Dans sa chronique, Stéphane Ricoul s’attaque au débat sur la gouvernance de l’intelligence artificielle, en réagissant à la position de Yoshua Bengio sur la limitation des systèmes « agentiques ». S’il partage l’objectif d’une IA sûre et transparente, il défend une approche différente : plutôt que de restreindre l’autonomie des systèmes, il faut réguler par l’économie.