L'affaire Fourniret / Monique Olivier : une philosophie du fait divers 2/2

REDIFFUSION -

Dans la 1ère partie, on a vu que la fascination pour le fait divers s’explique par l’empathie, comme caractère fondamental de l’homme. Quand un fait divers se produit, il heurte notre mode de fonctionnement empathique, et nous ne pouvons pas nous empêcher de regarder de l’autre côté du miroir. Ainsi, plutôt que de faire écho à notre part sombre, la fascination pour les faits divers révèlerait l’importance de l’empathie dans nos sociétés.

Mais l'empathie est-elle toujours une bonne chose ? Elle peut nous conduire à des réactions excessives, violentes, et s'avérer immorale.

Le rôle du procès n'est-il pas de rétablir l'ordre et la raison ?

Dans cet épisode, on va s’intéresser à une dimension plus rationnelle de la philosophie du fait divers.

On va parler raison, vérité, catharsis, Michel Foucault, et bien sûr, faits divers !

Et vous, êtes vous d'accord avec cette analyse en 2 parties ? Dites-le en commentaire !

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