Stéphane Ricoul s’intéresse cette semaine à l’impact de l’intelligence artificielle sur la mémoire collective. La multiplication de contenus générés automatiquement, des faux articles aux contributions douteuses sur Wikipédia, menace la fiabilité du savoir. Si certaines initiatives et régulations cherchent à encadrer ces pratiques, il rappelle que rien ne peut remplacer le rôle humain des enseignants, journalistes ou archivistes dans la transmission critique et vivante de la connaissance.
