

Serpents : un antivenin intéressant né d’une pratique discutable
May 16, 2025
Un nouvel antivenin prometteur, combinant anticorps humains et antidote, montre des résultats encourageants chez la souris. Cependant, son développement soulève des dilemmes éthiques, car les anticorps proviennent d'un volontaire s'étant fait mordre par des serpents. On discutera également des défis liés à l'immunisation par venin et des enjeux économiques de la production des traitements. Accélérer l'accès aux antivenins reste une priorité face aux limitations actuelles de la recherche.
AI Snips
Chapters
Transcript
Episode notes
Cible régionale pour antivenins
- L'objectif d'un antivenin universel est irréaliste et coûteux.
- Il vaut mieux cibler les espèces de serpents spécifiques à une région géographique.
Antidote améliore efficacité
- Ajouter un antidote à base d'anticorps permettrait de créer un traitement plus efficace.
- Cette approche pourrait améliorer la couverture contre les différents venins dans le monde.
Volontaire mordu pour anticorps
- Un américain nommé Tom Fried s'est volontairement fait mordre plus de 200 fois par des serpents.
- Il a aussi auto-injecté plus de 800 doses diluées pour développer une immunité.