

Alexandre Jevakhoff, entre l'Ukraine et la Russie
Trois ans après l’offensive russe en Ukraine, émerge la perspective d’une trêve émerge “dans les trois semaines à venir”. La guerre pourrait même prendre fin "d'ici quelques semaines", a assuré hier Donald Trump, qui a associé l’UE à sa démarche en invitant Emmanuel Macron à Washington. Volodimir Zelensky pourrait venir à la Maison Blanche pour parapher un accord sur l'accès des Américains aux minerais ukrainiens, point exigé par Donald Trump en compensation de son soutien militaire à Kiev. De leur côté, le Royaume-Uni et la France travaillent à un plan de déploiement d'une force européenne en Ukraine. Vladimir Poutine s'est cependant dit ouvert lundi à une participation européenne au règlement du conflit. La Russie et l’Ukraine sont socialement et culturellement très intriquées. Quelles traces ces années de guerre ont-elles laissées et quelles perspectives de réconciliation peut-on esquisser ? Alexandre Jevakhoff est issu d’une famille de russes blancs dont les deux deux grands-pères étaient officiers de la flotte impériale. Marguillier de la cathédrale Saint-Alexandre-Nevsky à Paris (VIIIe), il a occupé divers postes au ministère de l’Intérieur et de la Défense. La foi peut-elle être plus forte que l’identité ? Au sein de sa propre famille, la guerre a laissé des traces profondes.
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