intense apparition transdimensionnelle en fin d'épisode.
La météo des bulles de Thomas revient sur le rapport GFK-FIBD 2022 pour vous proposer un point de comparaison à sa présentation du marché de la bande dessinée québécoise de l'épisode précédent.
L'exploratrice des abysses dessinés, a.k.a. Manon, s'arrête quant à elle sur un titre mélancolique et aux couleurs flamboyantes, enveloppé d'une aura mystérieuse que nourrie l'économie de mots de l'autrice : Astra Nova de Lisa Blumen (éd. L'Employé.e du moi).
Théo le grand dégingandé revient ensuite aux sources de sa chronique en s'attachant à nous présenter l'histoire d'un éditeur indépendant, ici spécialisé dans le comics : les éditions Délirium fondées par Laurent Lerner.
Enfin, l'émission se clôture sur la chronique de Louis, alias l'épicurieux bédévore, et la série Grandville par Bryan Talbot, publiée par les éditions Délirium, sur une nouvelle traduction de Philippe Touboul. Une uchronie steampunk anthropomorphique (rien que ça) à la sauce Conan Doyle.
Mettez votre casque et installez-vous confortablement, c'est parti pour le 12ème épisode du 48/64 !
TIMECODE :
3’43 - La météo des bulles - présentation du rapport GFK-FIBD 2022
17’29 - La chronique de l’exploratrice des abysses dessinés - Astra Nova, par Lisa Blumen, éd. L’Employé.e du mois
29’54 - La chronique du grand dégingandé - L’histoire des éditions Délirium
44’11 - La chronique de l’épicurieux bédévore - Grandville T.1 & 2, par Bryan Talbot, éd. Délirium, traduction de Philippe Touboul
Une émission de Thomas Figuères et Manon Dias Santos. Ingénieur du son : Léo Jacquet. Avec la participation de Louis Groult et Théo Ancelin. Le 48/64 est une production La Cab studio. Logo © Corto Malaise (@corto_malaise).