Une conversation délicate et dérangeante cette semaine avec une des voix les plus originales de la littérature féminine : Eva Ionesco, pour son "Grand Amour" (Robert Laffont), une love story en cavale dans le Paris des années 1980. Elle y raconte notamment l'horreur de la pédocriminalite, à la fois dans les milieux artistiques de son enfance et dans les centres où l'État français (la DDASS) l'enfermait. Et comment elle a réussi à transformer en littérature ce passé disloqué...
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