Grok, Gemini, GPT-4o… Les nouvelles versions des outils d'IA repoussent les limites de la génération et de la retouche d’images. Un tournant technologique aux implications majeures.

Grok, l’IA développée par X (ex-Twitter), permet désormais de modifier des photos existantes avec une simplicité déconcertante : changer un arrière-plan, effacer des éléments, se transformer en cow-boy ou appliquer un style Van Gogh… tout devient possible. Une innovation qui inquiète autant qu’elle fascine.

En réponse, Google et OpenAI accélèrent. Gemini 2.0 propose des fonctionnalités similaires, mais c’est surtout GPT-4o qui impressionne : réalisme accru, respect des consignes, écriture dans les images… L’outil marque une nette rupture avec les limites de DALL·E.

Les réseaux s’emballent, notamment autour du style manga “Ghibli” appliqué à des photos d’actualité, tandis que les enjeux éthiques se font de plus en plus pressants : suppression de filigranes, pillage de contenus visuels, droit d’auteur mis à mal.

Jusqu’où l’IA peut-elle et doit-elle aller dans la création ?

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