

COLLECTION. Goldorak conforte le succès philatélique de la bande dessinée en France
L’association de la philatélie et de la bande dessinée existe depuis longtemps. C’est le point de jonction entre deux collections, pourrait-on dire, ancestrales. Une collection d’images dans le cas du timbre qui a cependant valeur de consécration. Les timbres rendent hommage aux grands hommes, tous les monarques ont leur timbre, aux grands événements, aux grandes causes... Mais, de même que le timbre donne une couleur à une voix ou une musique, celui qui sert d’affranchissement signale l’entrée d’une bande dessinée, d’un artiste dans l’air du temps. C’est le cas pour Goldorak qui, par son revival sous la forme d’une bande dessinée et d’une grande exposition à Paris, a fait l’actualité cet automne. Mais cette circonstance a été minutieusement préparée depuis plusieurs années : la décision de faire un timbre ayant été prise il y a deux ans pour arriver pile au moment de l’anniversaire, comme nous le confirme Gilles Livchitz, directeur de Philaposte, la filiale de la poste qui décide de ces attributions. Nous l’avons rencontré pour qu’il nous explique comment une bande dessinée devient un timbre. Une bonne idée thématique de collection.
Interview et production : Didier Pasamonik
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