

L'affaire Olivier Cappelaere, l'empoisonneur de vieilles dames
L'empoisonneur des vieilles dames : l'affaire Olivier Kapler dévoilée
Olivier Kapler, un homme d'affaires déchu et investisseur en viager, a été condamné pour avoir empoisonné plusieurs femmes âgées avec de l'atropine, un poison puissant et mortel. Le mobile était clair : obtenir rapidement la pleine propriété des appartements vendus en viager, moyennant des rentes versées aux victimes pendant leur vie.
Suzanne Bailly, 85 ans, a failli mourir après avoir bu de l'eau contaminée à l'atropine déposée par Kapler, son crédit rentier. Son ami, Gabi, a également été empoisonné en buvant cette même eau. Kapler a été reconnu coupable d'empoisonnement avec préméditation et condamné à 25 ans de réclusion, puis à la perpétuité pour l'assassinat d'une autre victime, Jacqueline Imbert.
L'affaire dévoile les risques réels et tragiques liés aux ventes en viager, et l'exploitation des personnes âgées isolées par des individus cupides et sans scrupules. Kapler utilisait sa proximité affective pour manipuler et éloigner ses victimes de leur entourage familial avant de passer à l'acte.
Extrait notable sur la découverte du crime, la lutte des victimes pour la justice, et la condamnation définitive de Kapler : un récit édifiant sur une violence insidieuse dans notre société.
Premiers empoisonnements révélateurs
- Suzanne Bailly, 85 ans, est victime d'un empoisonnement à l'atropine dans son appartement au Canet.
- Son ami Gabi boit aussi de l'eau contaminée, vit un malaise identique et les deux sont hospitalisés.
Piste d'Olivier Kapler se dessine
- Olivier Kapler, propriétaire en viager, est suspecté grâce aux témoignages et preuves téléphoniques.
- Ses appels et présence sur place le matin de l'empoisonnement renforcent le soupçon.