Cette semaine dans Les Incorrectibles, Eric Morillot reçoit George Simion, Président de l’Alliance pour l’unité des Roumains, figure majeure de la scène politique roumaine et ancien candidat à la présidentielle. Dans cet entretien exclusif, il revient sur une campagne marquée par les tensions, les accusations d’ingérences occidentales et la pression constante exercée par les institutions européennes. Il évoque également sa vision des relations internationales, notamment sur la guerre en Ukraine, et le traitement réservé à Donald Trump par les élites occidentales. Un échange direct, à contre-courant, qui donne la parole à un homme que le système aurait préféré faire taire.
(0:00) – Introduction de l’émission et présentation de George Simion
(1:16) – Victoire de Karol Nawrocki en Pologne : un signal pour l’Europe ?
(2:13) – Soutiens de Trump et hypocrisie de Macron ?
(3:06) – Macron accusé d’ingérence en Roumanie
(3:40) – Pressions étrangères, réseaux sociaux et démocratie bafouée
(4:55) – Emmanuel Macron : la figure du déclin européen ?
(5:40) – Projet d’alliance conservatrice européenne
(6:58) – Le rôle de Donald Trump dans la nouvelle droite européenne
(7:30) – Influence de la diaspora, fierté nationale et rejet du wokisme
(8:58) – Démocratie en danger : élections volées, peuple trahi
(10:12) – Diabolisation médiatique et accusation d’extrême droite
(11:04) – Défense du conservatisme face aux dérives du centre droit
(12:03) – Liberté d’expression et censure des opposants
(12:23) – Manipulations électorales : l’exemple Călin Georgescu
(13:09) – L’Union européenne version Simion : plus de nations, moins de bureaucratie
(13:55) – La Roumanie et la France : admiration et déception
(15:43) – Guerre en Ukraine : entre soutien aux peuples et rejet du militarisme
(16:54) – La guerre, un projet politique de destruction des nations ?
(18:22) – Le cessez-le-feu : priorité à la paix et fin des massacres
(19:00) – La suite du combat politique de George Simion
(20:29) – La diabolisation ne marche plus : le peuple se réveille
(21:20) – Conclusion et remerciements